Première Année LLCEr Anglais - Les lectures

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D'ici là, c'est nettement le livre que je préfère : la narration nous plonge au coeur même de l'univers de conte et de la narration elle-même, un style absolument fluide et joueur, les jeux de mots et le bestiaire sont simplement fascinants. Un retour en enfance, MAIS avec un engagement vis à vis de la société et de la guerre marquant.

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Nouvelle gothique, une des premières du genre ; l'intrigue se déroule en Italie où Manfred Prince d'Otrante organise les noces de son fils souffreteux Conrad avec Isabella noble princesse. Le cadre est très bien fixé et décrit, les personnages plutôt typés, mais fidèles à eux-mêmes et apportant un réel dynamisme! Les rebondissements sont rudement bien menés, avec ce qu'il faut de surnaturel!

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Contrairement à ce qu'indique la date, ce livre est de 1861.
Autobiographie de Harriet Jacobs qui écrira sous le pseudonyme de Linda Brent. Née esclave dans un état sudiste et esclavagiste, Harriet Jacobs relate les turpitudes de sa vie d'esclave et de son combat acharné et continu pour une liberté qui lui revient de droit, la sienne et celle de ses enfants.

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Nouvelle très célèbre, le narrateur omniscient nous relate ici l'histoire de deux hommes étroitement liés durant la Grande Dépression américaine. George, petit et trapu, protège ton ami, Lenny retardé mentalement qui leur cause involontairement beaucoup de tort.
Le style est très épuré, agréable à lire et rédigé en anglais courant, voire vulgaire. La construction est également intéressante, le livre peut se lire en miroir les scènes se renvoyant les unes aux autres, mettant en valeur les notions de destinée et de fatalité.

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Comédie, cette pièce très brève est composée de seulement 3 actes, avec un nombre limité de personnages. L'intrigue est juste excellente, les personnages bien qu'un peu exagérés sont très bien construits, et la chute, magnifique!

C'est sa forme qui lui donne selon moi une meilleure place que le Carnet d'Or, les joutes oratoires dues au théâtre font respirer l'ensemble de l’œuvre, atout de taille face à la densité du Carnet d'Or. (Et parce que je suis un peu faignante aussi).

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Véritable Bildungsroman, The Princess and the Goblin est un conte que l'auteur, George MacDonald, a écrit à l'intention de ses propres enfants. On y suit l'évolution de la princesse Irène dans une aventure qui exigera d'elle et de son entourage pourtant adulte, beaucoup de maturité et de courage.

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La première nouvelle, sur laquelle se base le film d'Hitchcock, les Oiseaux est absolument prenante ; le narrateur est un homme taciturne mais aimant, vivant à la campagne et protégeant sa famille du vent de l'est, de l'hiver noir et évidemment, des oiseaux.
(Certainement un 7/10)
Deuxième nouvelle : Montè Verita.
Charmante et prenante histoire, la fièvre des hauteurs, l'amour, l'austérité, la solitude, l'aveuglement humain et les havres de paix, les sectes, autant de thèmes abordés dans une si courte histoire. Trois personnages, deux hommes et une femme suivant trois voies différentes, ayant trois manières d'aborder le monde, et dont une seule mènera à la plénitude.
Un 6/10 je pense.
Troisième nouvelle : Le pommier.
Un veuf, soulagé par la mort de sa femme, Midge, se voit hanté par un vieux pommier dans son jardin qui s'emploie à lui gâcher la vie. Des descriptions parallèles jalonnent la nouvelle entre Midge, le pommier, une jeune fille et un arbre plus jeune, mais ne sont jamais directement comparés.
6/10 la nouvelle est un peu lente.
Quatrième nouvelle : Le vieil homme
Un couple vit au bord d'un lac et d'un estuaire avec leur 4 enfants. Observés par le narrateur, on n'apprends à les connaître qu'au travers des yeux de celui-ci, qui assiste à la fin de Boy, le fils unique du couple. Chute intéressante et nouvelle vivifiante, très bien construite et menée.
8/10
Cinquième nouvelle : Embrasse moi encore, étranger
Un mécano, satisfait de sa vie routinière rencontre une ouvreuse de cinéma qui le séduit ; l'histoire courte de sa passion avec sa belle inconnue. Langage simple, fluide, agréable.
7/10

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Ce livre est d'une complexité rare mais est réellement fascinant!
La narration est étagée, répartie et rangée à la manière dont Anna, personnage principal, sépare sa réflexion en 5 carnets. Les histoires racontées sont multiples et on pourrait toutes les qualifier de "métafictions", dans la mesure où les personnages font tous la critique de leur propre écriture, et font régulièrement des retours sur eux-mêmes, leur mode de vie etc.
L'oeuvre est également profondément féministe comme l'indiquent les parties "Free Women" et l'intrigue générale, Anna et sa vie de femme émancipée.

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Il s'agit d'un recueil d'essais et de nouvelles, concentré principalement sur les différences entre le mode de vie urbain et rural. Je note avant tout la nouvelle de la Légende de Sleepy Hollow, le cavalier sans tête, qui n'a pas grand chose à voir avec l'adaptation cinématographique qu'en a fait Tim Burton mis à part l'ambiance globale, le cadre, les personnages...La trame narrative n'est pas du tout la même, mais je pense que Burton a su trouver l'atmosphère correspondante.

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On suit l'histoire d'un jeune soldat américain engagée dans l'armée italienne lors de la première guerre mondiale. Bien que l’œuvre soit ostensiblement une critique adressée à la guerre, le sujet n'est pas tant la guerre elle-même que la vie durant la guerre.

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En cours

Annotation :

Je n'ai pas eu le temps (ni l'envie) de terminer ni d'entamer sérieusement ce recueil de poème.