Les meilleurs films avec Ewan McGregor selon QuentinBombarde

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Ewan McGregor conclue (au cinéma) sa performance très très appréciée dans la peau du Maître Jedi Obi-Wan Kenobi.

Si cette dernière est autant aimée, jusqu'à consacrer à l'acteur une série à son personnage, c'est grâce à sa classe, son charisme et sa prestation déçue, dernier rempart de lumière face à un apprenti obscurci par la côté obscur dont la prestation, bien que son incarnation soit réussie, ne vaut malheureusement pas celle d'un McGregor en excellente forme.

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Ewan McGregor incarne un Danny Torrance adulte alcoolique, poursuivi par un passé et un don dont il voudrait volontiers de débarrasser.

Mike Flanagan réussit à tisser un pont surprenant entre les œuvres de Stanley Kubrick et de Stephen King. Loin de la pâle copie, le réalisateur s'empare des deux récits pour proposer un film prenant et joliment tordu, tour à tour fascinant et respectueux de ses maîtres.

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Si c'est la destinée d'Anakin Skywalker qui aurait dû emporter tous les suffrages, les problèmes d'écritures de George Lucas et l'interprétation fade de Hayden Christensen mettent encore plus en avant l'immense talent d'Ewan McGregor.

La partie enquête d'Obi-Wan Kenobi demeure la plus passionnante à suivre de la première partie du film, quand au charisme de l'acteur et son aisance dans le costume du maître Jedi, elle n'est plus à prouver.

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Ewan McGregor incarne la jeunesse d'un Albert Finney conteur d'histoires exubérantes, porteur d'une lumière et d'une candeur épousant la poésie du film.

L'univers de Burton s'ancre dans le réel , s'écartant de l’exubérance et son fantastique devient plus discret, plus rêveur et plus aérien. Ce qu'il y a de plus ambitieux, à part la taille de ce poisson, c'est ici les thèmes que traite le réalisateur.

En abordant la filiation, le deuil, l'imaginaire et la paternité, Burton semble après l'échec de La Planète des Singes revenir à quelque chose de plus personnel avec un film qui joue sur la corde sensible. Si le film souffre de longueurs, de maladresses, il n'en demeure pas moins, de par sa modestie, attachant, drôle et lumineux.

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Ewan McGregor reprend le rôle laissé par le regretté Alec Guinness. Secondant un Liam Neeson sage et maître jedi respecté, l'acteur parvient à se frayer une place de choix par sa conviction et l'allure d'un rôle plus grande qui se profile, au sein d'un film malheureusement boiteux, rattrapé par l'envie maniaque de réappropriation par son créateur.

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Comme il l'avait précédemment fait avec Tim Burton, Ewan McGregor apporte sa sensibilité et sa candeur au sein de l'univers ultra-burné d'un certain Michael Bay. Il joue avec Scarlette Johansson un couple d'enfants manipulés découvrant le monde.

Michael Bay gagne en sensibilité avec ce film de SF au principe réussi. Faisant ses preuves en tant que conteur d'histoire , la personnalité naïve de ses personnages principaux offre au film un beau décalage avec l'univers pas toujours très fin du réalisateur.

Si dans son second acte, le style Michael Bay revient à la surface, c'est pour une action plus lisible porté par les belles compositions d'Ewan McGregor et de Scarlett Johansson qui rendent plus impressionnants cette amas d'explosions malgré une fin expéditive et attendue.

Annotation :

Ewan McGregor est un Roman Sionis aka Black Mask bien plat, écrasé par un rôle de méchant égocentrique complètement raté. Oubliant complètement l'héritage du personnage, cette production DC enferme l'acteur dans un rôle déjà vu mille fois.