Les Jeux Vidéos de 2016

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LE HORS CATEGORIE DE 2016

On pourrait, en effet, argumenter de l’intérêt purement ludique de cette dernière aventure de Nathan Drake, mais bon sang, quel spectacle mes amis !
Si vous avez toujours rêver de vous retrouver dans la peau de Indiana Jones virtuel, vous voilà servi.
Le challenge est inexistant, mais le spectacle, lui, est au rendez-vous.
D'une écriture maîtrisée à une mise en scène sans failles, les Dogs nous on offert un jeu unique, beau, prenant et touchant. Une manière de révolutionner le "cinéma" d'action et d'aventure.

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LE JEU DE 2016

La suite tant attendue de Human Revolution, le soft Cyberpunk d'Eidos Montréal, fut à la hauteur des attentes.
Plus belle et plus maîtrisée dans son game design, cette nouvelle aventure d'Adam Jensen nous a offert de nouvelles augmentations jouissives, nous donnant encore plus de libertés dans les niveaux.
Si la fin est effectivement abrupte, elle nous donne méchamment envie de retrouver Adam Jensen pour un 3e opus.
Et puis il y a du Misha Mansoor pendant le générique de fin et ça, c'est la méga classe.
Le must-have de 2016 !

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L'ESSAI TRANSFORMÉ DE 2016

Après un premier épisode réussi qui nous faisait découvrir un univers sombre et dangereux, l'équipe d'Arkane Studio nous offre une suite réussie à tout les niveaux.
Des soucis techniques n’empêchent heureusement pas de profiter d'un game design toujours aussi pointu. Les possibilités d'infiltration ou d'action sont nombreuses et toujours très logiques.
Le jeu, à l'instar d'un Deus Ex, récompense la curiosité du joueur et l'on ne sait jamais comment un niveau va se terminer.
Associé à cela une direction artistique impressionnante et vous avez l'un des softs les plus enthousiasmant de 2016.

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LA SUITE MI FIGUE MI RAISIN DE 2016

Après avoir brillamment ressuscité la licence en 2013 avec Tomb Raider, les américains de Crystal Dynamics nous ont proposé en 2016 (sortit sur PS4), une suite qui laisse un gout amer.
Si l'aventure est toujours aussi visuellement bluffante, la volonté du studio d'ouvrir les niveau, lorgnant dangereusement du côté de l'open world, détruit totalement le rythme du jeu.
De plus, le scénario n'a rien d'un model du genre. Bourré de clichés et de dialogues parfois totalement ridicules.
On espère un retour à une formule plus maîtrisée pour un troisième opus d'ores et déjà annoncé.

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LA DECEPTION DE 2016

Après un premier épisode génialissime, autant dans son système de jeu que dans son univers visuel, Firaxis nous propose une suite qui se voulait une amélioration de tous les points du précédent.
Malheureusement, mis à pars de bonnes trouvailles de gameplay, ce X-Com accentue surtout les défauts du premier.
D'une esthétique pulp maîtrisée et jouissive on passe ici sur une adaptation quasi totale de l'horrible Independance Day Resurgence sortit cette année.
Le gameplay lui est beaucoup plus crispant que par le passé. On a souvent l'impression que le jeu se moque de nous quand un tir censé réussir à 98% rate cinq fois d'affilée.
Ajouté à cela une mise en scène clichée, une scénarisation des missions parfois catastrophiques et une technique à la ramasse et vous tenez la véritable déception de l'année. Dommage.

