La Vieille Rockeuse Ringarde's Guide to Status Quo

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1968. Leur période psychédélique, soit vaguement du Jimi Hendrix abâtardi et ramolli.

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1969. Leur période Bee Gees, tartignolle et adorable.

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1971. Leur premier titre-signature.

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1971. Leur meilleur titre de transition psyché-boogie et immense solo de Francis Rossi pour ceux qui n’avaient pas remarqué que c’était un grand guitariste.

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1972. Le marteau-piqueur orgastique.

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1973. Titre-signature et élégance de jeu caractéristique.
(pas moyen de trouver la version studio sur SC !)

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1973. Une merveille d’équilibre, le parfait mariage boogie rock-power pop.

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1974. Un de leurs premiers « epics », et le meilleur de tous selon moi. Ce serait mon n°1 si je devais faire un hit-parade de leurs titres.

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1976. Une merveille d’équilibre, le parfait mariage du blues et de la pop.

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1976. Un autre « epic », ils y excellaient.

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1977. Un « lament » de leur album pop, le premier à avoir été boudé par une fanbase loyale mais assez étroite d’esprit.

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1977. Du même album, une ballade au parfum légèrement brésilien.

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1978. Leur credo, leur philosophie, leur message, leur hymne, leur signature et leur profession de foi.

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1979. Leur première incursion dans « autre chose », via l’influence de Ian Hunter.

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1980. Leur proposition de new wave / boogie rock, via l’influence de Dave Edmunds.

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1986. Utilisation intelligente des synthés (ça va pas durer), défi gonflé et succès international mérité pour ce titre complètement atypique qui désespéra Billancourt.

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1986. Un « beautiful freak » au synthé, avec gimmick vocal à l’élégance salvatrice.

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1988. Un exemple de synthés-gross malheur, mais un sens du fun intact qui rend la chose écoutable.

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1991. Un extrait de l’album du sursaut, mais qui ne fut que ça. Ensuite on va jeter un voile pudique sur les 8 ans qui ont suivi.

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1999. La Résurrection, avec son énorme, riff diabolique et swing dantesque.

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1999. La Résurrection, côté somptueuse ballade et grosse émotion.

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1999. Mini-« epic » et résurrection de Wishbone Ash aussi, tant qu’ils y sont, dans la foulée.

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2002. Une merveille d’originalité, de finesse et d’humour.

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2002. Sultans of swing, what else ?

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2002. Un rappel de la force mélodique pure de leurs compositions.

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2005. Un titre nerveux et chauffé à blanc qui pourrait figurer dans Hello ! (1973). Cette capacité d’être hors du temps comme ça n’appartient qu’aux grands.

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2007. Debout les morts, s’il en reste.

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2007. Leur plus beau blues.

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2007. Mini-« epic » au swing de fou, et extraordinairement bien joué.

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2011. Dentelle d’acier complexe et sophistiquée.