Mon classement des jeux Kingdom Hearts

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Parce que je suis un être d'une originalité folle, je considère le second volet comme mon préféré. Mais en même temps, comment ne pas adorer ce chef-d'oeuvre? Ce n'est même pas seulement mon jeu vidéo Kingdom Hearts préféré, c'est mon jeu vidéo préféré tout court.
À son arrivée, Kingdom Hearts II a apporté une plus grande complexité et une plus grande maturité que ses prédécesseurs. L'intrigue est complexe, mais reste digeste, ce n'est pas encore le méli-mélo pas possible que la saga deviendra ensuite. Lorsque j'ai commencé ce jeu, j'ai eu le sentiment que l'on jouait avec mes nerfs. Je ne comprenais rien de ce qu'il se passait, je ne savais pas qui était ce Roxas que je contrôlais. J'étais frustrée et j'avais peur de ne pas aimer ce jeu autant que tout le monde... puis, Roxas a disparu et laissé sa place à Sora, laissant enfin l'intrigue commencer. Et là, même si je ne comprenais pas tout, j'ai su de suite que je jouais à un jeu formidable. Kingdom Hearts II propose une intrigue très mystérieuse, mais chaque question posée trouve progressivement sa réponse. L'univers s'enrichit, permettant à cette saga d'être bien plus qu'un bête mélange Disney/Final Fantasy. On suit une histoire d'une véritable ampleur, en mettant fin aux terribles agissements de l'Organisation XIII, des antagonistes de poids. Les mondes Disney sont très agréables à parcourir et leur découverte ne met pas en pause l'intrigue principale. Je peux parler de pleins de trucs pendant des heures, du game play, du bon visuel, de la super musique de Yoko Shimomura... Mais je pense que ce qui fait la véritable force de Kingdom Hearts, ce sont ses protagonistes. Sora est très attachant dans cet épisode, il est plus frimeur que dans le premier jeu, mais ça le rend plus humain et expressif. Et je suis une immense fan du trio qu'il forme avec Donald et Dingo. Ils sont tous les trois très attachants, très mignons à voir coopérer ensemble. Il en va de même pour tous les autres personnages, qu'ils soient Disney, Final Fantasy ou des originaux de Kingdom Hearts. On ressent une attache si forte pour les personnages, cela rend d'autant plus émouvante l'histoire que l'on crée autour d'eux. Jusqu'au bout, l'intrigue devient de plus en plus intense, l'épique et l'émotion sont au rendez-vous. Et en bonus, on a une super VF.
J'aurai pas assez de place pour dire tout ce que j'adore dans ce jeu... mais ma critique est juste en-dessous!

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Kingdom Hearts III est un peu frustrant sur certains points mais ses qualités rattrapent les problèmes évidents.
Ce qui m'embête avec ce troisième volet, c'est son rythme que je trouve beaucoup trop effréné. Dès le début, le jeu nous précipite très rapidement dans les mondes Disney, sans grande préparation (on est loin de l'intro puissante et perturbante de Kingdom Hearts II). Et dans la seconde partie de l'histoire, beaucoup de problèmes mis en place dans les spin-off se révolvent trop rapidement. Au final, le jeu en est donc beaucoup trop court. Je trouve également que Kingdom Hearts III possède un ton un peu trop léger dans sa première partie, il manque l'ambiance plus mystérieuse et inquiétante de ses prédécesseurs. Mais heureusement, ça ne m'a pas gâché l'expérience. Déjà, c'est le meilleur au niveau du game play, le jeu est super fun et se lâche complètement dans des attaques spéciales délirantes. On a tellement de possibilités que le jeu en devient un peu trop facile, mais comme je suis une quiche, ça ne m'a pas dérangée. La musique de Yoko Shimomura est toujours très sympa. On a également deux chouettes chansons d'Utada Hikaru pour le prix d'une. Le jeu est super beau visuellement, c'est simple et détaillé en même temps. Les mondes sont très jolis et font enfin bien vastes et ouverts. Je suis très fan de quasiment tous les films représentés dans le jeu (mon Frozen d'amour!), le plaisir en est décuplé. Après, les mondes ont tendance à un peu trop recopier l'histoire et la mise en scène des films (Arendelle en tête, malheureusement), ce qui place un peu trop nos héros dans une position de spectateurs. Mais une fois que l'on se relance dans l'histoire principale, cela devient juste excellent. Plusieurs sous-intrigués laissées en suspend dans les spin-off trouvent ici leur conclusion, sous une magnifique pluie d'émotions. On retrouve plusieurs personnages que l'on a aimés, pour les voir coopérer ensemble au nom de la lumière. C'est de l'épique et des larmes non stop jusqu'à cette très belle fin, qui conclut efficacement et tristement l'arc de Xehanort...
... Dommage qu'on n'ait pas de VF.

