L'Anima

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Film on ne peux plus précis sur le sujet, qui au dela de ses rebondissement policiers, est avant tout une intrigue psychanalytique.

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Davantage un Animus, mais n'oublions pas l'homosexualité de Pasolini : L'Anima reste homme chez les personnages masculin.

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Joanna Newsom est une illustration complète de l'Anima : spirituelle, tendre, dissociée de l'âme soeur.

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Exemple récent : l'Anima hantant Woodcock sous les traits de sa mère.

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Celle qu'on pourrait prendre au départ pour l'âme soeur du personnage est en fait jouée par la meme actrice qui incarne la mère. De plus, la pénétration n'est pas autorisé au sein de la relation, ce qui en fait clairement une Anima, ou tout du moins une projection assez net.

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Dans le milieu de perversion, les statues de la vierge hantent le lieu. L'Anima est rélégué au rang de spectatrice muette.

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Le film est un peu une bouillis, mélangeant Ame soeur et Anima. Mais dans sa fin falcultative, le film prends un sens qui peux nous amener à penser que Ramona est bien l'Anima de Scott.

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L'Anima se "matérialise" dans le numérique, devenant une voix claire qui soupire à la projection sur les corps. Sa voix est réelle mais le doute est amené sur sa véritable existence propre. Bel exemple de SF intelligente.

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Même cas que pour Her, peut être plus juste encore, l'Anima se montre plus intime (puisque visuelle) et se révèle comme le produit de l'inconscient collectif.

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La mère d'Alexandre, semble être une incarnation direct de son Anima, ce qui crée un véritable trouble psychique et émotionnel chez le personnage.

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Dans les films Ghibli, certains personnages féminin semble détenir un souffle essentiel, divin. C'est le cas de Kaguya qui a cet aura d'Anima, non seuleument pour le paysan qu'elle aime mais aussi pour le monde, la nature. Il ne faut surement pas la réduire qu'à ça, mais il y a un lien pour moi, fut-il tres subtil.

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Lars projete son Anima sur un objet inanimé. Sa famille et son village, accepte de voir cette poupée comme une véritable personne, conscient de l'absurde de la chose mais aussi, d'une certaine réalité psychique.

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J'ai des doutes sur celui là, mais l'heroïne à peut être ce côté Anima, elle en est en tout cas un réel reflet. C'est ce qui rend sa beauté si supérieur, et ce qui attirera l'appétit de la perversion : la perverse, désire l'aura de l'Anima pour piéger l'homme. Spoil obscure : La fin du film peut nous amener à penser que le corps même de l'héroïne porte la nature de l'Anima.