L'après punk

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Prenez deux punks, mettez leur un synthé bas de gamme entre les mains, et écoutez le résultat. Contre toute attente, cet album se révèlera une source d'inspiration majeure pour la décénie suivante.

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Pas spécialement la peine de présenter Joy Division: une ambiance sombre, des rythmes entêtants et une basse hypnotisante qui en ont fait le groupe désormais culte. Un classique.

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Plus sombre et moins punk qu'Unknown Pleasures, cet album nous fait pénétrer dans un univers fascinant et malsain au possible.

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Encore un classique, oscillant entre le coté froid et métallique de l'indus et l'énergie primaire du punk. Tantôt envoutant tantôt inaudible, toujours passionant

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Difficile de définir Lydia Lunch, entre noise, nowave et punk… Multipliant les collaborations, c'est une figure incontournable des années 80, qui continue de nos jours les créations et collaborations originales. Cet album, le premier de sa carrière solo, est tout simplement brillant. Sur un fond très jazz, voire parfois free-jazz se greffent des guitares saturées, des voix distordues, dans un ensemble très rock malgré une dimension hautement expérimentale.

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Un single, dans cette liste? Alors qu'on a déjà cité deux albums du même groupe? Oui, mais Temple of Love occupe une place particulière dans mon coeur. C'est frais, joyeux, sautillant, et ça met de bonne humeur pour la journée. A mes yeux, le single qui représente le mieux le groupe !

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On ne peut pas parler de post punk et passer à coté de Bauhaus ! Beaucoup moins morose qu'une bonne partie de la scène, leur son et jeu de scène tient beaucoup du coté grand guignol d'un David Bowie.

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Sonic Youth a toujours été assez peu accessible, reprenant les codes de la pop, pour mieux nous perdre dans leur univers tantôt froid, tantôt agressif. C'est sale, bruitiste, et paradoxalement terriblement accrocheur!

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Mélanger les influences est un exercice risqué. Killing Joke nous fournit ici un coktail explosif, combinant électro, indus, punk et metal, mais aussi dub et funk. Des riffs agressifs, des synthés abrasifs, un chant saccadé, tout est fait pour mettre l'auditeur mal à l'aise et lui faire perdre ses repères. On se fait mal et on en redemande!

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D'accord, conseiller un best-of n'est peut-être pas la meilleure des choses, mais je n'ai jamais tellement accroché à l'univers Siouxsie à part ses chansons les plus connues.

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Je n'ai jamais été un grand fan de Cure, mais cet album ne peut pas ne pas figurer sur cette liste. L'album le plus sombre de leur discographie.

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Le premier album de dead can dance, encore très inspiré de la coldwave de bauhaus et joy divison. On y trouve toutefois ce qui a fait le succès de Dead can Dance: une musique ambiante, des percussions très présentes, et un chant aérien.

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Dix ans après la création du groupe, un album qui nous prouve que Dead can Dance est toujours capable de se renouveler. Entre le psychédélique d'un Pink Floyd et la froideur d'un Joy Division.

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Un de leurs derniers albums. Le style musical n'a pas tellement changé depuis leurs débuts, mais, oh miracle, ici, on profite d'une production de très bonne qualité!