Top 10 2015

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LA claque monumentale de cette année. Le cinéma d’action à son sommet.

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Un film d’espionnage totalement fun et décomplexé, aux scènes de bastons punchy, avec un casting 4 étoiles, un petit twist et un humour jubilatoire !

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Un léger manque de prise de risques sur la trame principale et un épisode qui soulève parfois plus de questions qu'il n'apporte de réponse (le syndrome J.J. Abrams période Lost).
Mais la photographie et mise en scène sont vraiment léchées, le rythme est très soutenu, la trame s'inscrit pleinement dans la veine de la trilogie originelle puis d'une manière générale, j'ai été totalement emporté ailleurs pendant plus de 2h et j'avais vraiment envie que ça continue. Le film et son univers ont très bien fonctionné sur moi et m'ont totalement happé en me délivrant de bonnes doses de frissons et en provoquant quelques larmes.

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Objectivement, le film est loin d’être l’une des plus grosses réussites de l’année mais Jurassic World est un film bien rythmé (notamment par la belle composition de Michael Giacchino), très divertissant et spectaculaire réalisant le fantasme de nombreux fans et le rêve de John Hammond en proposant un parc fonctionnel. Mis en boîte par un amoureux de Jurassic Park qui respecte le matériau d’origine et inclut même l’A.D.N de ses deux suites, le fan service est clairement (trop ?) au rendez-vous. Le film reste toutefois conscient de ses limites et sait même faire preuve d’autodérision dans un ensemble frôlant parfois le ridicule. Dommage que certains personnages manquent de consistance.

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En matière de films d’espionnage, la série des Mission : Impossible reste clairement ce qui se fait de mieux. Un Tom Cruise dans une forme olympique et qui, malgré sa casquette de producteur ne monopolise pas trop le devant de la scène (coucou Vin Diesel et la saga des Fast & Furious) et laisse ici la belle part à Rebecca Ferguson. Malgré sa trame vue et revue, les rebondissements sont légions, les scènes d’actions bétons, le casting solide et le film est réjouissant.

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Un film d’horreur se basant sur une peur simple mais terriblement efficace (une entité maléfique qui poursuit sa victime inlassablement, sorte de Terminator démoniaque qui peut revêtir l’apparence de n’importe qui). Un vrai coup de pression qui dure 1h40 et accusera très bien les années grâce à son économie d’effet. La bande-originale pesante et dérangeante, hommage aux films de Carpenter, contribue largement à la réussite du film.

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Le premier enfant de Marvel et Disney est un pur régal ! Visuellement éblouissant, Les Nouveaux Héros mélange la tragédie (un peu) et l’humour (beaucoup) avec une belle dose d’action (beaucoup aussi). Les personnages attachants (coup de cœur pour le croisement entre Bibendum et Iron Man qu'est Baymax) contribuent à la réussite globale de l’ensemble !

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Un survival à l’ambiance totalement décontractée avec un Matt Damon optimiste qui mène sa petite vie sur Mars et ce, sur fond de disco. Mis à part un suspens quasi-inexistant et une durée un peu excessive, Seul sur Mars est un des films les plus plaisants de cette année et une preuve que Ridley Scott sait encore faire de bons films.

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Black Mirror, le film. Un huit clos passionnant entre deux acteurs du dernier Star Wars et Alicia Vikander sur l’intelligence artificielle. Rien de très révolutionnaire dans le propos mais une réflexion intéressante servie par une mise en scène sobre et élégante, quelques twists et faux-semblants bien sentis et le tout baignant dans une ambiance bien malsaine.

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Tout comme Jurassic World, Ted 2 n’est clairement pas l’une des plus grandes réussites de l’année. Mais ne connaissant que trop peu l’œuvre de Seth MacFarlane (je n’ai vu que le premier Ted et Albert à l’ouest), son univers et son humour fonctionnent très bien sur moi. Les références à la pop-culture, la vulgarité et les caméos sympathiques sont autant d’aspects qui me parlent et me plaisent. Sans atteindre la réussite du premier volet (l’effet de surprise n’est plus là), ce second opus (vu ses résultats au box-office, je vois mal un troisième Ted débarquer…) ne joue pas la carte de la redite et explore même quelques pistes intéressantes sur la condition de Ted.