Top 10 Films selon MaximeMichaut

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À travers sa longue et riche structure narrative, des dialogues inoubliables et des personnages attachants, THE SHAWSHANK REDEMPTION est un chef d’œuvre, apportant du bonheur au milieu de la haine sans une once de pathos exacerbé. Plus qu'un film, c'est une expérience émotionnelle, poétique et immortelle.

http://shawshank89.blogspot.fr/2012/06/shawshank-redemption-les-evades.html

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Fort d'un scénario qui s'éloigne de manière presque perverse des codes hollywoodiens, mixant la noirceur fantastique d'un conte avec des thèmes plus réalistes comme la crise financière et les perversions de l'enfance, NIGHT OF THE HUNTER est le récit sublime et (pas si) simpliste d'une lutte du Bien contre le Mal. Le point de vue enfantin de la forme attaque le pessimisme adulte du fond, osé pour l'époque. Beau et puissant, ennivrant et angoissant, Laughton a fait de son seul film un chef d’œuvre de cinéma.

http://shawshank89.blogspot.fr/2012/08/the-night-of-hunter-la-nuit-du-chasseur.html

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Fresque de l'Amérique et contemplation d'une vie, Sergio Leone érige un monument de cinéma. L'amour, les regrets, les aventures, les erreurs, les souvenirs, la mélancolie, tous sous un poignant vecteur commun : le temps, face auquel le film restera éternellement invincible.

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Par le pouvoir de Lynch, splendide de retenue, Merrick devient miroir, reflétant le pire de notre aspect, notre société, et nous renvoi le traumatisme par sa bouleversante vérité.

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Bouche d'égout délivrant la danse macabre d'une émanation puérile mais magnétique, Taxi Driver est un chef d'œuvre de subversion, fruit paranoïaque d'un bouillon de colère et de frustration, l'Amérique lâchant son monstre de Frankenstein dans le symbole abyssal de son enfer.

http://shawshank89.blogspot.fr/2014/12/critique-taxi-driver.html

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Oeuvre immortelle de la paranoïa cinématographique, THE THING est et restera un grand huit de l'horreur sans aucune fausses notes, mêlant dans un parfait équilibre la maîtrise de la suggestion et l'art de la démonstration horrifique. Au top de la filmographie de John Carpenter.

http://shawshank89.blogspot.fr/2013/06/critique-thing.html

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Avec JAWS premier du nom, Steven Spielberg marque l'inconscient collectif au fer rouge avec un simple requin artificiel fait de plastique et de métal... Et il use de toute la puissance de son cinéma pour nous y faire croire, avec succès. Monumental, effrayant et intemporel, de quoi dégoûter de la baignade.

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Dans une puissance monochrome bouillonnante, les codes sont éventrés, et une rage incontrôlable se voit invoquée par le pouvoir littéralement magistral de l'image et du montage.

http://shawshank89.blogspot.fr/2014/09/critique-light-harakiri.html?showComment=1409931693684

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Un conte poétique et rude, la plus belle forme cinématographique du marginal qui égratigne notre cœur pour en sortir des rêves. Radical, enivrant et sublime.

http://shawshank89.blogspot.fr/2014/01/critique-edward-scissorhands-edward-aux.html

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Épique. Grandiose. Spectaculaire. Généreux. Hypnotique. Effrayant. Émouvant... Les qualitatifs ne manquent pas pour expliquer la trilogie du Seigneur des Anneaux. Adaptation d'un univers complexe mais menée de main de maître par Peter Jackson, les trois opus frappent et marquent avec ses personnages inoubliables, ses qualités artistiques et ses multiples moments de bravoure. Différents mais se complétant, toujours dans une ambition folle malgré son budget limité, les trois films vont pour sûr rester dans l'inconscient cinématographique collectif pour très très longtemps.

http://shawshank89.blogspot.fr/2013/05/the-lord-of-rings-le-seigneur-des.html