Les meilleurs albums japonais selon khms

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Le meilleur groupe de rock bruitiste de tous les temps. Ici sur un sextuple album live monstrueux.

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Du rock alternatif, un peu ambient, un peu psyché, signé par les japonais de Yura Yura Teikoku. Et la dernière piste sert de thème principal au génial film Love Exposure.

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L'héritier des Rallizes Dénudés. La fureur en moins, le nihilisme en plus.

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Chef d'œuvre de synthpop. Certains qualifient cet album de musique de Club Med. Moi je vis les meilleures vacances d'été de ma vie à chaque fois que je l'écoute.

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Trois batteries, un chanteur fou, l'impression d'être secoué dans un aspirateur... Surpuissant.

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Du jazz bruitiste mené par le maître Yoshihide, Jun Togawa qui chante à s'en briser la voix... Et... je... pleure ?

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Jun Togawa en héritière de Nico du Velvet Underground sur cet album incroyable.

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Des feels de ouf sur l'ultime chanson du live, qui durent quand même 40 minutes !

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Ryuichi Sakamoto, Haruomi Hosono et Yukihiro Takahasi, les parrains de la synthpop, pour un album majeur aux influences énormes sur la pop, la musique électronique, le hip-hop... Du feelgood en disque.

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C'est peut-être parce que je l'ai moins écouté que les autres, mais cet album de Nujabes me transporte inlassablement à chaque écoute. AND THE BEAT GOES !!!

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Un groupe protéiforme, qui repousse sans cesse les limites de la musique expérimentale... Pour le meilleur et pour le pire. Ici ils pulvérisent la stratosphère au moyen d'un album-fusée propulsé à grand renforts de distorsion sur un riff unique. Jouissif.

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Sakamoto, encore. Tous ses albums sont des classiques qui redéfinissent des grands pans de la musique moderne. C'est le plus ambient et mélancolique du trio originel du Yellow Magic Orchestra. Et sur celui-là on entend des enfants qui chantent, ça m'avait transcendé.

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Si la BO de Blade Runner avait été réalisé par des japonais.

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Et si on ajoutait à notre musique bordélique des instruments chinois ? Et des tonnes de sample ?

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Haruomi Hosono, échappé du Yellow Magic Orchestra, a une rigueur pop incroyable. Sa musique est riche et foisonnante, et bien qu'expérimentale, elle est très accessible et fascinante.

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Entre funk bien groovy et jazz débridé, avec une grosse touche d'électronique... Le résultat est jouissif au possible.

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Le chien fou de la folk japonaise, ici dans un de ses premiers live. Ça gratte à toute vitesse sur une vieille guitare acoustique, et ça hurle comme un loup devant la pleine lune. Frissons garantis.

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De la synthpop simple et élégante, qui passe comme un soupir, et qu'on se repasse en boucle pendant des heures et des heures.

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Plus que du rock psychédélique, de la transe chamanique à grand renfort de distorsion, une expérience qui secoue.

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Jun Togawa qui s'amuse à singer la musique des années 50, c'est drôle et fascinant.

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Du bon vieux punk hardcore, qui tabasse et laisse KO au bord de la route, mollard dégoulinant sur la face et le corps roué de coups. Et ça fait du bien. On voit les membre de The Stalin dans le film Burst City, de Sogo Ishii où ils... jouent leurs morceaux.

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Les géniales pérégrinations psychédéliques de Tatsuhiko Asano, compositeur entre autres de l'OST de Doshin the Giant.