RPG Makers d'Horreur/Aventure

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Corpse Party est l'un des RPG horreur les plus populaires, mais honnêtement il fait partie de ceux que j'ai le moins aimé.
Histoire plutôt intéressante même si assez cliché, graphismes bon pour un jeu du genre, mais j'ai trouvé les persos assez clichés et vides pour la plupart (sauf Seiko bien entendu) et le jeu est rempli de fanservice alors que ça n'en avait absolument pas besoin, surtout lors de scène de meurtres.

En fait, je pense que le jeu peut juste se résumé en un mot (et vous l'avez sûrement vu venir) : cliché. Certains aimeront bien, je ne l'ai pas détesté mais je n'en garderai pas non plus un souvenir marquant.

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Un vrai OVNI, même parmi les RPG Makers, mais il reste mon préféré. Aucun dialogue, graphismes et musiques minimalistes, mais il en découle une poésie et une solitude qui rend ce jeu inoubliable.
À jouer au moins une fois dans sa vie.

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Un classique qui le mérite tout amplement.
Ce jeu est beau, vraiment. J'ai tout aimé dedans, que ce soit l'histoire, les énigmes, les personnages, la musique (la musique, juste la musique quoi), les graphismes sont peut-être un peu trop brouillon en ce qui concerne les personnages par exemple, mais c'est ce qui fait tout le charme du jeu.
Franchement, je ne vois même pas la peine d'y mettre une annotation, juste; foncez-y jouer si vous ne l'avez pas fait. Il en vaut la peine, vraiment.

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Un classique, lui aussi. J'ai apprécié ce jeu, les graphismes sont vraiment jolis et globalement il est plutôt amusant, mais je dois avouer qu'il ne fait vraiment pas partie de mes préférés, les personnages sont un peu trop bateaux (bien que Maria soit une petite exception) à mon goût, et pas assez attachants.

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Beaucoup de gens aiment ce jeu, mais personnellement, je ne l'ai honnêtement pas aimé. Ce qui est dommage parce qu'il pourrait être pas mal, mais l'histoire est vraiment ridicule, et je me suis seulement un tantinet attaché au personnage de Kudoh.
Aussi, les énigmes sont assez oubliables, ce qui reste dommage étant donné que ça consiste à une grande partie du jeu.

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Meilleur jeu de Miwashiba. Les personnages sont attachants au possible (et il y en a une cinquantaine), les graphismes ainsi que les chara-designs sont frais et soignés à tel point que c'est ce qui m'a donné envie d'y jouer.

Niveau gameplay, on s'éloigne des rpg horreur habituels (peut-être parce qu'il n'y a pas d'éléments d'horreur mais chut) pour un sidescroll avec des phases aux allures de Danganronpa et un Dating Sim, bien que là on se trouve plus sur un Friends Sim.

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Série de 3 jeux cours (en environ 1 heure) que j'ai beaucoup apprécié! Les graphismes sont très bons (mais c'est du miwashiba donc ce n'est pas étonnant), et j'aime beaucoup le format en petite histoire d'une heure où les deux protagonistes résolvent un mystère dans une ville. Le world-building est vraiment cool aussi.
Un de mes souhaits pour cette série serait qu'il y ait d'autres jeux en fait, parce que c'est dur de s'en lasser, même si c'est peu probable :/

Annotation :

Parmi tous les jeux de Miwashiba, il est le moins bon, mais même si les avis sont plutôt négatifs, personnellement je l'ai bien aimé. L'ambiance était amusante et l'idée de découvrir chaque histoire des personnages m'a permis de mieux m'attacher à eux.
Un peu lacunaire à certains endroits.

J'ai moins aimé devoir refaire les crédits de fin qui défilent pendant 5 minutes à chaque fin (et il y en a 7-8) par contre :')

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On part sur une énième répétition de la formule basique des RPG Makers d’horreur.. Au début, il semblait plutôt pas mal néanmoins, le jeu devient très rapidement lassant et répétitif. Les différents arcs sont juste la même chose avec un monstre différent à chaque fois, et je n'ai pas réussi à m'y investir.

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Pour le coup, j'ai été déçu.
Le jeu est poli en tout points, et clairement magnifique. On se trouve directement envoyé dans une ambiance subtilement féérique et étrange, aux allures sinistres, et c'est l'un des points forts principaux du jeu : il sait nous emporter.

