Les meilleurs albums de 2021 selon Romzor

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Rarement un groupe de musique folk m'aura autant captivé et fait voyager grâce à ses chants ancestraux et ses instruments traditionnels nordique comme la nyckelharpa. Une musique atmosphérique qui rappellera, pour les connaisseurs, l'ambiance des terres de Skellige de The Witcher 3.

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Découverte qui m'obsède depuis des semaines. Formidable artiste à la voix maîtrisée, posée sur des instrumentales tantôt dansantes tantôt enivrantes, assumant les thèmes de la jeunesse égalitaire et du girl power. La reprise de "Skater Boy" d'avril Lavigne, habilement renommée "L8r Boi", est une pépite.

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Une jeune artiste cash qui exprime son mal être au sein d'une société qui se veut bancale sur le sujet de sa sexualité. Une expérience envoutante et particulièrement agréable. Une artiste visiblement franche, des textes désabusés non sans légèreté et des instrumentales pop-rock-electro sentant les année 2000 : Il n'en faut pas plus pour me séduire.

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Aurel offre une nouvelle fois un tranche de sa vie qui se veut pessimiste sur l'état et l'avenir de notre société (Manifeste, L'odeur de l'essence, Baise le monde) tout en nous montrant l'amour de sa vie (Seul avec du monde autour, la quête, Jour meilleur) avec une pointe de folie propre au rappeur (Du propre, Casseur Flowter Infinity). Certains titres sont en revanche systématiquement sautés tant l'instrumentale et les textes m'ennuient (Bébéboa, dernier verre). L'ôde à Caen et aussi à son paroxysme (Sauce Magique Beau-Gosse Bordel !).

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Derniers morceaux pour Therapie TAXI. Ce groupe que j'avais découvert avec beaucoup enthousiasme en 2017 et eu la joie de vivre en concert en 2018 tire déjà sa révérence. La magnifique voix d'Adélaïde et l'énergie de Rapahël vont beaucoup nous manquer.

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Dernier album du D.U.C, tout du moins officiellement. B2O semble mettre de côté ses clashs et sa street-life de facade pour apporter une vision de fin de carrière sur l'époque actuelle. Un constat désabusé non sans humour, le rappeur peut surprendre mais reste inégalable sur l'univers rap mainstream FR.

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A l'image de nombreux groupes de ce genre musical, ATDR s'est beaucoup assagi ses dernières années. On perd un peu de la folie et de la violence des premiers opus pour retrouver ici un album plus consensuel. Un résultat le cul entre deux chaises. Reste certains morceaux assez fantastiques et propres à l'ADN du groupe comme "Bloodsucker" ou "Viva la Mexico".

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Premier album Lala &ce. Travail indéniable pour cette OVNI du rap Français qui nage dans un océan de références culturelles et d’instrumentales variées tout en restant homogène sur tout le projet. Seul ce maudit Voice-coder vient gâcher la fête.