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« Je m’appelle James. J’ai 17 ans, et je suis à peu près sûr d’être un psychopathe. » Dès sa toute première réplique, en voix off, The End of the fucking world annonce la couleur ! Difficile de faire plus explicite et plus direct : vous voilà prévenu, vous vous trouvez en pleine comédie dramatique, sordide et cynique. Et si l’ambiance franchement dérangeante pourra de prime abord rebuter les téléspectateurs les plus délicats, la série finira inexorablement par les conquérir.
Saison 1 : 8/10 – la critique : http://www.litteratureetculture.com/the-end-of-the-fucking-world-decryptage.html
Saison 2 : 8/10 – la critique : http://www.litteratureetculture.com/the-end-of-the-fucking-world-saison-2-decryptage.html
Créée
le 10 janv. 2018
Critique lue 340 fois
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