L'humour caustique, déjanté de Romain Gary et les surprises sont présents jusqu'aux dernières pages inattendues. Il pouvait tout se permettre, c'était le premier roman d'un inconnu Emile Ajar. il dira : "Ce fut seulement après avoir terminé Gros Câlin que je pris la décision de publier le livre sous un pseudonyme, à l’insu de l’éditeur. Je sentais qu’il y avait incompatibilité entre la notoriété, les poids et mesures selon lesquels on jugeait mon œuvre, « la gueule qu’on m’avait faite », et la nature même du livre."
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