Intéressant la construction mentale et psychique du narrateur telle qu'écrit par Robert Merle (dont j'aime le style)
On comprend que le poids de cette enfance torturée, puis la rencontre de pères de substitutions influenceront la vie et les actes du narrateur. Le contexte historique engendrant l'horreur ultime.
Une approche incroyable pour un livre écrit seulement 5 ans après la deuxième guerre mondiale.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs livres sur la Seconde Guerre mondiale
Créée
le 28 déc. 2015
Critique lue 230 fois
1 j'aime
D'autres avis sur La Mort est mon métier
Robert Merle, dès 1952, apporte un éclairage nouveau à la littérature concentrationnaire en décrivant la personnalité du responsable du camp d'Auschwitz-Birkenau, chargé d'organiser le camp de telle...
Par
le 29 avr. 2011
30 j'aime
7
Très provocateur, le titre colle pourtant parfaitement au contenu de ce livre : une biographie romancée de Rudolf Höss – nommé ici Rudolf Lang – celui-là même qui a organisé puis dirigé le camp de...
Par
le 14 juin 2022
28 j'aime
25
L’un des avantages de l’incursion de l’Histoire dans la littérature est cette possibilité de réconcilier les partisans d’une Histoire délaissée par l’Education Nationale et ceux défendant sa...
Par
le 7 avr. 2015
26 j'aime
9
Du même critique
Intéressant la construction mentale et psychique du narrateur telle qu'écrit par Robert Merle (dont j'aime le style) On comprend que le poids de cette enfance torturée, puis la rencontre de pères de...
Par
le 28 déc. 2015
1 j'aime
Roger Bruge nous livre ici un fantastique livre relatant l'histoire Troyenne de l'occupation, la libération, et les procès d'après guerre des officiers de la 51ème brigade SS. C'est très bien écrit...
Par
le 29 févr. 2016
Roger Bruge spécialiste français de la Ligne Maginot réalise ici un très bon roman à intrigue se déroulant au cœur d'un ouvrage en lorraine durant l'invasion Allemande de 1940. C'est très bien écrit,...
Par
le 29 févr. 2016
