Top films perso 2017

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Un vrai grand spectacle de cinéma !!! ( interdiction de le voir en VOD)

2 stars, Los Angeles, une réalisation époustouflante, du rythme, une bo à tomber , du jazz , des couleurs et du cinemascope, bref un feel good movie hors norme qui va bien plus loin que ce que l'on en attendait .


Et pourtant je déteste les comédies musicales !!!

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Un film Francais comme on n'en espérait plus!!
Une réalisation brillante, du rythme, de l’énergie, des trouvailles, un casting au top et une histoire incroyable, une BO magnifique !!!
Bref du vrai cinéma grand public !
On pense à Jean Pierre jeunet et son long dimanche de fiancailles, mais plus on y pense plus on s'appercoit qu' Au revoir La haut est infiniment meilleur !

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Avec le Redoutable , Hazanavicius rend une nouvelle fois, après la classe américaine, The Artist, et les OSS 117, un hommage au cinéma .

Cette fois ci c'est Godard et la nouvelle vague qui passent par le prisme de son regard irréverencieux mais au combien respectueux.
Cela donne un film très drôle, presque burlesque avec des clins d'oeils permanents aux grands plans et séquences des films de la nouvelle vague à l’orée des années 70, qui n'est en aucun cas un biopic mais une vraie comédie.

Le film est en même temps une critique virulente et pourtant attendrie du gauchisme Soixante-huitard et de la bobologie naissante.
Le personnage de Godard , formidablement interprété par Louis Garrel, devient une sorte de personnage burlesque à crever de rire , quand Stacy martin ne cesse de nous séduire à chaque plan et chaque regard.

Le redoutable, au delà de sa réussite, est aussi un film terriblement français et un oasis de fraîcheur dans une production cinématographique en voie de netflixisation totale .
Longue vie 0 Michel Hazanavicius !

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Très bonne surprise que ce Gold !
Un scénario en béton armé, un personnage "bigger than life", une vraie démesure , Une interprétation au top .
La fièvre de l'or fait des ravages dans les années 80.
le film est excellent .
on regrettera juste qu'un scorcese ne soit pas tombé sur le scénario car cela aurait pu tutoyer les sommet des affranchis et du loup de wall street

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Un plongée hallucinante au coeur de l’apocalypse de la déroute de mai 40 sur les plages de Dunkerque.
Porté par une mise en scène époustouflante, un montage, un son et une photographie exceptionnelle, sans oublier une BO qui est en elle même un vrai élément de mise en scène, le nouveau film de Nolan est une fois de plus une réussite dantesque et saisissante !

Les seuls bémols que l'on pourrait trouver sont le coté glacial et clinique propre au style de Nolan, et l'absence volontaire de fouiller la psychologie et l'histoire des personnages, mais compte tenu du sujet et de l'ambition du film et de son résultat peut on vraiment parler de bémols ?...
A l'heure ou le grand public, abreuvé de séries et de comédies francaises à deux sous, a oublié ce qu'était un vrai film de cinéma taillé pour le grand écran , Christopher Nolan se pose comme le gardien du temple comme ont pu l’être avant lui des réalisateurs comme Kubrick, Leone, Spielberg ...

Interdiction de voir ce film ailleurs que dans une salle de cinéma, on en perdrait la substantifique moelle...

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Adaptation fidèle et académique mais très réussie du formidable roman de Romain Gary. L’interprétation de Charlotte Gainsbourg et de Pierre Niney n'y sont pas pour rien !

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The lost City of Z aurait mérité d'être un grand film voire même un chef d'œuvre ! Entre les mains de David Lean ,Kubrick Coppola, Scorcèse, Ridley Scott ou John Boorman , il l'aurait été sans nul doute

.Alors Bien sur James gray n'est pas non plus le premier venu, mais il traite finalement ce sujet à la manière d'un cinéaste indépendant.
A vouloir traiter les traumas , la petite histoire dans la grande il oublie de donner un souffle épique et viril ainsi que le rythme qu'aurait mérité cette histoire (et même une touche d'humour) et qui aurait fait de ce film un monument.
Pourtant, pas mal d'ingrédients sont là: Un sujet en or massif, une photographie magnifique, un casting qui tient plus que la route et des moyens financiers importants .
Avec Une demie heure de moins le film aurait été plus percutant et auraient fait disparaître quelques longueurs.
Avec une heure de plus il aurait peut être été d'avantage au fond des choses .
Dans sa forme actuelle il lui manque le sel qui fait des chef d'œuvres comme peuvent l'être l'homme qui voulut etre roi, Lawrence d'arabie, Mission ou apocalypse now .

