Critiques de Un mal sans remède

le 13 févr. 2011

Critique de Un mal sans remède par bilouaustria

Dans un Bogota triste comme un jour sans dope, le poète Ignacio Escobar joue le Big Lebowski local. Poète sous-doué et révolutionnaire, il se lève à 17h00, taxe un peu d'argent à sa bourgeoise de...

le 10 nov. 2014

Une fois que ma décision est prise, j'hésite longuement

Cette citation de Jules Renard s’applique merveilleusement à Ignacio, antihéros attachant, mais non moins antipathique et égoïste qui accompagne le lecteur tout au long de ces 600 pages. J’avoue ne...

le 3 mai 2013

Critique de Un mal sans remède par Tzara

Une grande claque d'humour et de métaphysique, ou la liberté pour le poète n'est pas dans la lutte mais dans l'inertie.