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LE WTF DE 2016

Qu'est-ce qui a bien pu se passer pour qu'on en arrive là ?
2K Czech nous avait servit deux premiers épisodes de hautes volés avec la série Mafia. Des jeux d'action efficaces, parfois exigeants mais toujours servis par une écriture et une réalisation de grandes qualités.
Avec Mafia 3, 2K et Hangar 13 nous proposent les cinématiques les plus réussies de 2016. Avec des dialogues d'une grande justesse, des thématiques fortes et matures et une mise en scène exemplaire, Mafia 3 aurai du être l'un des jeu les plus importants de sa génération.
Malheureusement, à un moment le jeu se lance et là la désillusion commence.
Open World mal foutu, technique honteuse sur PC et consoles, répétitivité des missions, objectifs annexes en mode géo-caching ridicules. Bref, un mauvais jeu tout simplement.
Mafia 3 résume à lui seul tout le mal qu'Ubisoft et sa formule Assassin's Creed ont pu apporter au jeu vidéo.
On y reviens pourtant sans cesse à cause de son scénario passionnant, mais rien ne vient enlever le gout de déception qui traîne tout au long du jeu.
La saga Mafia pourra-t-elle se relever après ça ? Rien n'est moins sur. Mais l'espoir fait vivre.

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LA DÉCOUVERTE DE 2016

Oui le jeu est sortit en 2015, mais son portage PS4 date de 2016 donc... voilà.
Avec Invisible Inc., Klei Entertainment réalise le Xcom 2 que l'on aurait voulu.
Ici le scénario est basique mais permet de mettre en scène efficacement un gameplay basé sur l'infiltration au tour par tour des plus jouissif.
Le stresse monte très vite dans ce jeu exigeant mais gratifiant à plus d'un titre.
La direction artistique s'inspirant autant du Cyberpunk que du film noir des années 30 est un pur régale visuel.
Contrairement à Xcom 2, vous avez tout le temps l'impression ici de maîtriser le jeu à vous seul. Si vous faites des erreurs (et vous en ferez un paquet), c'est entièrement de votre faute, et pas à cause d'un calcul aléatoire frustrant du jeu.
Une réussite tant ludique qu'artistique.

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LE REMEDY DE 2016

Quand les créateurs de Max Payne et de Alan Wake sortent un nouveau jeu, forcément on y joue.
Résultat en demi-teinte malheureusement pour ce Quantum Break techniquement assez bluffant que ce soit dans son aspect graphique ou dans la mise en scène de ses combats très impressionnants.
On regrettera une série TV, de qualité, mais qui vient complètement tuer le rythme du jeu. Associé à un scénario assez banal et parfois plutôt brouillon et on en retire une expérience plaisante sur le coup, mais qui ne marque pas durablement. Et le replay est assez complexe du fait de devoir revoir les épisodes de la série.
Quantum Break à le mérite de soulever à nouveau la question de la nature d'un média. Un jeu vidéo n'est pas une série TV (une question que le cinéma hollywoodien devrait également se poser mais bon...) et mélanger les deux nuit à l'ensemble.
A la prochaine Remedy, en espérant une expérience plus marquante.
Quantum Break reste tout de même un très bon jeu pop-corn très bien réalisé et plaisant à jouer.

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LE "FAUT PAS DÉCONNER NON PLUS" DE 2016

Ouais bah dommage quoi....
Après 10 ans de développement de toute façon fallait pas rêver non plus.
Jeu répétitif, Open World inutile, scénario mal écrit, pas carré techniquement. Final Fantasy XV s'avère bien moins passionnant manettes en main qu'il ne l'a été pendant sa longue et douloureuse production.
Combien de série ont été massacrée sur l'autel de ce foutu Open World cette année? Mais bon, ça vend alors j'imagine que ce n'est pas grave.

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LA CAUTION INDÉ DE 2016

Parce que le marché de l'indé ça devient vraiment la fête au village en 2016, il fallait bien en choisir un et ce sera Abzû.
J'ai toujours du mal à comprendre comment les gens qui critiquent Uncharted 4 pour la pauvreté de son gameplay peuvent considérer des jeux comme Abzû et Journey comme des chef-d’œuvres, mais mon avis on s'en tape.
Donc voilà, Abzû c'est pas un vrai jeu, mais c'est très sympa. Ça se passe sous l'eau et ça repose l'esprit (et surtout les oreilles) pendant 1h30.
J'ai hâte de voir le prochain "truc" que nous pondra Giant Squid, en attendant, Abzû c'est pas mal du tout.

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LE "QUE DALLE" DE 2016

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