Le problème, c’est l’écriture. Pocket Mirror est très, très mal écrit. Il y a certes de jolies tournures et des mots compliqués, mais ça ne fait que rendre les dialogues encore plus incompréhensibles, car ils sont tout simplement vides. Après être sorti de la deuxième zone, j’avais la constante impression d'avoir raté une scène importante et que tous les personnages avaient compris quelque chose sauf moi. En sachant que l'un des points principaux d'un protagoniste amnésique est d'être initié à l'histoire en nous initiant nous-même, ça fait assez tâche.
Globalement, j'en attendais beaucoup de ce jeu, et autant il a su m'intriguer et me faire voyager lors du prologue et du premier chapitre, autant la suite m'a déçu. Brille beaucoup plus sur la forme que sur le fond, et c'est vraiment problématique en soit, parce que je ne m'en rends compte que plusieurs mois après y avoir joué (c'est pour ça que la note diminue de plus en plus).

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Un fangame de Yume Nikki. Selon moi, il s'agit de l'un des meilleurs, principalement car il tient la route totalement si on en oublie le côté Fangame.
Le jeu réussi vraiment à se détacher de Yume Nikki, on retrouve les mêmes objectifs de récupérer les effets, mais là où il brille vraiment, c'est dans son ambiance et son histoire.

L'ambiance de .flow est réellement à couper le souffle. Pour être honnête, j'éprouve une sorte de fascination pour le jeu, il est dérangeant et effrayant sans avoir de jumpscares une seule fois, juste avec les musiques répétitives, les décors glauques et les personnages vraiment étonnants que l'on peut croiser parfois (mention spéciale à Smile qui est urgh). le thème de l'hôpital par exemple, bien que n'étant pas une innovation, est très bien exploité ici et a une forte valeur allégorique qui rend le jeu super intéressant. Là où Yume Nikki donnait vraiment l'impression d'une histoire cachée derrière ces rêves, dans .flow, ce n'est pas une impression, c'est une certitude. Une certitude que Sabitsuki est beaucoup plus qu'une hikkikomori se réfugiant sur Internet.

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Jeu court, il se finit en une heure maximum. Je l'ai trouvé plutôt effrayant, un peu moins sur les multiples jumpscares à coup d'objets qui tombent. Il n'est pas forcément /à faire/, mais est très sympa. J'adore le gameplay aussi, pour le coup, il n'est vraiment pas conventionnel.

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Ce jeu reste basique, on part sur des scènes de course-poursuite à volonté qui consiste l'un des seuls éléments effrayants du jeu. (en d'autre termes, qu'est-ce que c'est cheap)
Les puzzle sont inconsistants, on part soit sur du "simple comme bonjour", soit sur du "beaucoup trop difficile pour que ce soit amusant"

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Honnêtement, j'aimerais bien dire quelque chose de constructif pour cette critique, mais j'ai tellement oublié le jeu que je n'ai rien à dire dessus...
Il est bon pour le club des "jeux rpg horreurs basiques"

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L'idée de base est vraiment bien, j'aime beaucoup le scénario et les personnages globalement.
Le jeu parvient à installer aussi une ambiance oppressante qui m'a mit suffisamment mal à l'aise pour que je le finisse en regardant un walktrough. Dommage qu'il repose aussi beaucoup sur les jumpscares.

Le plot-twist de fin m'a réellement déçu par contre, j'ai eu l'impression d'être dans un soap opera avec tous les "rebondissements".

À noter de plus que ce jeu est terriblement déprimant, à ne pas jouer si vous n'êtes pas au maximum de votre forme.

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CE JEU. JUSTE. CE JEU. AAAAAH
Si ce n'était pas pour Yume Nikki, il serait mon favori, vraiment. Les personnages sont on-ne-peut-plus-attachant, surtout grâce aux dialogues qui sont vraiment percutants, et il réussit à construire une histoire intéressante à suivre et des persos adorables, tout en rendant le jeu perturbant à souhaits et très violent. Et puisque l'on parle de violence, bien que le jeu semble être un melting pot de tous les thèmes dérangeants, il en parle sans jamais être trop lourd ou de manière non justifiée, ce qui apporte vraiment un vent de fraîcheur.

Ce jeu est bien. Vraiment. Ça faisait longtemps que je ne me suis pas autant investi en jouant.

