Les jeux vidéo à la meilleure direction artistique selon Ramlladu

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Le plus beau jeu Neo Geo ?

The Last Blade 2 réussi le pari de faire mieux que le premier. Ambiance "japon ancien" inimitable (le jeu se déroule à la fin de l'ère Edo), personnages charismatiques, décors sublimes, soin du détail en veux tu en voilà, animation excellente, attaques spéciales énormes... Un pur délice.

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Un majestueux livre de conte qui prend vie à l'écran. Encore hallucinant en 2014. Un jeu que j'ai toujours rêver de savourer.

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Dans un genre un peu plus mystique que The Last Blade 2, Samurai Shodown est un chef d’œuvre d’esthétisme.
Difficile d'oublier un face à face entre Ukyo Tachibana et Genjuro Kibagami, la nuit sur une plage, les lames s'entrechoquant...

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L'esthétique de MUSHA est en partie responsable de l'amour que je porte à ce titre.

L'action prend place dans une zone de guerre où la technologie fusionne aux éléments typiques du Japon traditionnel (le pavillon-char du premier niveau donne le ton) et prend parfois des traits organiques. Le jeu offre des moments inoubliables, comme l'affrontement contre ce boss au visage de femme qui, une fois entamé, pleure des larmes de sang avant de dévoiler une face de tête de mort robotisée.

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La conclusion de la tétralogie Phantasy Star sublime toutes les meilleures trouvailles visuelles des précédents tout en y apportant du nouveau.

Au programme : science fantasy, character design délicieux (Wren !), monster design renversant (le tout étant animé avec classe), présence de nombreuses vignettes dans un style "anime" très efficace, donjons qui vont de la traditionnelle caverne au château magique "vivant", en passant par des ruines, vestiges d'une époque à la technologie avancée.

Jusqu'au dernier boss, Phantasy Star nous met une claque dans la gueule de part sa personnalité inouïe.

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L'exploration de Lea Mundis est une ces expériences qui ne s'oublient pas.

L''univers de Vagrant Story, silencieux, mystérieux, parfois étouffant, est resté unique. Les décors sont splendides avec des textures très riches, les modèles 3D grandioses (une véritable prouesse pour de la Psone), du "simple" Dragon à la créature la plus étrange, rien, absolument rien n'est à jeter.

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Chrono Cross est un mystérieux voyage dans le temps et les dimensions, et Squaresoft a ici mis les bouchées doubles pour rendre cet univers des plus singuliers propice à la contemplation.

Un générique magistral qui se clôt sur un écran titre sous marin. Des environnements fascinants. Un arlequin se promenant aux cotés d'un homme-lynx. La déesse du destin prenant la forme d'un ordinateur aux traits humains.

Un festival baroque d'êtres étranges, de jeux de couleurs mirifiques, une grande hétérogénéité pourtant si cohérente. Et indubitablement un des plus beaux jeux de l'ère 32 bits.

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Dés la scène d'introduction, combat aérien surplombant la ville, on en prend plein la vue. Le personnage de Bayonetta et tout l'arsenal des sorcières est noir et ultraviolent à souhait, propre à une débauche d'effets où les cheveux de l'heroïne se muent en titanesques bêtes assoiffées.

Mais les ennemis, les anges, ne sont pas en reste, leur esthétique évoquant la splendeur divine laissant transparaitre la corruption sous-jacente, notamment lorsque ceux ci se décomposent ou révèlent leur véritable visage.

Et que dire des décors, qui passent des édifices illuminés par le clair de lune à des scènes qui rappellent les plafonds baroques et leurs ascensions glorieuses.

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Entre châteaux organiques et cauchemar sorti tout droit des oeuvres de Giger, pouvoirs stylés, ennemis malsains et/ou étranges (nouveaux nés monstrueux, mages se transformant en araignées pour finir par s'assembler en un ver surmonté d'un guerrier), Mystic Defender/Kujaku O 2 est encore, 25 ans plus tard, un des jeux à la personnalité la plus singulière.

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Une des dernières cartouches de Squaresoft sur la 16bits de Nintendo, et peut être son plus beau titre. Décors foisonnants de détails qui prennent parfois la forme de magnifiques tableauxd e pixel art, animation au poil, couleurs chatoyantes, ennemis parfois gigantesques et dessinés avec un talent et une finesse rare... La super famicom a son meilleur.

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FFVIII n'est pas mon Final Fantasy préféré (je ne suis d'ailleurs pas un grand fan de la saga), mais il est sans nul doute celui dont l'esthétisme, irréel, éthéré, d'un très grand raffinement, m'a le plus marqué.

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En plus d'être très abouti sur le plan de la technique pure, Arkham Asylum est une réussite en matière de design. L’Asile y est sombre, noir, torturé à l'image du vengeur de Gotham. Les principaux personnages bénéficient globalement d'un look de qualité. Et chaque parcelle de la zone de jeu regorge de petits détails. Une grande minutie... propice à servir de matière aux énigmes de l'homme mystère.

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Un des plus jeux de baston 2 low-def. Si le charisme de certains personnages est assez douteux, on ne peut qu'être ébloui par les prouesses de l'animation, les particularités de chaque personnage étant propice à des merveilles dans le domaine. Les décors sont à l'avenant, superbes et bourrés de détails.

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Le premier ZOE avait donné le ton, avec ses superbes Méchas, mais c'est bien The 2nd Runner qui délivre une puissante claque. D'avantage de variété sur le plan visuel, cell shading léger mais bienvenu, et un festival de particules caractéristique...

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J'ai beaucoup de mal à accrocher à ce jeu. Mais s'il y a bien un point qui me poussera à avancer, c'est son esthétisme. Une sorte de rêve éveillé, où se mêlent constructions cyclopéennes et traversées d'océans de nuages...

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Après l’impressionnant Guilty Gear X, Arc System Works remet le couvert avec le très baroque Blazblue. Persos en 2D HD au look du tonnerre, magnifiques décors riches en détails, rafale d'effets pyrotechniques.