Les chansons ringardes : amour, été, plages, qu'on prétend ne pas aimer

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Sous les pavés, la plage. Sur la plage, les amours impossibles. Restons donc sur les pavés.

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Elle est commise par C. Jérôme cette chanson ( "Quand vient la fin de l'été sur la plage..." ). À écouter à plusieurs pour se marrer un bon coup.

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Cette chanson, dotée d'un texte affligeant, d'une mélodie sans saveur parvient encore à être endommagée par l'interprétation minable de C. Jérôme. On peut quand même en rire.

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Morceau connu aussi sous le titre "Coquillages et crustacés". Finalement, ça s'écoute. Et puis ce n'est pas une chanson d'amour mais ça parle de sable, de plage et d'été, comme il se doit.

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François Deguelt, avec sa voix de crooner, raconte encore une histoire d'été et d'amour. À écouter pour les nostalgiques : je suis sûr que vous la connaissez...

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Le titre est évocateur : inutile d'en rajouter. Inutile non plus d'écouter, ce n'est pas assez mauvais pour cela, vous pourriez être déçu.

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J'ai bien cherché, je me suis préparé psychologiquement mais non : rien à sauver de cette chanson d'une niaiserie si profonde qu'elle fait pâlir de jalousie la fosse Marianne. Mon premier 1/10. Il faut un début à tout. Et j'en recommande l'écoute.

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C'est le disque qu'il faut envoyer valser.

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Souvent, je pense à d'autres chansons. Jamais à celle là.

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Devinez ce qu'on fait, entre deux amants, avant de se dire adieu. Je vous le donne en mille : on fait l'amour. Classique, en somme.

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La sentence est dans le titre.

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Un souvenir de jeune adolescent. La chanson date de 1974.

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Avant, on appelait ce chanteur Richard. Il semble qu'il ait repris son prénom d'origine. Si quelqu'un à la réponse, merci d'avance.

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À ma connaissance, la seule chanson connue de Bibie. Tout doucement, certes, mais à quand le prochain tube ?

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Non ça ne vaut pas 6. C'est l'effet "souvenir". On ne choisit pas toujours le slow sur lequel on danse avec une belle femme, inoubliable.

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Derrière un texte, comment dire, les mots me manquent, disons épouvantable, se cache une sensibilité, comment dire, les mots me manquent, disons grotesque. L'interprétation est, comment dire, les mots me manquent, disons que c'est pas interprété, c'est plutôt chié.

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Vous savez, le top, c'est de rêver d'ailes. De rêver qu'on vole. Au réveil, on a la certitude d'avoir ressenti ce que ressens un oiseau. Pour en revenir à la chanson, comme il est très tard, je vais être magnanime sur la note. Mais que ça ne se reproduise plus !

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Elle est peut être pas ringarde cette chanson, mais seulement tombée dans l'oubli. Le texte a vraiment du sens et la musique est splendide.

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C'est pas comme avec mes critiques...

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À la fois fraîche, ingénue et délurée, Lio est tout simplement craquante !
Et elle l'est restée avec les années.

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...cette chanson n'existerais pas non plus.

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Aucun problème cardiaque. C'est l'autre cœur dont il est question, celui des poètes.

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Et si c'était vrai ?

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Pile je gagne, face, tu perds.

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Vraiment les boules.