Les meilleurs albums d'Iggy Pop selon Baheuldey

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Troisième album des Stooges, le groupe précurseur du punk rock qui a fait connaître Iggy Pop. Produit par David Bowie, l'ange gardien de l'Iguane, qui a toujours été là pour le sortir de la merde.

Je ne mets que celui-ci, parce que c'est mon préféré (même si j'aime beaucoup The Stooges et Funhouse), parce que ce n'est pas le top des meilleurs albums des Stooges et parce qu'il contient certains de mes titres préférés du groupe (Your Pretty Face Is Going to Hell, Search and Destroy, Gimme Danger ou Raw Power).

Jamais un album n'aura aussi bien porté son titre : c'est de la puissance brute.

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Second album solo de l'Iguane, issu de sa collaboration avec David Bowie lors de leur exil berlinois. L'album entier est un best-of punk, qui sent la soif de vie et qui déborde d'énergie (le contraste total avec The Idiot).

Et mes titres préférés de l'album sont The Passenger (original, hein ?), Tonight, Turn Blue et Neighborhood Threat.

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En collaboration avec Josh Homme et les Queens of the Stone Age. Probablement le dernier album d'Iggy Pop (finalement non), mais finir sur un tel album c'est grandiose. Et puis donner autant d'énergie et de fougue à l'âge de 70 ans c'est génial.
Quand même un album avec un fond un peu dépressif (d'où le titre), mais dans la veine de Lust for Life (certaines sonorités rappellent un peu Bowie).

Et puis Sunday, American Valhalla, Gardenia et Paraguay sont des morceaux absolument géniaux. Sunday et Paraguay sont même carrément des commandements de vie.

(Erratum : finalement ce n'est pas de dernier album de l'artiste, qui revient avec Free.)

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Premier album solo d'Iggy Pop, issu de sa collaboration avec Bowie.
Froid, mécanique et aliénant, The Idiot est un album très sombre qui invente la musique post-punk alors que le mouvement punk est à son apogée.

Là, je retiens China Girl, Nightclubbing (qui me fait bizarrement penser à Orange Mécanique), Funtime, Mass Production et Dum Dum Boys.

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Un album puissant et varié, qui fait du bien après une certaine période d'album assez moyens.

La reprise de Louie Louie dépote, Mixin' the Colors et Jealousy sont grandioses, Fuckin' Alone et Social Life sont des morceaux terriblement beaux et déprimants. Et mention spéciale pour American Caesar, l'ultime morceau de l'album, bizarre comme pas possible mais fascinant.

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Iggy Pop et la new wave. Sympathoche et efficace.
The Endless Sea et I'm Bored font partie des meilleurs morceaux de l'Iguane.

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1977 a été une année productive pour l'Iguane. Kill City est une collaboration avec James Williamson, lui aussi membre des Stooges.
Un album puissant avec un saxophone qui donne une énergie envoûtante à l'ensemble. Et il y a même deux petits (trois si on compte la reprise de Night Theme) instrumentaux sympas.

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J'aime beaucoup cet album. Surtout Mr. Dynamite et I'm a Conservative (très rigolo ce morceau).

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Un album bizarre. Très orienté chanson, où Iggy raconte sa vie.
Si il se montre souvent exhibitionniste sur scène, cette fois-ci c'est son âme qu'il met à nu. Un album mélancolique et cru.

On aime ou on n'aime pas. Mais moi j'aime bien, parce que l'Iguane sait bien raconter des histoires.

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Alors ça c'est de l'Art Brut. C'est complètement déglingué, et l'Iguane n'a jamais aussi bien chanté faux.

Plus j'écoute cet album, plus je l'aime.

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Une nouvelle fois, un album orienté chanson. Avec de très beaux textes et une reprise des Feuilles Mortes (Iggy Pop chante de la variété française, oui). Encore une fois, un album très mélancolique. Certaines chansons m'ont fait un pincement au cœur (A Machine for Loving).

Et l'artwork de l'album est signé Marjane Satrapi. Classe.

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Du bon Iggy Pop, quoi, mais avec des paillettes en plus : tout le gratin d'Hollywood est là et ça cause de Gucci. On est loin de Funhouse et son L.A. Blues, mais il ne faut pas bouder son plaisir : cet album est très fun et énergique.
L'Iguane ne se prend pas au sérieux et fait preuve de pas mal d'autodérision dans ses textes ("I've sold my face to Hollywood / I'm feelin' good"), bien que certaines chansons soient beaucoup plus sombre (Morning Show, qui me rappelle Avenue B ou certains morceaux d'American Caesar).
Bref, Every Loser tourne en boucle chez moi depuis sa sortie et je ne m'en lasse pas. Cet album me fait beaucoup de bien, merci à Iggy Pop d'exister.

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J'avais cru que Post Pop Depression serait l'album final de l'Iguane, son ultime chef-d’œuvre (finir sur un morceau comme Paraguay aurait été grandiose).
Mais j'ai été surpris, d'apprendre en juillet qu'il revenait en septembre avec ce nouvel album : Free.
Les singles (Free, James Bond et Sonali) m'ont intrigué : Iggy a encore changé d'univers, on est loin du rock de Post Pop Depression, on est plus proches du jazz de Préliminaires.
Free est un album un peu inclassable, mélancolique comme Préliminaires, intimiste comme Avenue B. C'est un disque étrange avec ses fulgurances (Loves Missing, Glow in the Dark, We Are The People...) et ses défauts (James Bond, un morceau sympathique mais qui semble un peu en décalage avec l'ensemble de l'album) : il est à la fois nouveau, déroutant tout en étant cohérent avec la discographie d'Iggy Pop.
Je l'ai écouté plusieurs fois, depuis sa sortie vendredi, avant de me décider à le noter : la conclusion de la discographie de l'Iguane ne se fera pas sur le génial Post Pop Depression, mais sur cet étrange album, nocturne, poétique (encore non). Cette conclusion n'est pas le cri de Paraguay, qui envoie paître le monde, mais la note poétique et nihiliste de The Dawn.

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Un peu faiblard après American Caesar mais ça se tient bien.

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Avec Candy, un des meilleurs morceaux d'Iggy Pop.
J'ai cru comprendre que Slash et Duff McKagan des Guns 'N' Roses avaient participé à cet album, et ça s'entend bien.

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Album bourrin et très fun. Mais des compositions pas toujours très créatives.

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Dans la continuité de Beat 'Em Up, mais avec plein de featurings. Dont le retour des Stooges (qui pondent certains des meilleurs morceaux de l'album -m'enfin c'est pas aussi bien que leurs trois premiers albums mais c'est cool quand même-) !

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Un album assez peu mémorable contenant un titre mémorable : Bang Bang.

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Iggy Pop fait de la pop.
Dernière collaboration avec David Bowie.

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Peu mémorable mais sympathoche.

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L'OVNI ultime : un album de reprises où Iggy Pop chante du Gainsbourg, du Joe Dassin et du Brassens et quelques chanson en anglais dont une des Beatles. Le tout avec des arrangements bossa nova et un ton de crooner.
Venant d'un personnage comme lui, c'est complètement punk donc c'est rigolo.

Iggy Pop et la France c'est une grande histoire. C'est d'ailleurs lui qui a fait la très bonne chanson du générique des Zinzins de l'Espace, Monster Men (comme quoi j'étais conditionné à aimer sa musique dès mon plus jeune âge).