Séries vues en 2021

Dans cette liste je répertorie toutes les séries que j'ai vu pour la première fois en 2021.

C'est donc un pur mémo personnel qui n'a donc aucun intérêt à être rendu public et devrait mieux figuré en liste privée. Mais que voulez vous, j'adore étaler ma vie culturelle aux yeux de ...

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Liste de

12 séries

créee il y a plus de 3 ans · modifiée il y a environ 2 ans

The Crown
7.6

The Crown (2016)

57 min. Date de première diffusion : 4 novembre 2016 (France). 6 saisons. Drame, Historique, Biopic

Série Netflix

Alfred Tordu a mis 4/10.

Annotation :

Saison 2 : 6/10

Dans la stricte continuité de la saison précédente. Avec les mêmes qualités et les mêmes défauts. Je déplore toujours que les auteurs préfèrent s'attarder sur des intrigues de cour, notamment les problèmes conjugaux d'Elizabeth et de Philip, mais certaines sont plus intéressantes que d'autres et assez bien traités pour la plupart.
Je retiens surtout l'excellent épisode Pater Familias, car il se montre moins bavard que les autres et ne se perd ni dans des sous-intrigues inutiles, ni dans une multiplication superficielle des points de vues. Il reste reste focalisé sur son sujet et le traite avec beaucoup plus de subtilité qu'à l'accoutumé.

Saison 3 : 7/10

Difficile de se persuader que nous sommes bien face aux mêmes personnages que dans les premières saisons, surtout après une vingtaine d'épisodes passés à leurs cotés. Le nouveau casting a beau avoir été judicieusement choisit (mention spéciale à Olivia Colman et la désormais trop rare Helena Bohman Carter), les nouveaux comédiens interprètent leurs rôles à leur façon, sans se soucier de ce que leurs prédécesseurs avaient pu accomplir. La cohérence globale en prend donc un coup mais cela était inévitable étant donné l'ampleur du projet.
Heureusement qu'à côté, les épisodes dans la lignée de Pater Familias sont devenus monnaie courante.
L'arrivée du parti travailliste au pouvoir dans le milieu des années 60 permet même aux scénaristes de traiter frontalement la question du poids fiscale que représente la couronne royale, ainsi que de son utilité réel au sein de la nation britannique.
J'en attends donc beaucoup de la saison suivante, surtout au vu de la période abordée.

Saison 4 : 5/10

Certes, la saison évoque la relation tendue entre la reine et sa première ministre, montre l'échec du mariage entre Charles et Lady Di et démontre plus que jamais le poids de la monarchie qui pèse sur chacun de ses représentants et dont la mentalité toxique se transmet de génération en génération. Reste que l'écriture y est beaucoup plus poussive que dans la saison précédente.
En particulier les épisodes autour du couple princier qui sont d'une lourdeur accablante, en plus de raconter toujours la même chose de la même manière.
Je me suis donc senti beaucoup moins investi, alors même que la période m'intéressait fortement et que j'y ai malgré tout appris pas mal de choses.

Borgen : Une Femme au pouvoir
7.8

Borgen : Une Femme au pouvoir (2010)

Borgen

59 min. Date de première diffusion : 9 février 2012 (France). 4 saisons. Drame

Série DR1

Alfred Tordu a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Saison 1 : 7/10

Ne vous laissez pas induire en erreur par le titre français. La série ne porte pas sur la difficulté de gouverner un pays lorsque l'on est une femme, mais bien sur le "Borgen", l'équivalent de la maison blanche aux Etats-Unis.

On y suit la trajectoire de Birgitte Nyborg, une centriste remplie de bonne volonté mais contrainte de mentir à ses citoyens afin d'étouffer des scandales antérieurs, de négocier l'extradition d'un prisonnier politique pour continuer à faire affaire avec un État fasciste ou d'établir des compromis incessants avec ses propres ministres pour ne pas fracturer l'unité gouvernementale.
Birgitte se verra donc contrainte de composer avec les dures lois de la politique, ce qu'elle accepte et assumera jusqu'au bout de son mandat, quoi qu'il puisse lui en coûter.

