Les jeux les plus chronophages selon Virevolte

Annotation :

- ...quand je suis allé me coucher hier, tu étais assis en tailleur sur ton coussin, avec un niveau total accumulé de 568, et une bouteille de pepsi sur les genoux. Et maintenant ?
- 7846... et deux bouteilles de pepsi plus une brique de lait.

Annotation :

Mes remerciements à Piou-piou & Cie, concerto de mésanges, moineaux et pigeons de bonne compagnie, pour toujours m'avoir soutenu avec tant de délicatesse au cours de mon aventure avec Bravely Default.

Sans ces accompagnateurs prévenants, gazouillant réglés comme une horloge à quatre heure du matin, j'aurais probablement raté une dizaine de jours de boulot.

Merci à Dédé et à son marteau-piqueur également, prenant le relais un jour sur deux.

Annotation :

- ...monsieur, on va fermer.
- Ah ? Ho. D'accord. Je... touche à mon muffin rance, je bois mon chocolat froid, et je quitte le café.

...

...à demain matin, hu hu hu...

Un éclair de terreur primale éclaira le regard du serveur.

Annotation :

- J'arrête... au prochain point de sauvegarde...
...à la fin de ce passage.
...après ce combat.
...quand j'ai fini de fouiller la ville.
...après encore un niveau gagné.
...quand j'aurais vu c'est quoi le truc sympa là-bas.
...quand mes yeux auront commencé à cuire dans leurs orbites.
...bon...
...c'est l'heure d'aller bosser.

Annotation :

- Encore une petite quête ? Ou deux ? Elles sont au même endroit.

Trente-six allers-retours plus tard, après avoir lancé le sortilège Natura Lingua sur tous les pigeons de la ville pour les interroger et retrouver le piou-piou-messager disparu...

...et uniquement après avoir fait cinquante combats pour recruter le monstre nécessaire à l'accomplissement de la quête scientifique de Darwin...

...les deux petites quêtes au même endroit sont terminées. Et deux autres apparaissent.

Annotation :

Un vrai petit verre de jus de tomate dans mon existence. Le seul jeu dont je me rappellerais comme m'ayant poussé à mener une vie saine. Afin d'optimiser ma progression quotidienne, pendant une période creuse de mes études (ha ha ha...), je m'étais naturellement fixé des horaires de jeu allant de 06 à 22h.

Prenant à peine le temps dans l'après-midi pour faire cuire quelques crêpes, j'alignais treize à quatorze heures par jour.

(Oui. Vie saine, jus de tomate... c'est un peu gros quand on parle de s'empiffrer sans bouger de petites collines de crêpes au chocolat sans bouger son derche de la journée. Mais c'est ma liste. Et toc !)

Annotation :

Je ne cessais d'y jouer au cours de mes vacances d'été que pour accomplir mes plus grandes folies ! Partir courir un bout dans la rue, manger un rougail-saucisses ou regarder un épisode d'Aquarion EVOL attaché devant l'écran par un ami.

J'ai rarement vu des congés partir autant en fumée.