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Le tout premier jeu, celui par lequel tout a commencé!
Je pense que cet épisode n'a aucun vrai défaut notable, juste que les qualités des opus II et III me touchent encore plus. Ce premier jeu a parfaitement su poser les bases de l'univers. Dès le début, on est happé par cette ode au voyage. Le ton est encore très naïf, l'histoire encore très simple (durant la majeure partie du temps, on ne fait finalement que voyager dans les mondes Disney, sans être énormément confronté à tout ce qui est exclusif à Kingdom Hearts), mais ce tout est accompagné d'un bon mystère qui rend l'aventure passionnante. Les mondes Disney sont très sympathiques même s'ils sont encore très petits. Le game play est bien sympa, même si la caméra est parfois un peu capricieuse. La musique de Yoko Shimomura commence déjà à faire ses preuves. Par contre, je ne suis pas une fan hard-core du morceau Simple and Clean qui en fait des caisses, la version instrumentale est nettement mieux. Ce jeu présente les débuts du trio Sora-Donald-Dingo. Si ces deux derniers apportent direct toute la sympathie qu'on est en droit d'attendre d'eux, je trouve que Sora ne possède pas encore tout ce qui le rendra attachant par la suite. Il est mignon, c'est sympathique de suivre l'histoire à travers ses yeux, mais c'est le héros naïf typique sans vrai défaut humain ce qui le rend un peu moins drôle. Globalement, le jeu reste encore simple et naïf par rapport à ce que cette saga deviendra ensuite. Je pense que c'est à la fois ce qui fait la force du jeu, et aussi ce qui fait que je lui préfère les numéros II et III. Quoi qu'il en soit, ça reste un opus épique et attachant!
PS: Et le vaisseau Gummi, ça a toujours été cool, même avec cet opus!

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358/2 Days n'est pas spécialement le jeu le plus populaire de la franchise... pourtant, en ce qui me concerne, c'est mon spin-off préféré.
Si j'aime autant cet opus, c'est principalement pour son histoire, qui est déchirante à souhait. On suit ce pauvre Roxas, Simili de Sora, qui est prisonnier et manipulé par l'Organisation XIII. Tout du long, une véritable mélancolie se fait rudement ressentir. Notre héros se contente de suivre les ordre qu'on lui donne, sans avoir aucune emprise sur sa destinée. Roxas parcourt des mondes Disney déjà visités par Sora, mais à l'inverse de son original, le jeune blond ne fait ami avec aucun de nos héros d'enfance. Il se contente d'être un lointain spectateur, ce qui renforce cette impression d'être prisonnier de l'Organisation. En cela, Roxas est un héros profondément touchant. Il n'apparaît alors que comme une simple copie du personnage central, ou un simple pion des antagonistes. Mais il essaie comme il peut de vivre avec ça, de se chercher des sentiments et un sens à sa vie. Et c'est un sens qu'il trouvera avec ses deux amis, Axel et Xion, qui sont tous les deux à compter parmi les meilleurs personnages de la saga. Axel possède une vraie classe, un bon sens de l'humour et de la répartie, tandis que Xion est une jeune fille torturée mais sachant tout de même garder le sourire. Ensemble, ils se complètent super bien et forment un trio des plus touchants. Leur histoire tourne peu à peu au drame, contribuant à rendre ce jeu des plus intenses. Après, on peut effectivement reprocher un game play très répétitif et peu passionnant, Roxas passant la majeure partie de son temps à remplir de simples missions. Le visuel est également en retard, c'est bien trop pixelisé pour de la DS. Pour ces dernières raisons, le jeu est parfois un peu ennuyeux à jouer sur le coup... mais une fois arrivé au climax, ça devient incroyable. La marque que laissent l'histoire et les personnage est indélébile.

