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Livre de Thierry Di Rollo · 10 février 2011 (France)
Genre : Roman« Il y a ainsi une odeur de chairs coupées, tailladées, des cris qui résonnent encore. Rien qu'une guerre de plus qui s'achève... » Mordred est le dernier des varaniers, l'ultime représentant de sa race. Personne n'a jamais vu son visage derrière le heaume gris qu'il ne quitte jamais, pas plus que la couleur de sa peau par-delà l'armure qui l'habille — à moins que l'armure elle-même ne soit précisément cette peau, et son heaume son visage... Mordred est celui qui annonce, et nul n'échappe à... Voir plus
Critique positive la plus appréciée
Car sur Bankgreen, tout a une raison
Cette sentence, répétée à l'envi tout au long du roman, en est en fait son cœur, son leitmotiv. Car il faut savoir s'abandonner, accepter de ne pas comprendre tout ce qui se passe devant nos yeux,...
Par
le 16 mars 2011
2 j'aime
Critique négative la plus appréciée
Le brouillard de Bankgreen
Attiré par les éloges de lecteurs avertis dans le domaine de la fantasy, je me suis laissé guider vers cette œuvre prometteuse. Las ! Je ne suis jamais parvenu à y entrer et c'est à l'issue d'une...
Par
le 6 août 2011
3 j'aime
2
Pour amateurs d’Univers sombres et poétiques
Bankgreen c’est de la Dark Fantasy pur jus : c’est sombre, très sombre. La planète se meurt, les personnages sont tous résignés, ils tentent juste de suivre leur voie et de survivre le plus longtemps...
le 14 avr. 2015
Critique de Bankgreen par matteo
Mordred est l'un des derniers varaniers, personnages sombres et mystérieux dont personne n'a jamais vu les visages, cachés derrières leur heaumes vissés sur leurs armures sombres qu'ils ne quittent...
Par
le 26 nov. 2014
Critique de Bankgreen par Chips
La suggestion, l'ellipse sont bien souvent les meilleurs outils pour bâtir une cathédrale de vide. Bankgreen parvient à les faire sienne afin de dépeindre un univers profondément sombre. Difficile...
Par
le 14 juin 2013
Critique de Bankgreen par leleul
Il y aurait tant à dire sur Bankgreen. Singulier, contemplatif, visuel, sans concession, traversé par des personnages comme des épures sur un palimpseste. La vie, la mort, entre les deux le choix...
Par
le 25 juin 2012
1 j'aime
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