Ce roman fait beaucoup parlé de lui depuis sa sortie et même avant, et je dois dire qu’il a piqué ma curiosité. C’est l’un de mes achats du salon du livre et je dois dire qu’il n’est pas resté longtemps dans ma pile à lire.
Je dois dire que c’est une dystopie simple à la base mais l’auteur a réussi à me conquérir dès les premières pages. Cet univers avec deux familles que tout oppose me fait penser à Roméo et Juliette.
Ivy, notre héroïne, je l’ai apprécié tout de suite. Elle est certes sous influence de son père et de sa sœur mais je pense qu’elle est moins endoctrinée que ces derniers. L’histoire aurai été plus brutale si l’héroïne avait été Callie, la sœur d’Ivy. Grâce à son mariage et sa vie avec Bishop, elle grandit et se fait ses propres idées.
Bishop, c’est le petit copain que pas mal de jeunes filles voudraient avoir. Il est très éloigné de l’image qu’Ivy se fait de lui. Il est aussi assez différent de son père, du moins ce qu’on en perçoit. Je pense qu’il ferai un excellent président.
J’ai par contre eu un problème avec le père et surtout la sœur d’Ivy mais aussi la mère de Bishop. Les deux premiers se servent d’Ivy comme une arme pour atteindre leur but et n’hésite pas à la sacrifier. Je ne comprends pas comment ils peuvent parler d’elle ainsi surtout à la fin. La mère de Bishop est froide et fait payer à Ivy le passé de son mari.
La fin est frustrante et ne donne qu’une seule envie c’est de lire la suite. Non mais c’est quoi cette fin ? Comment l’auteur peut nous laisser patienter des moins avant de connaitre les réponses à mes question ? Je dois surtout avouer que je ne comprends pas le comportement d’Ivy dans les dernières pages.
Si vous ne l’avez pas compris, c’est un coup de cœur magistral pour ce livre même si je n’ai pas pleuré comme beaucoup lors des dernières pages mais je dois dire qu’il est difficile de me faire pleurer.