Les plus fortes tensions sexuelles dans les films selon Prosper666

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Sous le soleil d'un Sud-Ouest magnifié, une accorte blonde plantureuse ( Pauline Lafont, déesse marylinesque aux atours exposés sous la chaleur de ce coin paumé de Haute-Garonne ) aux envies simples et naturelles va rendre fous une cohorte d'hommes enivrés, rallumer la libido masculine de la région , dépuceler un simple d'esprit en faisant fi des conventions sociales et culturelles. Doux et progressif comme le plaisir.

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Stefania Sandrelli est la muse et la femme d'un homme vieillissant. Il va découvrir le désir à nouveau réveillé et actif que provoque en lui les émois révélés de sa moitié avec un autre homme plus jeune. Tiré d'un roman sulfureux, ce film est un poème à la beauté mûre et provocante d'une femme indépendante à l'écoute de son corps dans une Italie sous la botte du fascisme Mussolinien.

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La beauté de Pam Grier illumine ce film ma foi très moyen, vestige de la "Blackploitation" des années 70. Sculpturale et sensuelle jusqu'au bout des ongles. Enfin une femme noire, indépendante et forte mise en avant dans un film même si c'est plus en réalité pour son décolleté vertigineux que pour une réelle glorification d'une héroïne féminine, noire de surcroît. Mais ne boudons pas notre plaisir.. Pam crève l'écran et l'écran ne s'en remet pas et votre serviteur itou.

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Paillards et Gaulois, les femmes de ces hommes bien banals sont des peintures naturalistes pleines de leurs appâts et de leurs senteurs.Jean Pierre Marielle y est un petit représentant en parapluies en Bretagne malheureux dans son couple qui va enfin trouver sa voie dans la peinture et le cul au hasard de ses béatitudes charnelles. Bijou d'une époque sans corsets et sans pudeurs depuis disparue hélas.

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Jamais dans un film je n'ai vu aussi bien décrit le trouble qui peut s'emparer d'un homme à la vue fugace d'une épaule, d'une gorge à peine dévoilée ou d'une fragrance naturelle lorsque la coiffeuse se penche sur vous pour couper vos cheveux avec une blouse un peu entrouverte... Ode tragi-comique à la vénération d'un homme pour des odeurs, des sensations et un souvenir d'enfance retrouvé chez une coiffeuse, ce film est déchirant, porté par un ROCHEFORT en état de grâce. Sensuel et délicieusement excitant.

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Si vous aimez le mauvais gout assumé, les gros seins, les très gros seins naturels, Adolf Hitler ou son sosie sous acide, les gros seins, les très gros seins naturels, les orgies SM, les situations à la Tex Avery, les flics bas du front de l'Amérique bien profonde, les gros seins, les très gros seins naturels garantis par le grand Russ MEYER sur facture, ce film est fait pour vous.
Un film déjanté et plein de plantureuses demoiselles qui nous exhibent à chaque fois que c'est possible ou même hors propos les appâts énormes et mammaires que la nature leur a généreusement offert.
On hésite entre le fou rire, le silence et la mâchoire qui se décroche devant le spectacle magnifique de ces dames au balcon bien généreux et la poésie de certaines tirades égrenées dans le texte.
Du pur nanard et du pur plaisir bien en chair et bien cinglé! On aime ou on n'aime pas.
Perso, j'adore vous l'aurez compris!

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Des ambiguïtés troublantes parsèment ce film ou les surprises et les intentions sont toujours sous-jacentes mais terriblement sensuelles. Bernard Giraudeau impose sa loi de fer à des jeunes gens qu'il va s'empresser de dévoyer pour leur plus grand plaisir . Mais le maître peut il être dépassé par son élève ? Telle est la question et en matière de cynisme et de cruauté charnelle , il y a toujours plus fort que soi .

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Janet Leigh déshabillée, poignardée, tuée, exposée par le voyeur insatisfait sexuellement et grand fétichiste du cinéma Américain, Alfred et ses fantasmes, ça vaut bien le détour quand même.

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Naissance d'un amour charnel avec désirs féminins enfin exprimés sous la caméra caressante d'une réalisatrice émancipatrice et rebelle. Le piano, prétexte à un partage va devenir le symbole de cet enchainement , de ces cordes qui vont enserrer et faire vibrer le corps et le cœur de cette petite femme perdue dans un monde dur et misogyne de l'époque Victorienne en plein bush de la Nlle-Zélande. Terriblement troublant et sensuel.

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"Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie". Fétichiste des jambes féminines, Charles DENNER, double avoué de François TRUFFAUT nous livre à fleurets mouchetés sa version de l'amour considérable qu'il porte aux femmes et surtout aux femmes portant des chaussures à bride. Le don juan ici est un homme obsédé et collectionneur, mais surtout fiévreux et inquiétant. Pas un conquérant mais un homme conquis par les femmes et leur pouvoir sur sa vie. Un hymne à une forme d'amour des femmes et aussi à la littérature qui scande tout le film en voix off.