Et pourtant de part son ambition et son sujet , the lost city of Z aurait pu s'inscrire dans cette lignée

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Voila une comédie française réussie , qui résistera surement à plusieurs visionnages et à l'épreuve du temps .
Quand on a de vrais acteurs, des dialogues et du rythme , c'est plus facile !
Foncièrement drôle,et sympathique cette comédie est aux antipodes des nanars navrants de Philippe lachaux et de Kev adams ...
mentions spéciales pour Jean Pierre Bacri et l'interprete de Pierre:
Benjamin Lavernhe

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Bien sur ce n'est pas le choc du premier opus, mais T2 reste un excellent film et un exercice de style plus que réussi avec des acteurs au top, des grandes scènes et une mise en scène virtuose.

Il manque juste un peu de rtythme, de folie et d’insouciance mais Spud, Begbie, Mark renton et Sick boy n'ont plus 20 ans et sont en pleine crise de la quarantaine ...

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D'un point de vue purement esthétique , cette suite est une immense réussite ! On retrouve clairement l'ambiance et le climat si particulier qui faisait la saveur du premier film. Le casting est au top. Le scenario e va plus loin que le premier épisode et peut imposer une réflexion intéressante autour du transhumanisme. On ne tombe pas dans l' eceuil de la sciences fiction actuelle avec des scènes d'action à n'en plus finir , ce qui est plus qu'un bon point. Mais le film est affreusement long et souffre d'un manque cruel de rythme qui finit par le rendre assez indigeste, d'autant que tout n'est pas simple à saisir. Il y a peut etre 20 mn de trop

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Le Film de Nicolas Bedos n'est pas parfait mais a de l'ambition.
Dans le marasme actuel de la production française, c'est un très bon point
On suit l'itinéraire d'un couple sur plus de 50 ans , de sa rencontre à sa disparition. On y partage les joies , les peines, les défauts , les faiblesses mais aussi des rebondissements romanesques qui rythment une vie avec une finesse qu'on ne retrouve plus que très rarement dans le cinéma français actuel .
Doira Tillier crève l'écran et Nicolas Bedos n'est pas plus insupportable qu'il ne le faut.
Bien sur tout cela baigne dans un esprit bobo , gauche caviar mais pour une fois cela fait partie intégrante du scénario sans etre moralisateur
Bref c'est une bonne surprise qui vole tellement plus haut que les films francais avec Philippe Lachaux, Kev adams, Christian Clavier, Alexandra Lamy,marilou Berry

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Paddington et la famille brown font leur retour après un premier opus plus que réussi. Cette suite est de la même veine : Drole, poetique, loufoque et sympathique . Hugh Grant cabotine avec un plaisir evident dans son role de méchant . Certaines scenes semblent sortir d'un tex avery . Bref une vraie réussite qui plaira autant aux enfants qu'aux parents

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Deuxième opus dans la lignée de l’excellent premier épisode : Irrévérencieux, déjanté,hyper drôle, décomplexé et so british ....
Cette rencontre improbable entre James bond, Tarantino et les Monty Pythons fait encore mouche même si l'effet de surprise du 1er opus n'est plus là.
Les acteurs et les caméos sont tous excellents. la réalisation et le rythme sont au top . On ne s'ennuie pas une seconde. une vraie distraction fun pleine de coolitude !!
Mais l'effet de surprise du premier n'y est plus , ce qui rend ce film malgré tout un ton en dessous du premier opus

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Belle fresque historique à l'anglaise sur la décolonisation de l'Inde et la création du PAKISTAN.

Si le film est une vraie réussite , il reste toutefois un tantinet formel et académique et par certain aspect un poil caricatural.

Mais ne boudons pas notre plaisir, cela reste du vrai cinéma !

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Le film porte un regard cru et direct sur le militantisme radical d''act up dans les années 90 à travers le prisme d'un couple gay confronté au sida , à l'amour et à la mort.
dans sa forme le film est une réussite tant du point de vue du rythme, de la mise en scène et de l’interprétation.
Sur le fond, on ne cautionnera pas forcement la radicalité des méthodes d'act up ni de certains protagonistes irritants , malgré quelques beaux moments d'émotions.
un dernier conseil : Homophobes s'abstenir ...

