Critique de Cinquante Nuances plus sombres par Mlle_Nana
Bah, il pourra toujours me servir à tuer les mouches.
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le 28 janv. 2013
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Anastasia Steele est malheureuse, trois jours après avoir Christian Grey. Elle n’arrête pas de pleurer et ne mange plus. Elle a trouvé un travail d’assistante d’éditeur à Seattle. Elle doit assister au vernissage de l’exposition de son ami José. En tout bien tout honneur, elle accepte que Christian Grey l’accompagne.
J’assume complètement cette lecture, sans prise de tête, pas très intelligente dans les mots écrits. Cela fait du bien de temps en temps, même si je trouve ce tome un peu mieux que le précédent, sans qu’il y ait quoi que ce soit de transcendant pour être franchement honnête. J’ai lu le premier tome pratiquement après sa sortie. Le deuxième et le troisième m’attendaient donc sagement depuis. Un de fini, il m’en reste donc un autre mais aussi le point de vue de Christian, si j’achète ce dernier. Allez savoir pourquoi ? Il me plait bien cet homme. Même si je lis les bouquins, je ne suis pas allée au cinéma.
Ce deuxième tome est beaucoup plus axé sur Christian Grey et ses efforts pour garder Ana. On voit son cheminement, sa crainte de perdre Anastasia et on en apprend un peu plus sur ce qu’il a subi enfant. L’homme est véritablement amoureux. Il a peur de la perdre de n’importe quelle façon, d’où son côté despotique. Mais il est amusé face à Ana qui est rafraîchissante et qui ose lui tenir tête. Leurs disputes sont celles de n’importe quel couple qui apprend à se connaître. Car ce deuxième tome se déroule en même pas une semaine avec quelques rebondissements. Christian Grey est réellement attendrissant, extrêmement attachant, à mon point de vue. De ce côté là, l’auteur connaît à fond son sujet. Je peux lui reconnaître ça tout comme un petit rebondissement assez intéressant et quelques éléments pas mal trouvés et des jalousies de femmes.
L’auteur s’est calmé au niveau des scènes de sexe, même si elles sont nombreuses, répétitives, allant plus dans le sens d’Anastasia qui se dévergonde de plus en plus, apprenant auprès de Christian qui est son véritable mentor. Elle semble un peu moins godiche par certains moments. Par contre, sa déesse intérieure et sa Conscience ne rajoutent rien au caractère d’Ana, ni au livre. Elles servent juste à meubler certains passages pour augmenter les pages. Anastasia est restée naïve malgré sa colère envers Christian. Je pense toutefois qu’ils se sont bien trouvés et qu’elle doit accepter son passé comme elle le fait, même si c’est dur.
Créée
le 5 déc. 2015
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