Si Borgen n'a pas la tension dramatique d'un House of Cards ou d'un Baron Noir, elle se démarque néanmoins de ses deux homologues par un traitement réaliste de l'exercice du pouvoir, rendant compte de toute sa complexité tout en restant infiniment limpide pour le spectateur.

Les intrigues amoureuses et les dramas personnels peuvent sembler hors sujet au premier abord, mais ceux-ci prennent néanmoins tout leur sens lorsqu'ils mettent en évidence l'incidence de la vie politique sur la vie privée. Comme lorsque le couple idyllique de Birgitte finit par lentement se disloquer au cours de son mandat ou quand la connivence qu'entretiennent le script docter de la première ministre et la présentatrice phare d'un journal télé, finit par poser problème au moment où ces derniers poursuivent des objectifs contradictoires.

Je ne puis donc que vous recommander cette série assez peu vue sur le site malgré sa réputation chez les connaisseurs. Et pour ceux qui auraient du mal avec la langue de Lars von Trier, sachez que le doublage français d'excellente facture pourrait vous aider à rentrer plus facilement dans cette œuvre danoise.

OVNI(s)
7.3

OVNI(s) (2021)

34 min. Date de première diffusion : 11 janvier 2021 (France). 2 saisons. Comédie, Science-fiction

Série Canal+

Alfred Tordu a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Saison 1 : 7/10

Jamais une Création Originale Canal + n'aura aussi bien porté son nom.
OVNI(s) n'est pas la copie plus ou moins conforme d'un programme anglo-saxon à succès, mais bien une œuvre unique, signée par les jeunes auteurs Clémence Dargent et Martin Douaire.

La série arrive à développer une véritable intrigue de science fiction, à base de complot gouvernemental, et à la faire exister dans le cadre kitchoune de la France des années 70, au sein même du GEPAN, l'organisme scientifique le moins classe du monde, dont la mission consiste à débunker les évènements laissant supposer une invasion extra-terrestre.

Le casting 5 étoiles composé de comédiens d'ordinaires cantonnés à des seconds-rôles portent à bras le corps cette aventure burlesque et référencée qui, au-delà de son délire, dissémine avec subtilité un message pertinent sur notre rapport à la croyance et aux mythes, tout en faisant la part belle à l'esprit critique et à la zététique.

Au service de la France
7.2

Au service de la France (2015)

25 min. Date de première diffusion : 25 décembre 2015 (France). 2 saisons. Comédie

Série Arte

Alfred Tordu a mis 6/10.

Annotation :

Saison 1 : 6/10

On peut désormais attendre le retour d'OSS 117 avec sérénité. Car même sans la coupelle d'Hazanavicius, Jean-François Halin, créateur et principal scénariste de la série, n'oublie de tacler la France sexiste, colonialiste et paternaliste des années 60 à travers une galerie de personnages savoureux.

La première partie se compose d'intrigues unitaires, servant surtout à mettre en place l'univers et développer la personnalité de ses protagonistes. La saison évolue ensuite vers une intrigue à suivre, nous maintenant en haleine grâce à des rebondissements étonnants et des enjeux plus importants, malgré la loufoquerie ambiante.

Certes, ça n'a rien d'incroyable, c'est plutôt inégal et pas franchement hilarant. Mais c'est suffisamment frais, drôle, original et bien interprété pour valoir le coup d'oeil.

LOL : Qui rit, sort !
5.2

LOL : Qui rit, sort ! (2021)

28 min. Date de première diffusion : 23 avril 2021 (France). 4 saisons. Comédie, Jeu télévisé & divertissement

Émission TV Prime Video

Alfred Tordu a mis 2/10.

Annotation :

J'ignore ce que vaut le programme japonais d'origine, mais en l'état c'est une catastrophe.

