The Girlfriend Experience fait partie de ces séries étonnantes et audacieuses dont le grand public n’entend pas suffisamment parler. Pas dénuée de défauts, mais d’une originalité de plus en plus rare sur le petit écran, la première saison, qui reprenait les grandes lignes du film de Soderbergh (ici à la production), s’était faite remarquée par sa mise en scène épurée et glaçante qui embarquait le spectateur, tel un voyeur, dans l’univers des escort girls.
Cette fois, outre la réalisation toujours singulière et l’atmosphère qui s’en dégage, The Girlfriend Experience a la particularité d’être conçue telle deux mini-saisons scindées en deux, de sept épisodes de 25 minutes chacune. La chaîne Starz (toujours pertinente dans ses propositions), et OCS qui diffuse la série en France, ont alors décidé de diffuser les deux parties en même temps, proposant chaque semaine un épisode de chacune. Un mode de lecture unique et pertinent, mais à double tranchant, car révélant d’autant plus les limites de l’une d’entre elles
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