Les plus beaux menus

Annotation :

Simple. Image superbe avec musique magnifique (Dearly beloved) avec le son de la mer en fond. Reposant et déja émouvant.

Annotation :

La simplicité encore une fois. Un plan épuré sur une fenêtre envahie par des feuilles. Musique très belle, son de sélections agréable, bref très beau menu.

Annotation :

Un menu progressif, où un même plan va évolué au fur et a mesure de votre avancé dans le jeu. Il va donc devenir de plus en plus chaotique. Tout a un sens dans ce jeu, même les temps de chargements !

Annotation :

Le plus beau menu de la saga, un plan travelling présente Old snake, dépressif, dans un cimetière jonché de fleurs blanches, qui parleront directement aux fan du précédent opus. Musique somptueuse de Harry Gregson Williams. On a déja envie de pleurer.

Annotation :

Rue de columbia avec musique intradigétique ( "After you've gone"). Elle est animée et chatoyante. La sélection des options vous fait rentrer dans un commerce de la rue ( là ou se trouve la radio qui diffuse la musique) et vous montre le menu d'un restaurant. La sélection d'une partie exécute un mouvement grue vers la ciel. Retranscrit parfaitement l'ambiance du jeu (ou du moins celle de son introduction).

Annotation :

Un menu assez suprenant. Il vous immerge dans le camping car d'un pilote de rally, selon vos sélections vous passerez d'une pièce à l'autre ou vous sortirez même de votre véhicule. On entends la foule en délire que l'on peut observer si l'on sort du camping car. Clair et immersif.

Annotation :

De gros néon présente le titre du jeu. A la suite de votre appuie sur Start, la caméra vous place, au travers d'un mouvement grue, dans une ruelle sombre et humide où une voiture projette avec ses phares le menu de sélection. Un homme se promène dans la rue et passe devant les phares, son ombre gêne la projection. La musique Jazz est sublime.

Annotation :

Dès le menu, l'ambiance de Cuphead est tout à fait claire. On commence par un morceau constitué seuleument d'harmonies vocales chaleureuses avec la présentation des deux protagonistes pour le menu start, mais une fois le bouton pressé, le menu gagne une tout autre ambiance. L'arrangement du morceau change totalement pour ne laisser place qu'a un piano mélancolique. L'image du fond nous présente une simple tasse, estompant ainsi l'effet cartoon dans une peinture réaliste, liant ainsi la vie du dessin animée avec l'imagination de l'artiste, comme si la matière morne espérait en secret au souffle créateur . Tres intimiste, le jeu nous présente directement son ambition : être avant tout une oeuvre d'art.

Annotation :

Le jeu possède plusieurs menus de base, qui se reposent tous sur le même concept : créer une atmosphère contemplative avec un plan cam à l'épaule, le sujet étant la ville de ShangaI. Chaque plan est à la fois simple, et très réfléchis, on est dans le pur documentaire. Le son est tout aussi important et joue avec des bruits urbains reposants et de douces musiques pop étrangères. Tout semble naturel et évocateur, avec une vraie sobriété.

Onanisme bonus :

C'est un menu fort, car il représente l'esprit le plus pur du jeu : nous donner la sensation de vivre le monde du jeu. Le menu s'oppose à la violence forte qui nous suit tous le long du jeu, il rejoint en ce sens les temps de chargements articulé autour de conversations téléphoniques souvent tendres. Kane and Lynch 2 est un jeu très incompris, car contrairement à beaucoup de TPS, la violence n'est pas un but, mais un moyen d'incarner le joueur dans le virtuel. Ce menu est donc l'objectif final du jeu, tout est déjà dit par l'évocation cinématographique. En démarrant la partie, ce sera au média vidéoludique de prendre la relève la forme est différente mais le fond est le même.

Annotation :

Les menus des Souls ne sont pas intérressants. Ils se suffisent au titre du jeu le plus souvent. Mais pour Dark Souls 3, il y a ce quelque chose, ce souffle, cette bande son. On a pas encore appuyé sur start que des choeurs féminins terrifiants nous assaillent, sonnant la fin d'un monde, soutenus par la plainte chantée de Yuka Kitamura. Nous voilà submergé par une profonde mélancolie, totalement impuissant, paralysé devant le redoutable titre du jeu, avant que des choeurs masculins nous assomment plus encore dans une spirale de violence et d'agonie. Et pendant ce temps, le bouton start semble impréssable.