D'abord, mettre en concurrence des guests œuvrant pour des associations caritatives instaure d'emblée une ambiance malsaine au jeu, étant donné que 9 assos sur 10 repartiront bredouilles. Mais c'était surtout une terrible erreur de compter uniquement sur cette bande de pseudos humoristes ringards pour se faire rire entre eux et nous faire marrer par la même occasion. Le concept avait pourtant du potentiel, mais encore fallait-il proposer un véritable train fantôme aux candidats, avec pléthore d'animations et de surprises pour les faire réagir, plutôt que de mettre tout le budget sur d'immenses décors totalement superflus. Ici, le dispositif extrêmement faiblard ne génère au final qu'une succession de bides et de malaises que la réalisation tente péniblement de camoufler en multipliant les réacts des participants interviewés après l'émission.

Les seuls bons moments surviennent lorsque certains s’esclaffent brutalement ou retiennent difficilement leurs éclats de rire, à l'instar de Gérard Jugno devant la blague de pet de Bérangère Krief. Mais au fur à mesure des éliminations, ce genre de séquences se fait de plus en plus rares et les derniers épisodes en deviennent d'autant plus pénibles à regarder. La finale interminable entre les deux derniers candidats totalement stoïques, illustre à merveille l'échec de cette série.

Honnêtement, si vous désirez passer un bon moment devant une émission similaire, autant que vous matiez ça
https://youtu.be/y2s1lToYBOg?t=347

Kaamelott
7.9

Kaamelott (2005)

05 min. Date de première diffusion : 3 janvier 2005 (France). 6 saisons. Aventure, Comédie, Fantasy

Série M6

Alfred Tordu a mis 7/10.

Annotation :

Saison 4 : 7/10

Saison 5 : 6/10

Saison 6 : 7/10

Avis Complet :
https://www.senscritique.com/activity/130199/10550

Orelsan : Montre jamais ça à personne
8

Orelsan : Montre jamais ça à personne (2021)

41 min. Date de première diffusion : 15 octobre 2021 (France). Documentaire, Musique

Série Prime Video

Alfred Tordu a mis 8/10.

Annotation :

Après la musique, les réseaux sociaux, les clips, le cinéma et le programme court, Orelsan investi cette fois le documentaire pour continuer à fortifier sa légende de petit provincial perdu d'avance qui a finit par se hisser au sommet du Hit Parade français.

La série répond parfaitement à nos attentes, ce grâce à une multitudes d'archives vidéos prises sur le vif et dévoilant en détaille les coulisses de toutes les étapes clés dans le parcours de l'artiste : Les réussites, les échecs, les erreurs, les coups de génie, les louanges et les polémiques, en passant par des moments de doute, de remise en question ou de pure intimité familiale... Rien n'est passé sous silence.
Y compris l'influence décisive de Skread sur la carrière d'Orelsan et la façon dont celui-ci a toujours soigner la communication et l'image de son poulain, quitte à ce que cela égratigne un peu authenticité du mythe.

En revanche, je trouve regrettable qu'en 2021, la clique du rappeur reste encore sur la même ligne de défense concernant la chanson "Sale Pute" et toute la polémique qui s'en est suivit. Que toute cette affaire ait été instrumentalisé par des médias ou des politiques qui n'en avaient rien à foutre, ne connaissaient pas Orelsan et s'en sont servit pour leurs intérêts personnels, c'est indiscutable. Mais sortir encore la carte du second degré mal compris pour ne pas reconnaître le caractère éminemment sexiste de leur morceau, ça me paraît vraiment anachronique comme réponse.

La série se conclue enfin sur la promesse d'une suite et l'annonce indirect d'un nouvel album que j'attends évidemment avec beaucoup de curiosité même si, à titre personnel, je pense qu'Orelsan a fait un peu le tour de ses personnages ou de ses obsessions, et je ne vois pas comment il pourrait se renouveler à nouveau.
La tracklist du prochain disque ne laisse d'ailleurs rien augurer de bon. Mais peut-être que tout cela n'est encore qu'un coup de com du machiavélique Skread ?

