Parce que Anthony Hopkins, c'est pas que Hannibal Lecter : ses autres plus grands rôles

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Peut-être son plus grand rôle tout simplement. Une interprétation toute en finesse, en retenue et en subtilité d'un personnage complexe : un homme stoique dévoué à son travail Ses scènes avec Emma Thompson atteignent des sommets de virtuosité

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On retient souvent la performance de John Hurt pour ce film, mais Hopkins y est tout aussi exemplaire. Une interprétation géniale d'un homme torturé entre la fascination morbide pour John Merrick et son sincère désir de l'aider

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Hopkins où on ne l'attendait pas. Il nous joue un homme timide et dérangé trouvant refuge dans une effrayante marionnette. Il est à la fois pathétique, touchant et effrayant.

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Hopkins est littéralement habité par le rôle du président Nixon et nous offre certaines des scènes les plus émotionnellement puissantes de sa filmographie.

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Il fallait bien Hopkins pour incarner le général Titus Andronicus dans la pièce la plus controversée de Shakespeare. Quel plaisir de voir ces grands dialogues prendre vie grâce à lui.

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Hopkins trouve ici un rôle à sa mesure en William Bligh, célèbre captaine du Bounty. Il apporte une certaine émotion à ce personnage violent rongé par le désir d'autorité.

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On croyait avoir le nouvel Hannibal, Hopkins prend le contre pied de sa célèbre performance et est effrayant de brutalité sauvage.

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Hopkins montre avec ce rôle tous les faux semblants de l'aristocratie et parvient à révéler une complexité à un personnage apparemment détestable.
On comprend pourquoi Hopkins a encore collaboré avec James Ivory et Emma Thompson pour "Les Vestiges du Jour" !

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Incarner Adolf Hitler, le challenge est de taille et Hopkins l'a parfaitement relevé. Il évite le piège du l'imitation et donne une interprétation très personnelle du dictateur, celle d'un homme déchiré et effrayant. Ses accès de rage, entre ridicule et démoniaque, sont mémorables.

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Sans doute le rôle le plus émouvant d'Hopkins. Il incarne un vieux prof d'université dont la foi va être remise en question par la dure réalité. Son couple avec Debra Winger fonctionne admirablement !

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Pour son premier rôle au cinéma, Hopkins crève déjà le grand écran en Richard Coeur-de-Lion. Il arrive impeccablement à retranscrire la sensibilité cachée derrière cette brute.

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Hopkins dans un rôle très sous-estimé car plus en retrait. Une autorité paternelle bien sûr, mais surtout une incarnation du passage de l'age adulte à la vieillesse. Et puis, quelle classe à la fin du film !

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Hopkins tire le maximum des seconds rôles, comme en témoigne sa performance dans ce film. En vieux génie qui sombre lentement dans la folie, il est plus touchant que jamais.

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Hopkins en rambo millionnaire, comment ne pas acheter ...

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Hopkins livre, à mes yeux, le meilleur Van Helsing du cinéma ! Marchant dans les traces de Peter Cushing, il relève le défi. A la froideur de Cushing, il oppose sa démence ... pour le meilleur !

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En guide mystérieux, Hopkins excelle. Son duo avec l'enfant donne court à des séquences d'émotions et de nostalgie rares.

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Hopkins se lâche ! En maitre de la propagande du bon gout, il fait le grand guignol. Jouissif.

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La coolitude incarnée. On prend un malin plaisir devant cet homme intelligent ayant toujours 3 longueurs d'avance. De plus, Hopkins a choisi de prendre un accent écossais pour ce rôle, et ça lui va à ravir !

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Peut être le seul film dans lequel Hopkins cabotine. Mais bon comme ne pas être conquis par cet exorciste cool qui décroche son téléphone en plein milieu d'un exorcisme, ou qui se transforme en Hannibal Lecter lorsqu'il est possédé !

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Hopkins à contre-emploi. Il fait une apparition brève mais marquante lorsqu'il joue un roi qui brise à peu près tout les pêchés capitaux en une fois