Les meilleurs jeux d'horreur selon Othmane عثمان

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Si ce n'est que la quintessence même des j-rpg qui peine à vous exposer dans l'une des expériences vidéo-ludiques les plus austères. Ici nous avons vous comme seul survivant dans un univers post-apocalyptique où vous subirez l'affront éhonté d'un monde exsangue sans forme de vie qui l'occulte. Et dont la subdivision de cette terre inféconde retroussera la vision idyllique d'une lune sanguinaire Kagutsuchi. Pour restaurer les lois propices du monde et redonner l'essor si vivace que promulguait l'humanité. Vous êtes un lycéen qui subira une transition de mi humain mi diable. Se basant sur ceci, vous devrez joncher toute cette terre enjambée en affrontant une pile de boss TRÈS DIFFICILE.Et dans tout les cas vous aurez que de routes insatisfaisantes : la route chaotique, neutre et enfin la bad ending.

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RPG maker oscillant vers une heure de gameplay pour un joueur découvrant le jeu pour la première fois, 30 minutes pour quelqu'un ayant appris toutes les routes. Ce RPG Maker est bien spécial et spécifiquement le plus densifié dans ses mécaniques de jeu puzzle/horreur puisqu'il s'agit de celui qui déconstruit le plus conceptuellement ce mode de jeu. Vous pouvez interagir avec tout élément sprite du jeu par le biais de votre inventaire qui aggloméra tout les sprites obtenus pour déceler toutes les parcelles de la maison hantée en mode puzzle. Vous pouvez vous aider à partir des bouts de notes échancrées notant quelques anotations anecdotiques mais pragmatiques pour le joueur. Si vous ratez un élément à exhumer pendant votre phase de gameplay, vous trépasserez fatalement de manière imminente avec cette interface brassée d'une couleur rougeoyante "GAME OVER". Les jumpscares sont aussi rugueux en effet...

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Un rpg maker assez perché où un groupe d'amis sera traqué par un fantôme avec une forme de visage biscornue et désaxée. Et puis on est d'accord hein rien qu'à voir la gueule d'Ao Oni, il est chelou quand meme

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Un RPG maker avec un système de jeu puzzle/horreur programmé pour une durée de vie ne dépassant une heure. Vous incarnez Ib une jeune fille de 9 ans perdue dans une vaste vision illusoire concentrique dans un musée d'art où vous devrez rabibocher tout élément sprite du jeu pour amorcer une sortie vers d'autres tableaux du musée avec des répliques anecdotiques et 2creepu4u. Votre point de vie est représentée sous l'incarcération de fleurs, monstres et gigolos à votre poursuite. Vous ferez aussi rencontre de personnes perdues dans ce musée : Garry et Marie en fonction desquels vous aurez droit à plusieurs fins retenant l'un emprisonné dans cette vision factice et épaulant l'un à rester avec vous. Enfin si vous y jouez pour la première fois, vous serez un peu sidéré par les routes du jeu.

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Ah Doom ! Que dire si ce n'est que le prototype même des jeux-vidéos aspect fps/horreur depuis le préambule des fps. J'aurais bien voulu mettre tout les opus de cette licence mais hélas un seul suffit pour représenter l’apôtre de ce fps où vous seul joueur devra se démener pour survivre en mode bourrin.

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Jeu fortement déconseillé par les -18 ans, ce visual novel aux OST insidieuses jouera jusqu'à craquer vos nerfs, bien évidemment pour le plot de base et les twists et SURTOUT pour le personnage de Saya. Sound Novel incluant des scènes érotiques et dystopiques où sévit notre protagoniste Fuminori atteint d'agnosie virant dans le cauchemar et la dystopie et ne se dorlotant qu'uniquement avec cette Saya perfide.

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L'apesanteur remorque le jeu en entier où vous joueur sera épris dans un monde dévasté par les aliens. Bien sûr, vous serez tétanisé par l'apparition éclectique de ses espèces inhumaines et sans coeurs par plusieurs jumpscares. Jeu jouable pendant des heures non diurnes, si vous avez déjà fait le jeu et connu tout les patterns de celui-ci, vous serez donc insensible.

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4eme opus de cette série de survival horror, celui-ci donnera un nouveau aspect à la 3eme personne : un tps. Enfin prenant son élan d'essence en 3 embranchements : une zone espagnole rurale et rustique dans des cadavres dépouillés jusqu'à tendinite où vous devrez vous frayer un chemin pour faire évasion de cette zone insalubre. La deuxième zone est plus religieuse et dépeint tout un château et vestiges bafoués par les menaces de zombies, les boss n'étaient pas faciles à déjouer non plus. Puis la toute dernière zone donne une justification directe à cette épidémie dans une île isolée et dépeuplée mais renfermant d'importants dossiers scientifiques et éminents sur celle-ci mais le rendement donnera une difficulté plus déployée.

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Un goût âpre d'apesanteur répressif règne comme ambiance dans le jeu. Même remarque que j'ai faite à Dead Space, l'oppression joue un grand rôle dans le jeu, à jouer pendant des heures nocturnes pour mieux accointer le côté jumpscare.

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Castlevania est réputé pour son ambiance tiraillée et pour la difficulté qu'elle laisse perdurer au joueur. Vous êtes Simon, le protagoniste qui devra arpenter le terrible château de Dracula, sous son joug, vous allez affronter tout monstre à chaque niveau du chateau jusqu'à l'atteindre lui comme boss final, vous donnant un combat digne de ce nom.