Primal
8.1

Primal (2019)

23 min. Date de première diffusion : 8 octobre 2019 (États-Unis). 2 saisons. Action, Aventure, Animation

Dessin animé (cartoons) Adult Swim

Alfred Tordu a mis 7/10.

Annotation :

Saison 1 : 7/10

2 ans après avoir mit un terme à sa série culte, Gendy Tartakovsky revient avec une œuvre beaucoup plus épurée et ce, dans tous les sens du terme.
La profusion d'action et de violence propre à Samouraï Jack perd de sa saveur sans la mise en scène stylisée qui va avec. Mais l'aspect brut et mutique de Primal colle à merveille avec ce monde bestial où la loi du plus fort domine. Et cela rend encore plus improbable l’amitié entre un T-Rex et un Néandertal qui nous est racontée tout au long de ces 10 épisodes.
Pas le dessin-animé de la décennie, mais suffisamment original et prometteur pour valoir le coup d'oeil. En espérant qu'une saison 2 voit le jour.

Squid Game
6.7

Squid Game (2021)

Ojingeo Game

56 min. Date de première diffusion : 17 septembre 2021 (France). 1 saison. Action, Thriller, Drame

Drama Netflix

Alfred Tordu a mis 7/10.

Annotation :

Saison 1 : 7/10

D'ordinaire méfiant envers la dernière netflixerie à la mode, surtout quand il s'agit d'un projet de film transformé en série parce que c'est plus vendeur. Et pourtant ici, les 10h de programme servent à approfondir les personnages principaux afin de mieux comprendre leurs motivations respectives et de renforcer les enjeux du scénario, sans que cela n'occasionne de longueurs superflues.

En mettant en scène des prolos surendettés s'entretuant de leur plein gré dans des jeux d'enfants organisés par une poignée de bourgeois illuminatis, le réalisateur Hwang Dong-Hyuk développe une satire sociétale beaucoup plus profonde qu'elle n'y paraît.
Car à l'instar de Parasite avec lequel la série partage d'ailleurs le même compositeur musical, Squid Game brocarde une société modelant les aspirations des individus les plus défavorisés, afin que ces deniers puissent continuer à faire perdurer un système inégalitaire et individualiste dont ils sont pourtant les premières victimes. C'est le cas pour les gardiens masqués qui ne sont en soit que des ouvriers à la solde des riches organisateurs, mais ça l'est également pour les participants, prêts à tout pour accéder au club des ultras riches, quitte à laisser crever 455 autres prolos pour y arriver.
Et si certains feront preuve d'un peu plus d'humanité que d'autres en montant des alliances désintéressés ou en protégeant les plus faibles, chacun finira tôt ou tard par user de sa supériorité physique ou intellectuelle pour dominer l'autre et sauver sa peau, pendant que les décideurs (et nous autres spectateurs de Netflix) se délectons de ce terrible mais palpitant spectacle.

Certes, le concept n'est pas nouveau et l'intrigue est relativement prévisiblement, mais l'ensemble reste diablement efficace. Notamment grâce à une excellente réalisation, iconisant à merveille l'univers du récit et offrant d'incroyables moments de tension pour chacun des jeux à l'écran.

Arcane
8.2

Arcane (2021)

41 min. Date de première diffusion : 7 novembre 2021 (France). 1 saison. Science-fiction, Animation, Action

Dessin animé (cartoons) Netflix

Alfred Tordu a mis 3/10.

Annotation :

Saison 1 : 3/10

Visuellement ça se rapproche un peu de Spider-Man : New Generation avec une Direction Artistique et des textures typiquement comics, ainsi que l'utilisation de quelques effets de style propres au genre, notamment pour illustrer les hallucinations de Jinx.
Le rendu esthétique très plaisant est suffisamment éloigné du carcan habituel des séries animées pour imprimer durablement la rétine.
Mais ce ne s'agit hélas que d'un bel emballage servant à cacher la pauvreté d'un univers dystopique bateau, au sein duquel on suit une tripotée de personnages inintéressants, embarqués dans une ennuyeuse aventure inutilement étirée sur 6h de contenu.

