Les albums que je n'aurais jamais acheté en vrai si je ne les avais pas découverts avant grâce au téléchargement ou à la copie sur K7, CD etc... (HADOPI TUE LA CREATION)

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J'avais comme tout le monde en K7 le best of que tout le monde a des Kinks, sauf ceux qui l'ont pas. Le téléchargement m'a autorisé à être un peu plus curieux.

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On m'avait dit: "fonce, c'est génial!". Moi je suis méfiant, j'ai guetté ça comme un sale pirate et c'était cool. Direction le disquaire.

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Comme j'ai toujours beaucoup aimé ce groupe, par principe, j'ai écouté comme un voyou. Bon, loin d'être le meilleur, mais quand même, ça méritait de voir à quoi ressemblait le livret.

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Album de l'été pour un été avec des potes. L'un d'eux l'avait amené tout téléchargé comme un délinquant sur son PC. J'ai tellement aimé que je l'ai acheté avec une aura de civisme légaliste incroyable autour de ma tête.

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J'avais téléchargé du Ambassador 21 par erreur en voulant choper du Biohazard. Le hasard fait tellement bien les choses que j'ai finalement acheté l'album (contrairement à celui de Biohazard).

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Je ne sais même plus comment ces fichiers numériques sont arrivés sur mon PC. Toujours est-il qu'un jour j'ai écouté avec attention, et que pouf, je me suis précipité pour dépenser de l'argent.

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"Tiens écoute ça, c'est super cool, je l'ai en mp3, je te le file". D'accord. Je le note, je l'écoute, j'aime et pas qu'un peu, alors je le commande chez SFR Records (qui te filent un tas de bonus dans ton paquet envoyé des States que t'en est tout content).

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"Tiens écoute ça, c'est super cool, je l'ai en mp3, je te le file". D'accord. Je le note, je l'écoute, j'aime et pas qu'un peu, alors je le commande chez SFR Records (qui te filent un tas de bonus dans ton paquet envoyé des States que t'en est tout content).

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Lire un blog tenu par des profs d'histoire trop cool, un article passionnant sur New-York dans la culture populaire américaine, avec en lien le clip de "Empire State of Mind". Intrigué par ce titre sympathique malgré l'intervention calamiteuse d'Alicia Keys, je me procurai sournoisement l'album. Convaincu (et bon public, soyons honnêtes), je l'achetai avec des vrais sous.