WTF mes étagères!?

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Le besoin d'histoire est devenu plus important que celui d'information. On a une représentation du monde, et on veut qu'on nous raconte des histoires qui nous conforte dans ce sens.

Super lecture.

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En fermant le bouquin, à part une envie de lire Simone Weil, il ne reste pas grand-chose.

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Parcours plaisant à lire, impression étrange d'entre Luchini dire son texte à mesure qu'on le lit.

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La construction du bouquin est assez énorme, et les perso et situations sont très, très bien vus. Peut-être un peu trop success story à mon goût (sur le plan de la réussite sociale du moins), mais supportable!

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Synthèse vraiment complète de ce qui se fait ici et là en matière de "révolutions tranquilles", c'est à dire de changements de mode vie, consommation, travail, etc. à travers le monde.
Mention spéciale au passage sur les créatifs culturels!

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pas compris l’intérêt de ce truc. Arrêté a la 60ème page

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Inspirant. Le genre de bouquin à lire une fois tous les deux ou trois ans, et dont les recommandations demandent une vraie discipline pour être appliquées...

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Déception. Clairement le gars joue sa partition sans trop se fouler.
Un genre de survol de ses connaissances, et sans voler très haut !

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Rempli de lieux communs... On aurait pu s'en passer.

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C'est... inattendu. Un jeune adulte arrête tout: ses études, ses amitiés et s'enferme dans un quotidien régulier, morne, mais voulu. Ça a quelque chose de vraiment fascinant.

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Gros plaisir de lecture. Forme assez rare (compilation de lettre écrite par un ado à un inconnu), on suit l'évolution d'un ado pas mal renfermé sur lui-même dans sa découverte du lycée. Bien foutu.

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Le bouquin te prend à la gorge, te lâche pas. Tout ce dont tu arrives à te rendre compte, c'est que tu peux pas te rendre compte.

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Récit et écriture vraiment solides. Peut-être un peu le sentiment que l'histoire est survolée, trop de faits relatés en trop peu de pages.

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Plutôt cool comme tout ce qu'écrit Mike Davis, mais le fil conducteur entre les trois grand chapitre (le cadavre berlinois dans le placard de l'Utah, Les flammes de New-York, Villes mortes: une histoire naturelle) est quand même pas très épais...

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Première fois je crois que j'aime vraiment un bouquin uniquement pour son style, car l'histoire est un peu décousue, les personnages difficiles à suivre alors que peu nombreux... Mais décidément ce type écrit sacrément bien.

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Bouquin écrit au fil des insomnies de l'auteur. Quelques fulgurances, par contre ça part vraiment dans tous les sens!

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Vaut surtout pour la galerie de portraits, plus que pour l'histoire, le style ou le personnage principal. Par contre, chaque portrait vient titiller une partie de soi, interroge: la place de la violence et la fascination pour elle, la place de la manipulation et de la domination dans les rapports humain, et leur pendant, ce qui les rends possible: la complaisance dans la servitude et le masochisme.
Par moment c'en est dur à lire, mais du coup vraiment bien foutu.

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Deux trucs que je retiens à propos de la capacité imaginer le futur: 1 - c'est jamais ce qui arrive, 2 - C'est toujours moins bien que prévu.

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Une maîtrise ouf du sujet! Tellement maîtrisée que plus on approche de la fin plus j'ai le même sentiment qu'en lisant La Vérité sur l'affaire Harry Kleber: l'auteur a une grosse maîtrise de la dramaturgie, mais ça emporte pas complètement parce que trop bien ficelé: je crois que je préfère quand ça dépasse un peu.

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Cet auteur... Toujours au top du style, ou plutôt de l'épuré. Vraiment classe.

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Parfois un peu fouilli, notamment la partie 5 puissance/impuissance. Mais le tout est vraiment balaise, je dirais presque "encourageant" pour l'humanité. Les trois premières parties sont vraiment excellentes: "1-Au commencement était le féminin", "2-La virilisation du monde", "3-L'essentialisation de la femme: la trinité vierge-mère-pute".

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Rondement mené. Agréable à lire. Rendu précis et "romanesque" de ce que peut être une enfance dans un quartier violent d'une ville violente. Des personnages principaux très précis et intéressants par leurs multiples facettes.

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Largement au niveau du premier

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Ça reste très intéressant niveau sujet et traitement, mais ça devient un peu redondant: il arrive des trucs de fou à la narratrice parce qu'elle est brillante, puis elle revoie son amie et déprime, ensuite elle décrit son époque... Et ça recommence dans cet ordre ou non. La monotonie est évitée de justesse avec l'irruption du féminisme dans l'histoire. Parce que le féminisme (ou plutôt une réflexion sur la féminité je dirais) est ce qui portait l’œuvre jusque-là sans que ce soit formulé.

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Le sentiment de redondance s'accentue encore un peu. L'inclusion du champs politique et surtout féministe que la fin du 3 laissait entrevoir n'est pas vraiment exploitée.

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Très intéressant, mais quelques passages juste incompréhensible pour ma pauvre personne.

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Clairement éblouissant par moments... et à mourir d'ennui à d'autres.

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J'avais été fasciné par le film. Le bouquin est plein de symboles, un peu trop à mon goût je crois.

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L'idée de narration est top: une histoire racontée à une aveugle grâce à des photo.

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Très daté, et j'ai pas saisi toute la cohérence du plan.