On commence à comprendre le pourquoi du comment dès la première apparition d’Ilan, on espère se tromper, que la suite sera un peu surprenante. On a un regain d’espoir lors de la rencontre avec les policiers auto-stoppeurs, mais non, c’est bien ce qu’on pensait... Les indices sont grossiers, nombreux et arrivent trop vite (même le nom de Virgile Hadès a la subtilité d’une pancarte au néon). Le « mystère » est limpide tellement vite que les 20 derniers chapitres en sont agaçants, tant on a l’impression que l’auteur prend son lecteur pour un demeuré. Dommage.