Saison 1 : La série nous plonge dans un braquage orchestré de main de maître, qui permet surtout à un casting exceptionnel de briller d'une fraîcheur inattendue. Le spectre de la facilité. Aussi maîtrisée soit La Casa de Papel sur le papier et à l'écran, la série récupère au passage les travers d'un genre hautement codifié. Ainsi, chaque personnage est caractérisé à l’extrême, permettant à la fois de bien l'identifier, mais aussi de renforcer les stéréotypes. 7/10
Saison 2 : La série nous plonge dans un braquage orchestré de main de maître, qui permet surtout à un casting exceptionnel de briller d’une fraîcheur inattendue. Le spectre de la facilité. Aussi maîtrisée soit La Casa de Papel sur le papier et à l’écran, la série récupère au passage les travers d’un genre hautement codifié. Ainsi, chaque personnage est caractérisé à l’extrême, permettant à la fois de bien l’identifier, mais aussi de renforcer les stéréotypes. 7/10
Saison 3 : Tout était là pour nous faire saliver d’avance. Le même casting, les mêmes costumes, la même VO espagnole, le même montage alterné, la même histoire, les mêmes complications, voire le même cliffhanger de folie à la fin de cette mi-saison. En gros tout est pareil, et de manière à peine déguisée. En dehors de quelques rebondissements, la partie 3 de la Casa de Papel peine à convaincre même si, bon ok d’accord, certains moments nous scotchent carrément dans notre canapé. 6/10
Saison 4 : Encore moins crédible que la partie 3, la quatrième partie de la Casa de Papel s’embourbe définitivement dans un braquage incohérent, musclé mais balourd. Même si la quatrième partie est encore une fois follement addictive, quelques bonnes idées ne suffiront pas à faire de cette peinture saturée la révolution attendue. Dommage, c’est parti pour durer… 5/10
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