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Ce très bon sujet qui sert de cadre au nouveau film d'Olivier Marchal est le pretexte de livrer un film sur le grand banditisme parisien dont l'auteur à le secret.
Si le casting est solide avec ses gueules cassées propre à l'univers du réalisateur , le contre emploi reussi de Michael Youn, un Depardieu détestable à souhait et un Magimel assez juste , la réalisation manque d'envergure et le rythme et l'impact de l'histoire est au dessus de ce que j'attendais .
Cela ne vaut pas le 36 quai des orfèvres ou les lyonnais du m^me auteur même si carbone reste un bon polar

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L'adaptation de Valerian par Luc Besson n'est pas le désastre annoncé, loin de là ...
Si l'on met de coté l'erreur de casting du rôle titre ( Valerian est un baroudeur à la Yann solo, pas un ado prépubertaire), quelques fautes de goûts esthétiques ( uniformes, couleurs ) et un scénario qui aurait mérité de rester plus fidèles aux BD ( pourquoi mixer plusieurs histoires lorsqu'elles se suffisent à elles mêmes) Luc Besson livre un bon space opéra .
Nettement supérieur à AVATAR ,et aux derniers Star Trek, plus complexe que les gardiens de la Galaxies, le dernier Luc besson nous plonge dans un univers assez fou avec de vrais grands moments.
L'une des vrais satisfactions est l’interprétation de Laureline par Cara Delevigne.
Cela reste un vrai grand spectacle et besson prouve qu'il est toujours un grand metteur en scène.
Bien sur ce n'est pas l’empire contre attaque ni gattaca, mais cela reste un très bon film de SF .
De plus on ne peut que saluer l'ambition de Luc Besson de prendre des risques et de réaliser un pareil film à l'heure ou le cinéma Francais se complaît à produire des comédies effroyables avec christian Clavier, Kev Adamas et philippe lachaux ....

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Le film commence très bien avec une dénonciation des réseaux sociaux, de leurs dangers, de leurs abus à travers une société the circle qui n'est pas sans rappeller Amazon et Facebook.
Puis le film part dans la fiction et propose des thèses assez inventives et finalement assez crédibles , mais malheureusement gâchées par une fin un peu convenu.
D'un point de vue purement eductaif, le film peut etre montré à des ado pour les mettre en garde sur les dangers des reseaux sociaux. Il pointe aussi du doigt le fait que le monde prend le pli d'un capitalisme dévoyé et que l'on plaint les générations à venir

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La crise de la quarantaine de Guillaume Canet traitée sur le même modèle que grosse fatigue de Michel Blanc . De très bons moments, une vraie loufoquerie qui rappelle un peu "mon idole" même si ca finit par partir méchamment en live ...
Pas certain cependant que le film devienne une pierre angulaire de la filmographie du couple Canet / cotillard

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Ce Biopic, à l'image de celui fait sur CLOCLO il y a quelques années est une franche réussite !
Même sans être intéressé par la trajectoire de la diva de la variété des années 60/70/80 , on se laisse emporter dans le tourbillon des paillettes et des drames personnels de cette légende .La ressemblance, la beauté et la qualité de l’interprétation de SVeva Alviti y sont pour beaucoup

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A l'opposé du loup de wall street, scorcese livre un film Apre, rude, introspectif ,cruel et très long sur la foi et l'évangélisation du japon.
On comprend qu'il l'ait auto produit ....
cela reste un vrai film de cinéma qui pousse à la reflexion mais dont l'austerité minimale peut rebuter les fans des films de mafia du réalisateur

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Portrait délirant de la trajectoire de Barry seal , un aviateur casse cou bossant à la fois pour la CIA, le cartel de Medellín et pour ses propres intérêts dans les années 80. Le film est construit autour de Tom Cruise, qui fait le job, mais qui est parfois un peu lisse et trop glamour pour le rôle. La réalisation est honnete mais il manque le souffle et le cynisme que l'on peut trouver dans les réalisations de scorcese ou de palma. Nul doute qu'entre leurs mains le film aurait eu une autre ampleur.

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Quand on a vu le casting , puis la bande annonce de cette suite, on a eu très peur !!
Il faut dire que le film original avec robin williams reste encore un petit bijou de drôlerie et d'imagination.
Quand on a vu que cette suite avait the Rock comme figure de proue et qu'elle delaissait le jeu de plateu pour un jeu video, ca sentait vraiment plus que mauvais . On a encore cru qu'Hollywood allait une fois de plus violer notre enfance.
Et bien , heureusement il n'en est rien . S'il n'est évidemment pas au niveau du premier opus, Ce jumanji 2 est drole . Il a du rythme et quelques bonnes trouvailles . On se laisse embarquer dans ces nouvelles aventures avec plaisir.
C'est une bonne distraction familiale comme ont pu l'etre certains episodes d'une nuit au musée ou le plus récent chair de poule.
Ne boudons pas notre plaisir, même si les initiés savent bien que la vraie bonne suite de Jumanji s'appele Zathura

