Mes jeux de gestion préférés et parfois méconnus

Annotation :

Malgré les années, il n'a pas réellement été égalé et reste assez beau graphiquement, très complet, rapide à prendre en main et captivant. Bien que le jeu intègre transports routiers, maritimes et aériens, il est avant tout intéressant pour la partie ferroviaire. Pour y jouer aujourd'hui, on utilisera de préférence l'excellente version Open TTD, remake entièrement recompilé et moddé par des fans.

Annotation :

Le tout premier de la série. Il est aujourd'hui bien limité, mais il est à essayer pour la curiosité. On apprécie tout particulièrement les animations amusantes, les musiques et le passage des saisons sur la version Super Nintendo.

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Le dernier Sim City valable sorti à ce jour. Il reste acceptable graphiquement aujourd'hui encore. La touche cartoon du 3000 a disparu. On apprécie la possibilité de nommer chaque rue, chaque bâtiment, chaque station de transport, etc. On aime aussi la gestion du style architectural qui permet de créer un centre historique, un CBD, des faubourgs, etc. La possibilité de créer une agglomération avec des villes spécialisées a aussi son intérêt. On peut ajouter ses personnages des Sims pour les observer évoluer dans sa ville et donner des conseils pour l'améliorer.
En revanche, la gestion du relief n'est pas excellente. La possibilité de conduire des véhicules et de remplir des missions dans l'extension est sympathique, mais un peu anecdotique. On apprécie de pouvoir modder le jeu pour une gestion plus réaliste des courbes et ajouter de nombreux bâtiments inédits.

Annotation :

Encore un jeu souvent imité et rarement égalé. Il reste beau, drôle, complet et excellent à jouer même plusieurs décennies après sa sortie. Par rapport à Theme Park, on adore la possibilité de personnaliser chaque salle (emplacement, ouvertures, objets optionnels) pour se donner l'impression de créer un hôpital à son image.
Pour y jouer en français, il faut privilégier une version patchée pour éviter un bug au 5e niveau.

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Gestion d'agence immobilière très drôle et cynique. On préférera le remaster de 2017, légèrement plus beau et agréable à jouer.

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Probablement le plus beau, le plus complet et le plus agréable de l'excellente série de city-builders de Sierra. Les campagnes sont prenantes, la construction des temples a été (fort heureusement !) simplifiée par rapport à Pharaon, et les alliances/conquêtes nettement améliorées.

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Le jeu est beau, les bruitages et la musique prenants (attention à la saturation toutefois !), la campagne est longue et agréable (un groupe de naufragés romains tente de retourner à Rome en passant de monde en monde, en profitant au passage pour créer de nouvelles colonies). Il repose sur le principe du maillage : les routes sont régulièrement jalonnées de drapeau et chaque tronçon est affecté à un bonhomme qui achemine sans cesse les marchandises au drapeau suivant.
Il existait une extension permettant notamment de créer ses propres cartes.

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Le seul de la série qui ne se déroule pas durant la guerre froide, mais à l'âge d'or de la piraterie. S'il n'est pas inoubliable, on s'offrira le plaisir de créer sa petite société anarchiste en imaginant Guybrush Threepwood y vivre des aventures.

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Agréable et joli jeu de gestion dans lequel on cherche à faire prospérer une petite société viking.

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Bon petit jeu de gestion et de stratégie, un peu inspiré de Settlers, dans lequel il faut partir à la reconquête d'un royaume médiéval menacé.

Annotation :

Le jeu était assez moyen, en raison d'une interface pas toujours très optimisée et surtout assez répétitif, malgré la possibilité de choisir entre 3 ou 4 carrières (propriétaire terrien, marchand, corsaire ou pirate) et 4 nations (France, Angleterre, Espagne, Provinces-Unies). Le joueur pouvait choisir de suivre la quête principale, plutôt intéressante, ou de remplir les nombreuses missions secondaires proposées dans les ports (chasse au trésor, chasse aux pirates, transport de voyageurs ou de marchandises).
Graphiquement, le jeu était relativement réussi et n'a pas trop mal vieilli.
Malgré de nombreux défauts, le dépaysement et la sensation d'aventure étaient présents.

Annotation :

Le problème majeur de ce jeu est qu'il n'a pas grand chose à voir avec la série dont il constitue une sorte de spin-off (il n'a pas été développé par Maxis). Alors que dans un Sim City traditionnel on se concentre sur le développement par zone avec des statistiques globales, la construction se fait ici bâtiment par bâtiment. Chaque bâtiment génère ou consomme des points : emploi, loisir, autorité, spiritualité, etc. Il faut donc équilibrer les besoins et les ressources pour obtenir une ville agréable à vivre ou, en tout cas, fonctionnelle. L'intérêt majeur est que, selon les bâtiments construits et la priorité donnée à la ville, celle-ci adoptera l'aspect d'une ville utopique (cité-jardin avec une communauté artistique ou religieuse, petite ville à vocation agricole et écologique), dystopique (ville cyberpunk, paradis du jeu, CBD, dictature totalitaire) ou imaginaire (médiévale, fantastique).
Assez éloigné d'un Sim City conventionnel, reprenant plusieurs éléments des city-builders de Sierra, ce jeu a au moins le mérite d'essayer de nouveaux éléments de gameplay. Le résultat est en demi-teinte : un jeu plutôt agréable à regarder et à jouer, mais trop vite limité, simpliste, répétitif. L'extension rajoute de nouveaux bâtiments (à dominante loisirs) et un peu de challenge, mais ne corrige pas suffisamment ce jeu qui reste brouillon et sur lequel on ne revient plus depuis longtemps. Dommage.