Il faut attendre les 3 premiers épisodes, soit presque 2h !!!!, pour que la série termine sa phase d'exposition. Et même après avoir présenter un enjeu assez fort pour susciter notre intérêt, à savoir, "est ce que Jinx redeviendra Powder avant qu'il ne soit trop tard" ?, l'intrigue trouve encore le moyen de nous emmerder en s'attardant sur des persos dont on se branle ou sur des sous-intrigues sans intérêt, au lieu de se concentrer sur le cœur émotionnel de son récit.
Et déjà que le scénario est pas des plus palpitants, mais si en plus vous ajoutez le découpage ultra hachuré qui fait perdre beaucoup de fluidité aux scènes d'action et dont le dynamisme incessant finit par donner mal à la tête ; difficile de ressentir quoi que se soit face au "spectacle" qui se déroule sous nos yeux.

Bref, je ne comprends absolument pas les retours unanimement dithyrambiques sur Sens Critique. Squid Game a beaucoup plus divisé la communauté alors qu'elle est tellement supérieure à Arcane en terme de construction, d'écriture, d'enjeux, de mise en scène ou de développement de personnages.

Montpellier Héros
7.1

Montpellier Héros (2021)

44 min. Date de première diffusion : 27 septembre 2021 (France). 1 saison. Documentaire, Sport

Série Canal+

Alfred Tordu a mis 7/10.

Annotation :

Même en étant un gros footix, j'ai ressenti mille fois plus d'émotions devant Montpellier Héros que devant Arcane !
Peut-être parce que la série ne s'intéresse pas tant à la discipline en elle-même, qu'aux personnalités qui la compose et que l'on apprend à connaître grâce à caméra de Thibault Saingeorgie, captant sur le vif leur réaction durant les matchs, les entraînements et les évènements importants ayant rythmé leur saison 2020.

Ainsi, en prenant pour sujet sur un petit club provincial en proie à des difficultés financières et devant se battre pour sa survie, tout en perpétuant l'héritage historique laissé par le légendaire Louis Nicollin. Le réalisateur réussit à transcender ce qui n'aurait pu être qu'un simple reportage sportif du Canal Football Club, le transformant en une vraie série chargée d'enjeux, de personnages attachants et d'un univers au lore riche et fascinant.

The Loudest Voice
7.3

The Loudest Voice (2019)

50 min. Date de première diffusion : 2 juillet 2019 (France). 1 saison. Drame, Mini-série

Série Paramount Plus with Showtime

Alfred Tordu a mis 6/10.

Annotation :

On retrouve dans The Loudest Voice les mêmes caractéristiques que dans le cinéma de Tom McCarthy. A savoir, un sujet passionnant traité avec justesse, mais prenant la forme d'une fiction bancale, platement écrite et réalisé malgré un casting de haute volée.

L'idée brillante de consacrer chaque épisode à une année charnière dans l'histoire de Fox News me semble au final sous-exploitée, dans la mesure où l'on ne sent pas assez les changements opérés entre chaque bon dans le temps, sauf lorsque ces derniers nous sont textuellement explicitées par des dialogues au lieu de nous les faire ressentir avec plus de subtilité, comme ce qu'avait pu faire autrefois Dany Boyle dans Jobs.
De plus, je trouve que les scénaristes ont la fâcheuse tendance d'individualiser leur propos critique en diabolisant à outrance la figure de Roger Ailes. Oubliant un peu vite qu'il est lui-même le produit d'une pensée politique et d'un système ayant favoriser son ascension.

Mais cela reste néanmoins une bonne série sur l’influence de Fox News à la fois sur le traitement médiatique à la télévision et sur le débat politique aux Etats-Unis, notamment sur les dernières campagnes présidentielles.

Alfred Tordu

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