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Merveilleusement débile, les gardiens de la galaxie font leur retour avec tous les ingrédients sympas du premier Opus : personnages sympas, Bonnes Vannes, featuring décalé, musique bien choisies et décalées ...
Cette fois cis c'est pour empêcher une planète (capable de se changer en homme) ,de capter l'énergie des autres planèyes et de détruire tout l'univers. On croisera pèle mêle David hasseloff, Stallone, Kurt russel, Cat Stevens et le bébé groot en plus des gardiens habituels
Enjoy it

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Ce retour du Roi Kong sur les écrans en 2017 est une vraie bonne série B comme on les aime ,et comme malheureusement on en fait plus beaucoup, avec de vrais bons points :
Une belle photographie
une Bo avec tous les tubes rock de l'époque
le fait de placer l'action au début des 70's avec la guerre du vietnam en toile de fond
D'être clairement inspiré par le Monde perdu,
De faire Un Kong vraiment très grand
D'avoir un casting qui plaira aux amateurs de serie B (Samuel jackson cachetonne une fois de plus comme dans des serpents dans l'avion ).
Une héroïne sapée à la lara croft qui s'époumone dans son débardeur ajusté
Des bastons bien senties
Après cela reste une serie B avec son lot d'incohérences, de personnages survolés et son absence total de fond et de profondeur ( mais on s'en fout !) ....

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Le brio est un film plein de clichés sur la relation entre un prof de fac reac et provocateur et une jeune issue de la diversité qu'il est contraint de coacher pour un concours d’éloquence.
Le film est sauvé par le très bon duo Daniel Auteuil, Camelia Jordana dont la qualité de jeu tire clairement le film vers le haut.
ET on ne rechignera pas à savourer le fait que la maîtrise langue francaise, de son expression et la présentation soient présentés comme des vecteurs de réussite sociale et d'intègration.

Annotation :

Ce n'est pas un grand cru de Klapish, pour autant il sait quand même filmer et diriger ses acteurs avec un vrai talent
On se laisse donc embraquer dans les vignobles bourguignons, dans cette histoire sans grand intérêt , mais qui suscite des émotions grâce aux charmes des 3 acteurs principaux et de leur fraternité retrouvée

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L'école buissonnière est une belle ballade à travers les foret de Sologne qui ravira les grands parents qui veulent emmener leurs petits enfants au cinéma sans avoir à s'infliger un Pixar ou un Marvel.
Les images sont magnifiques comme dans tous les films de Vanier . Pour autant on est vraiment dans du cinéma d'un clacissisme tel qu'on n'est surpris par rien : Ni par les bons sentiments, ni par l'histoire, ni par les bonnes prestations des acteurs...
On rigolera quand même un peu sur certains choix de la directrice de casting. notamment la jeune bohémienne interprétée par une jeune fille donnant l'impression de sortir de la signature d'un contrat avec l'agence Elite et d'enchainer par une publicité pour émail diamant ....

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Compliqué de porter à l'écran la trajectoire de Chet Baker , cette figure hors norme de l'age d'or du jazz.
Blanc, beau comme un dieu grec mais aussi totalement junkie, la douceur et le romantisme de sa musique et de sa beauté sont en contraste parfait avec sa vie totalement destroy , qui ferait passer les frasques des rolling stones , de led zeppelin et de motley crue pour d'aimables contes pour endormir les enfants .

Born to be blue prend le partie pris de ne intéresser qu' à la période du come back de Chet baker après une agression ou sa mâchoire fut brisée et qui l’empêcha de jouer de la trompette pendant de longs mois . Le film raconte cette renaissance à la musique, en parallèle d'une de ses grandes histoires d'amour et de la lutte contre ses démons qu'il menait alors de concert.

Le film est peut être un peu trop amateur pour tenir ses promesses, malgré la superbe interprétation d'ethan hawke mais a le mérite de ne pas tomber dans les eceuils classique du biopic formaté .
Pour ceux qui voudrait vraiment découvrir le musicien , on conseillera avant de visionner ce film de lire la bio " la longue nuit de Chet Baker", d''ecouter un best of centrés sur ces grands titres et sur ses enregistrements solos de la fins des années 50 et de visionner "let's get lost", le documentaire crépusculaire qui lui fut consacré , filmé quelques jours avant sa mort

Annotation :

des moments très émouvants, mais ce n'est pas du cinéma...
Au delà de l'emotion , on peut se demander quel est le message du film et ou il veut en venir .... même si l'émotion est bien là