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C'est fou ce que tout le monde l'adore celui-là, y a même pleins de gens qui pensent que c'est le meilleur de tous les jeux... Personnellement, je le trouve très bien fait mais ce n'est même pas mon spin-off préféré.
C'est intéressant de se rendre dans le passé et de se retrouver à une époque où il y avait davantage de Maîtres de la Keyblade. Et à l'instar de 358/2 Days, on suit un véritable drame, avec trois amis qui seront contraints d'être séparés. Mais Aqua, Terra et Ventus, sans être inintéressants, ne font pas spécialement partie de mes personnages préférés de la saga. Terra, qui est un homme profondément bon mais rattrapé par le pouvoir des ténèbres, est certainement le mieux écrit des trois. Mais à côté, Aqua est bien trop lisse à mon goût. Quant à Ven, quand on a déjà connu Sora et Roxas, ce jeune garçon n'a pas grand-chose pour se démarquer. Le jeu fait également de son mieux pour nous faire comprendre la force de leur lien, mais contrairement à Roxas, Axel et Xion, nous n'avons pas pu assister à la naissance de leur amitié et je trouve que cela crée un certain manque. Cela dit, l'histoire que l'on crée autour d'eux est très chouette à suivre. C'est plus théâtral, moins intimiste que dans 358/2 Days, mais le sens de l'épique est au rendez-vous. On suit le scénario de chaque héros et j'aime beaucoup comment nos trois protagonistes se retrouvent à chaque fois aux mêmes endroits, mais mènent des actions qui font toujours vivre l'aventure très différemment. Lorsque Birth by Sleep est sorti, les mondes Disney n'avaient jamais été aussi aboutis. Ils sont vastes et font preuve d'une véritable précision par rapport aux images données par les long-métrages. Même les ennemis (les Nescients) reprennent les thèmes des films, seul Kingdom Hearts III reprendra aussi bien cette idée. Même musicalement, ce jeu possède sa propre identité, avec plusieurs beaux morceaux de violon. Donc globalement, malgré des héros qui pourraient être encore mieux écrits, ça reste un très bon jeu!
PS: Je précise que depuis que j'ai joué à 0.2, mon attachement pour Aqua, Terra et Ven s'est renforcé. Le drame de leur situation est encore plus pesant vu comme ça...

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Là, on quitte un peu la catégorie de l'excellence, mais Dream Drop Distance reste un jeu bien sympathique.
On suit Sora et Riku, les deux héros jouables du jeu, dans leur apprentissage pour devenir des Maîtres de la Keyblade à part entière, c'est très sympa sur le principe. Comme pour Birth by Sleep, j'aime bien voyager dans les mêmes mondes, à travers plusieurs points de vue différents (en l'occurence, ceux de Sora et Riku). Il y a de bonnes idées de game play, on a droit à beaucoup de possibilités pour utiliser les décors dans les combats. Après les Sans-coeur, les Similis et les Nescients, on découvre de nouvelles créatures qui sont cette fois de notre côté: les Avales-Rêves. Ces petits monstres sont un peu moches mais ils sont utiles et amusants. Beaucoup de mondes Disney sont inédits (celui de Fantasia est très créatif) ou réutilisent le même film/la même saga d'une manière inédite (que ce soit Pinocchio ou Tron). Ce que j'aime moins, c'est que nos deux amis se retrouvent dans des mondes dits "endormis" (je me souviens plus trop des détails). Ils sont donc souvent seuls dans les mondes (même si on retrouve quelques fois des visages connus). Mais aussi, ils sont chacun seuls dans leur coin, sans aucun Donald ou Dingo pour les accompagner, ils n'ont aucun contact avec leur Maître Yen Sid... Bref, ils sont complètement coupés du monde. Et ça fait partie du principe, mais je trouve que ça rend l'aventure un peu plus tristoune. De plus, si l'intrigue était déjà assez complexe... c'est avec Dream Drop Distance que l'histoire est devenue encore plus bordélique, en s'offrant un twist et des voyages dans le temps! On nous dévoile alors le véritable plan de Xehanort, qui s'avère encore bien plus compliqué que tout ce qu'on pouvait imaginer. Après, cela crée une bonne transition vers Kingdom Hearts III, mais peut-être que ce spin-off se contente justement un peu trop d'être une simple transition. Ça reste quand même un opus au game play très sympathique.
PS: Par contre, ça m'énerve que Sora ait tout le temps la tête qu'il avait à 14 ans. Il était si moche, à cet âge-là...

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Chain of Memories est un jeu unique au concept fascinant... mais c'est quand même pas l'épisode qui me fait triper le plus.
L'intrigue nous place dans un cadre très intéressant. Nos trois héros parcourent le Manoir Oblivion et retournent dans les mondes Disney à travers les différentes portes du manoir. On vit alors une aventure très mystérieuse et suffocante. On a beau voyager, on se sent continuellement enfermé et manipulé. Même si voyager dans un manoir n'est pas ce que je préfère, l'expérience est prenante et vaut le coup d'être vécue. Chain of Memories est une introduction à l'Organisation XIII, les membres sont déjà bien mis en valeur, on constate déjà bien leur capacité à contrôler les souvenirs et les sentiments. Une fois que la partie avec Sora est entièrement finie, on a également une partie bonus avec Riku, qui est plus rapide mais est intéressante pour mieux comprendre la psychologie du jeune homme. Mais ce qui m'a empêché d'être davantage prise dedans... c'est le game play. Pour se battre et se déplacer, on utilise un curieux système de cartes. Il faut en obtenir un bon nombre et en avoir de suffisamment de sortes différentes pour se battre, il faut également faire preuve de rapidité pour utiliser les bonnes cartes... Je ne trouve pas ce système bien fun. Ça a le mérite de proposer une expérience originale mais ce n'est pas des plus trépidants. En bon point cependant, j'aime beaucoup les graphismes pour la Game Boy Advance. C'est le seul jeu Kingdom Hearts à être vraiment en 2D, et je trouve que cela fonctionne bien, le visuel est super mignon. Donc globalement c'est une histoire fascinante et bien fichue, mais c'est pas hyper épique à vivre.

