Critiques de Un pays qui n'avait pas de port

Penro
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Un fin entrelac de malentendus

Un pays qui n’avait pas de port, quatrième roman d’Isabelle Condou, se distingue par sa grande simplicité, qui traduit une élégance de la narration. Prenant la forme d’un huis-clos, sur un cargo...

le 26 mai 2014