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Un autre fangame de Yume Nikki. Il s'agit d'une sorte d'ode à tous les univers des fangames qui a pu sortir, et le jeu original lui-même, sous forme de jeu gigantesque comparé à l'original, et communautaire.
Encore un autre fangame qui réussit à se construire une autre identité comparé à Yume Nikki (bien que .flow l'avait beaucoup mieux réussi), et pour le coup, il s'agit d'une identité vraiment changeante, étant donné que le jeu est vraiment le fruit d'un travail d'un nombre très grand de personnes. Mais pour autant, il garde en quelque sorte sa "patte" et la qualité n'est pas non plus sans cesse requestionnée.
J'ai surtout beaucoup aimé les différents events à débloquer qui sont vraiment nombreux, et le plaisir de toujours découvrir de nouveaux endroits sans cesse. Il faudrait que j'y rejoue d'ailleurs, il a sûrement été updaté un nombre incalculable de fois depuis la dernière fois.

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L'un des premiers jeux d'Uri, et même si il tombe dans la catégorie "Jeux dont j'ai oublié les 3/4 du contenu", je dois avouer que le fait de pas avoir une protagoniste qui décide de se coucher quand des messages de mort s'affichent sur son mur dans un jeu d'Uri m'a plutôt charmé !

Blague nulle à part, il est basique, pas mauvais par rapport à certains, mais pas excellent non plus.

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Lisez ma review sur Mogeko Castle, j’y explique ma vision de tous les jeux de l’auteur.e, qui a beaucoup changé depuis la création de cette liste.

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Trigger Warning : Je vais aller un peu plus loin que de review le jeu pour parler du.de la dev, ça va parler de viol, de pédophilie et d’inceste, vous sentez pas obligés de lire si vous vous sentez mal à l’aise ou pire avec ses sujets. Sachez juste qu’iel est pas clean.

Quand j’étais plus jeune, j’aimais beaucoup ce jeu, mais plus j’y pense et plus il me dérange.
Les graphismes et le chara-design ont beau être très jolis (j’aime toujours autant le style de Funamusea même si mon opinion d’ellui a drastiquement changé au fil du temps), je trouve que l’écriture du jeu n’est pas top, et surtout, les thèmes abordés le sont fait avec très peu de sensibilité.
Ce jeu utilise beaucoup le thème du viol et des agressions sexuelles en tant que sujet humoristique, et autant quand t’es un adolescent de 13 ans edgy comme j’ai pu l’être, c’est « drôle », autant quand t’y réfléchis... C’est juste malsain.

Sauf que ça va plus loin. Ça se voit pas forcément dans ce jeu en particulier, mais en gros, l’auteur.e de ce jeu passe SON TEMPS à parler de viol dans toutes ses œuvres, jusqu’à en faire des œuvres pornographiques. On parle particulièrement de viol sur personnages mineurs. (pour citer autre chose, l’auteur.e a fait un comic porno où un personnage enfant agresse sexuellement son père??)
Je ne pense pas non plus que "séparer l'oeuvre de l'artiste" compte ici parce que le thème du viol revient. sans. arrêt. Que ce soit Wadonahara, Mogeko Castle, The Gray Gardien ou les autres trucs qu'iel a fait à côté, à CHAQUE fois un personnage se fait agresser sexuellement de façon super sexualisée et fétichisante.

Quand on remet Mogeko Castle sous ce contexte, le côté « humour sur le viol » qui était déjà assez dégueulasse devient juste tout simplement glauque. Funamusea était un.e artiste que j’appréciais beaucoup quand j’étais un enfant, je trouve ça triste de finir par apprendre qu’iel fétichise le viol et la pédophilie. Et je trouve encore plus triste le fait que sa fanbase soit majoritairement consacrée de gosses.

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Lisez ma review sur Mogeko Castle, j’y explique ma vision de tous les jeux de l’auteur.e, qui a beaucoup changé depuis la création de cette liste.

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BLARGH CE JEU EST MAUVAIS
Melting pot de toutes les choses à ne pas faire pour un jeu RPG Maker. C'est lourd, moche, vide, bourré de jumpscares et de personnages clichés.

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Extrêmement court, les graphismes sont un vrai régal et "l'histoire" semble être intéressante, bien que je comprends ceux qui disent que le jeu fait un peu prétentieux. Je dirais que c'est plus une expérience qu'autre chose, avec quelques puzzles.