La papeterie n'est jamais finie 2018

Annotation :

Parfois "safé réfléchir" parfois "ok bien trouvé". L'acidité et la noirceur d'un ancien sur son temps. C'est difficile à lire d'une traite mais ça reste toutefois agréable.

Annotation :

(Je note pas tome par tome, parce que je vois ça trop comme un tout, et en plus je ne saurais noter les précédents)

On continue l'histoire et les flashbacks de nos adulescents. C'est toujours aussi travaillé et con-con comme il faut. Très bon comics de poche.

Annotation :

Père Araki raconte nous des histoires ! Avec le beau Rohan s'il te plaît. Et voilà, de courtes histoires qui tournent mal avec le trait toujours aussi beau d'Araki et avec le caractère particulier de nos deux artistes préférés (celui qui écrit et le protagoniste).

Annotation :

J'ai fermé le manga, j'ai regardé le plafond et j'ai lâché un "C'est excellent" de contentement absolu.

Bonne Nuit Punpun c'est le manga au rythme et à la sensibilité le plus précis qu'il m'ait été donné de lire. Impossible de s'arrêter. Impossible de ne pas être touché par l'action. Ça touche dans le mille. À. Chaque. Page.

Le génie là dedans c'est de se rappeler la sensibilité qu'on a gamin, les idées qui fusent dans ce sens, les représentations qu'on a, les questions qu'on se pose, la vision qu'on a. Ça c'est la pré-adolescence. Tout juste, pas plus, pas moins.

J'ai peur pour la suite car je sais qu'après m'avoir autant touché, autant m'accrocher à chaque personnage. À leur backgrounds, à leur défauts. Ça va taper fort dedans un jour et ça va me déboussoler très facilement.

Annotation :

Passé la claque du premier tome, ce dernier continue de me mettre des micro gifles toutes les deux cases par son rythme et cette façon de narrer. Tout ça pour te coller des grosses tartes par le scénario.

Bonne Nuit Punpun me bouscule et je suis fasciné.

Annotation :

Tous ces plans serrés, ces inserts, ces plans larges, ce timing, ces détails partout, ces yeux, ces réactions...

Et voilà que le scénario recommence à me déchirer de l'intérieur, petit bout par petit bout.

C'est à se demander pourquoi j'aime me faire du mal à lire cette série. Est-ce pour cette précision, cet ultra-réalisme des personnages ? Sûrement. Mais alors pourquoi continuer de lire si ce n'est pour continuer de les voir s'enfoncer à nous en rendre triste ?

Annotation :

Un fourre-tout qui demande d'avoir des connaissances des évènements autour du tome à l'époque. Un peu dommageable car, même si c'est dans une autre série et dit dans le sommaire, la mort de Robin c cho qd même. Après c'est très fourre-tout, ça me permet de me remettre en jambe pour les autres tomes de la série.

De plus il y a de vraiment chouettes moments : une petite apparition de Gueule d'argile, le travail sur le deuil de Bruce est top, et j'ai même aimé le petit chapitre dessiné par Sean Murphy et son style très futuristico-Tokyo Ghostien.

Pas à mettre entre toutes les mains mais un bon tome pour combler, et bravo à Urban d'avoir réussi à grapiller et réunir quelques issues autour d'une thématique.

Annotation :

Parfois touchant, souvent sincère et nostalgique. Un vrai manga de rétrospection sur l'enfance et les regrets, donc plus on est vieux plus c'est conseillé

Annotation :

Que du classique, avec une narration qui se brise dans le flow de l'action et ces 4 chapitres sont de la pure action jojoesque jusqu'à sa conclusion. Par contre si on peut regretter ça, on ne peut pas retirer cette qualité visuelle intrinsèque qui me ravie la rétine. Et puis Yasuho <3