Muet

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INDISPENSABLE

Ne pas regarder le film d'un point de vue historique, mais apprécier les moments épiques, le scénario très original (l'histoire vu non par les vainqueurs, mais par les vaincus), la construction du récit et le sens du montage. Il dure 3h00 et il y a une apologie bizarre du Klu Klux Klan mais sinon ca s'enfile très bien, pas de temps morts, absolument pas chiant. Faut juste survivre aux 20 premieres minutes un peu longues (le temps que les personnages soient présentés) mais après ca se déroule très bien.

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INDISPENSABLE

Difficile à trouver et à voir absolument avec la bande sonore originale (la sortie DVD récente propose une bande son moderne infâme). Tu devrais apprécier la qualité des plans larges, la vision de la modernité, la grandeur de New York, la folie citadine... tout cela contrasté par l'intimité d'un pauvre gars ambitieux mais un peu pommé. Fantastique

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INDISPENSABLE

Le plus beau muet et l'un des plus beaux films, le film préféré de Truffaut. Tu l'as déjà vu mais retente seul, et prépare les mouchoirs.

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INDISPENSABLE

Je ne sais plus si tu l'as vu, mais sinon ca reste le bijoux d'inventivité du muet, 10 minutes pour se mettre en place et ensuite c'est gags sur gags.

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INDISPENSABLE

Je suppose que tu l'as vu, mais si non, tu as là le film le plus impressionnant du muet.

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INDISPENSABLE

Pour découvrir Louise Brooks. Elle conditionne toute la représentation de la féminité au cinéma, et plus encore, elle place l'acteur au premier plan. De fait, il ne faut pas y voir un film au scénario bien construit, et la structure clairement établit, mais une sorte d'oeuvre personnelle où la technique est soumise à la personnalité d'une femme extraordinaire.

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SECONDAIRE

Pour poursuivre dans la lignée de Murnau. Borzage est plus passionnée. Moins de recherches esthétiques mais une très bonne exploitation des sentiments, il sait parfaitement exploité les emotions les plus simples pour les rendre intenables.

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SECONDAIRE

Contrairement à ce que laisse croire le titre, ce n'est absolument pas un film froid sur la religion. Au contraire, tu as déjà tout le cinéma des années 50/60 là dedans, toute l'angoisse, l'oppression, presque du Hitchcock. Mais tout cela à la sauce muet. Assez surprenant techniquement.

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SECONDAIRE

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SECONDAIRE

Une sorte de Dziga Vertov aboutit. Ce sont surtout les 30 premieres minutes qui sont fascinantes. Ce film est à la fois la base et l'aboutissement du sport filmé. Il a posé toutes les bases et aujourd'hui personne ne filme aussi bien. Vu que c'est un documentaire sur les JO, tu n'est pas obligé de regarder toutes les épreuves, tu peux regarder à droites à gauche comment Leni Riefenstahl filme chaque sport.