Les films dont le scénario me rend jaloux

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Carné-Prévert un duo d'enfer

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Hitler serviteur de deux maîtres! Ou quand l'humanité se retrouve dans un clown et tire à boulets rouges sur ces dictateurs qui osent jouer les clowns ! Monologue final, le plus grand du cinéma

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Tout le génie de Woody Allen sur l'homme et ses bassesses pour être aimé...jusqu'à la folie...caméléon dans l'ombre de la nuit...

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Le seul grand film de Peter Sellers...incompris, sans pitreries,le rôle de sa vie! on lui a volé l'Oscar,on l'a boudé, on l'a oublié.... et en passant devant on n'a pas compris ce petit chef d'œuvre de spiritualité sans que ça paraisse...

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Jamais histoire d'amour ne refléta autant l'esprit des 60's et 70's et des aspirations de l'amour...des idéaux, des leçons de vie charmantes par une vieille dame, une ampleur gigantesque sous un minimalisme de dentelle et une folie savoureuse comme un dernier champagne avant de mourir...un film qui donne le goût de vivre et d'aimer.

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Au-delà...de Arcand ...il y a Jésus de Montréal et le génial Lothaire Bluteau qui trouve ici un rôle à sa mesure !
Inoubliable ! adulé dans certains pays, détestés dans d'autres... comme Jésus !
Arcand signe un de ses chefs d'œuvre

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Un homme complexe, plein de contradictions et le scénario est à la hauteur et Orson tourne ça comme un génie et marque l'histoire du cinéma à jamais! Ce film , le meilleur de tous les temps pour certains , tuera sa carrière.

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Tabarnak de scénario !

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Super, tout pour plaire au public. D'ailleurs Forcier visait ce but une fois dans sa vie!
Cible atteinte intelligemment
Du bonbon à la Forcier quand.... il fait du sucre à la crème !

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Une invention de scénario qui ne tourne pas en rond mais nous montre les éternels cercles de l'amour. Seules les chansons ou la chanson est faiblarde.

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Le scénario fut dur à trouver pour Woody Allen à partir de la deuxième partie du film ! Quand la réalité finit par toujours tuer la fiction...il ne reste qu'un seul espoir ...retourner au cinéma

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Je réclame le droit à tout scénariste de jouer avec des gros traits, des types , des folies claires...ça emmerde les intellos et ça amuse le cœur des enfants. Plus c'est simple, plus les intellos déraillent, plus c'est amusant...Les vrais intellos se taisent devant les charmes enfantins...car il y a bien longtemps qu'ils ont perdus leur naïveté et une fois perdue , ils ne la retrouvent jamais...ils l'ont enfouies dans ce coin du cerveau en forme de coffre-fort sans combines, ou dans une cage à oiseaux dont ils n'ont plus la clef, ils le savent......et le film vit....lui...

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Très bon scénario alourdi par la voix-Off ...dommage mais reste que c'est fascinant

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Il faut le voir pour le croire.... des inventions folles, des personnages à tuer ou à embrasser, on n'est loin de tout ce qui se fait à cette époque...
Un film qui donne de l'espoir dans le cinéma Québécois voire mondial! Émile Najar le cita d'ailleurs dans un roman...comme espoir.

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Arcand enfin nous sort un grand film !
Boudé, pas apprécié, il jette un regard vitriolique sur le travail, le patronat, les jobs de merde et les petites filles qui font des pipes dans leur sous-sol !

L'imagination en prime , il y a dans ce film toutes les audaces....pour finir avec un regard sur la vie qui est essentiel ...si vous n'avez jamais fait de confitures , vous ne pouvez pas comprendre...

Ce film n'est pas pour les Français

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Poétique, amoureusement “fucké”, légèrement torturé, le scénario nous fait prendre un taxi merveilleux où l'on peut jouir du Paris des Années Folles et ces personnages enfin réunis : Hemingway. Picasso, Dali, Gertrude Stein, Lorca etc.
On remonte avec la machine à remonter le temps, enfin quelque part d'intéressant, vers une destination éblouissante de beauté . Juste pour l'invention, le plaisir et ce scénariste insécure pris avec son acheteuse compulsive...on adore....

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Oui le crime peut payer et certains s'en tirent très bien ! Les angoisses finissent par passer et l'assassin reprend sa vie normale. Délicieux comme un soufflé, un soufflet à la morale.

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Que dire sur ce film qui dénonce le racisme en étant raciste ? Noirs racistes avec les noirs, blancs condescendants, racistes avec les noirs, noirs rampants depuis des siècles pour gagner leur vie, tout y passe !

Et ça marche , on en prend plein la gueule de ce cirage à chaussure ! Jusqu'au crime éternel du noir contre son frère noir. Les obsessions de Spike qu'on avait vu ailleurs dans ses films sur la condition noire touchent ici à une façon de montrer les choses, plus que de les dire. Une apothéose de sa thématique récurrente.

Et le montage final des noirs ayant dansé, chanté, faits les pitres, dans une succession d'images à la Cinema Paradiso, est saisissant et inoubliable

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Peter Weir signe ici son chef d'œuvre, avec en prime , une des plus belles finales du cinéma contemporain: la révolte nourrie.

Inoubliable !

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Construction impeccable, rythme parfait, jouissance finale...