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Melody of Memory propose un concept très étonnant. En effet, il s'agit d'un jeu de rythme. Il semblerait donc logique qu'il s'agisse uniquement d'un petit bonus, à ne pas considérer comme un Kingdom Hearts officiel... sauf que l'histoire racontée est bel et bien canon.
À travers ce jeu, dont l'intrigue prend place après Kingdom Hearts III, nous assistons à la restauration des pouvoirs de Kairi... et c'est à travers un jeu de rythme, se basant sur les musiques de la saga, que nous allons vivre cette restauration! Le concept a le mérite d'être original, on ne peut pas le nier. Et pour ce qui est de l'aspect ludique, je trouve que ce spin-off est une réussite. Bon déjà, je suis une grande fan de la BO des différents jeux, Yoko Shimomura étant vraiment parvenue à créer des morceaux cultes, qui laissent une empreinte. Revisiter ses morceaux à travers un jeu de rythme, c'est un vrai plaisir. Et même au-delà de ça, le jeu se révèle plaisant, le game-play sait se montrer prenant (malgré la difficulté) et les défis sont chouettes à relever. Malgré tout... je ne suis pas extrêmement convaincue par le contenu scénaristique. En effet, peu importe le point de vue que l'on prend, le scénario en dit soit trop, soit pas assez. Pour ne pas cantonner Melody of Memory à un statut de simple bonus, Tetsuya Nomura donne dans ce jeu des indications qui permettent de nous préparer à Kingdom Hearts IV. Si on considère ce jeu comme un spin-off à part entière, l'intrigue est bien trop maigre, et ne fait pas grandement avancer la situation de nos héros. Mais pour ceux qui considéreraient qu'un jeu de rythme ne peut pas prétendre à être mieux qu'un bonus, Melody of Memory en dit bien trop, et risque de perdre certains joueurs de Kingdom Hearts IV. Sincèrement, je pense que rendre un jeu de rythme canon, cela aurait pu marcher, mais il fallait rendre le scénario bien plus conséquent.
Melody of Memory reste un jeu au game-play sympathique, et auquel j'ai réellement aimé jouer. Mais il participe à un problème devenu récurrent dans cette saga, qui oblige les joueurs à jouer à absolument tout (même à un simple jeu de rythme) pour comprendre toute l'histoire.

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Mouais... alors là, il s'agit du seul Kingdom Hearts que je n'aime pas vraiment.
Bon déjà, parce qu'il est très dispensable, il aurait pu ne jamais exister que ça reviendrait au même. Et même son intrigue n'est pas des plus passionnantes. On se retrouve plongé dans tout un cyber-monde, que nous découvrons à travers les yeux d'un Sora virtuel. Le concept est plutôt prometteur, ça nous permet de retourner dans les mondes Disney connus, en revivant l'aventure d'une manière très différente. Mais durant la plus grande partie du temps, il ne se passe pas grand-chose. On se contente de voyager dans les mondes digitalisés et de briser des bugs symbolisés par des blocs, sans rien vivre de plus intense. Ce Sora factice est également bien fade, c'est une simple copie qui se contente d'avoir les mêmes discours naïfs et optimistes de son original, sans avoir son histoire. Et en plus, il vit son aventure en étant seul, il faut attendre le climax pour qu'il soit rejoint par Donald et Dingo (les vrais, heureusement). J'attache beaucoup d'importance à la dynamique Sora-Donald-Dingo, si Sora est tout seul c'est beaucoup moins drôle. Je n'aime pas non plus quand notre héros virtuel se retrouve dans les zones complètement buggées, passages obligés pour changer de monde. C'est souvent bien trop compliqué et ça nous emprisonne des plombes dans pleins d'affrontements ennuyeux, sans aucun espoir de pouvoir s'arrêter et sauvegarder. Ce qui m'empêche de trouver Re:Coded vraiment mauvais, c'est que le jeu fait quand même preuve d'inventivité en variant énormément son game play. On a parfois des combats classiques, mais on a parfois du tour par tour, des jeux de plate-forme ou des runners, c'est plutôt ludique de voir la licence s'essayer à d'autres genres. À part ça, quand on n'est pas comme moi une bornée qui souhaite absolument tout connaître de la saga, Re:Coded est très dispensable.