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L'amour en dentelles est un amour extrêmement érotique et pervers à la fois. Un classique de l'analyse des relations entre les hommes et les femmes, chacun, chacune ferraillant à fleurets mouchetés ou pas avec les armes qui leur sont accordées par la société et la morale. Élégant, raffiné, même Malkovich devient dans ce film, un séducteur inattendu et irrésistible.

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Jane Campion encore elle explore la psyché féminine et celle d'une femme aux prises avec son ambivalence pour le sexe , le voyeurisme, la masturbation , le désir morbide qui l'attire vers un supposé meurtrier. Empli de symbolismes signifiants , ce film est une plongée dans l'enfer de la carte des désirs d'une femme , de certaines femmes dans un monde freudien et trouble . Étonnant et troublant à la fois .

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Ne nous mentons pas, le propos du film, un peintre et son modèle nu , leurs relations et leurs opposition ne pèsent pas lourd devant le spectacle affolant de la beauté lumineuse et provocante de Emmanuelle Béart , nue très souvent avant qu'elle ne passe par les bistouris fous de la dictature de la beauté exigée même après un certain âge.

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Périls dans une demeure , ses habitants et ses voisins . Cruel et fortement érotique, un étalon dans le genre des films à caractère hautement évocateur sexuellement. La France est bien la patrie d'un certain goût de l'amour à géométrie variable.

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Parce qu'il y a Ava la plus belle femme d'un certain monde et d'une certaine époque, parce qu'elle est la boîte de pandore et parce que Ava est là Mythologie de l'érotisme puissant mais languissant d'un certain cinéma.

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Marlène Dietrich avant le nazisme , va imposer au monde cette image froide, hautement érotique et subversive d'une femme dominante et décidée en bas et porte-jaretelles à jamais gravés dans l'inconscient collectif du monde occidental . Merveilleux !

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Parce que il y a Rita et sa sculpturale ossature , sa voix chaude et enivrante et parce que Gilda est une femme fatale comme il n'en existe pas .

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Érotisme et bourgeoisie sont les 2 mamelles d'un certain occident aujourd'hui quelque peu oublié mais toujours sous jacent.

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Une histoire d'amour élégante entre un photographe du National Geographic et une fermière mûre du fin fond de l'Iowa se noue dans les années 60 sans lendemain autre que des souvenirs et une longue lettre testament. tragique et envoûtant, ce film est une merveille qui évite le piège du sirupeux et du prévisible. Tout le désir et le vertige qui étreint les deux êtres qu'un hasard réunit quelques jours seulement est magnifiquement rendu. Des regards, un dos d'homme qui se rafraîchit à la fontaine, une main féminine qui rajuste le col de la chemise masculine, des frôlements qui sont des émotions criantes et troublantes, une histoire d'instants détachés du monde réel et vertigineux pour les 2 protagonistes de cette histoire. Poétique et sensuel en diable.

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Mythique, dérangeant et funèbre, le dernier rôle de Brando comme séducteur compulsif et dépressif. Difficile d'échapper à ce film, témoin d'une époque libertaire et libérée, loin des carcans du 21 ème siècle.

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L'homme ramené au statut d'étalon ou de taureau, promène ses avantageux détails anatomiques intimes dans des shorts très serrés pendant que des espagnoles en transes sexuelles se chamaillent à son propos. Parabole sur l'Espagne et les tensions entre un pays traditionnel et un autre plus moderne, ce film est un conte sur les désirs secrets ou pas, l'instinct primitif et les pulsions de destruction.
Espagnolades roucoulantes en effervescence et Javier Bradem en maître étalon couillu parsèment cet étrange film très appétissant!

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Hommage au maître Hitchcock par son élève assidu, De Palma avec les mêmes soucis fétichistes pour une vision de la femme décolorée et ambivalente. Magistral.

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Russ Meyer et son fétichisme des grosses poitrines...
Rien à dire de mieux que ça. C'est un spectacle vertigineux point à la ligne!

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Le sexe dénué de tout désir imprime sa marque à ce mystérieux film ou des hommes en érection s'abiment au propre comme au figuré dans les délices exposés d'une alien terriblement obscure. Vertigineux et effrayant comme l'obscurité qui entoure cette histoire. Scarlett Johansson est effrayante de beauté morbide et mortelle. Elle promène sa silhouette sculpturale et dénudée au dernier degré comme un monstre sorti des enfers. Étrange histoire et film très troublant parce qu'il ramène le sexe et la mort ensemble dans un road movie trouble dans lequel une Alien va apprendre à éprouver des sentiments voire des désirs alors inconnus à son espèce.