Les meilleurs albums de David Bowie selon AMrrt

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Chef d'oeuvre absolu, album homogène et à consommer sans modération encore et encore !

à écouter : TOUT L'ALBUM

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Même commentaire que pour Ziggy, si ce n'est qu'il est par moment un peu moins abouti. Il n'en reste pas moins un chef d'oeuvre.

à écouter : Life On Mars?, Changes, Oh! You Pretty Things

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Voyage à travers les différentes expérimentations sonores d'un Bowie tout fraîchement berlinois. Un ensemble envoutant, captivant et absolument jouissif.

à écouter : TOUT L'ALBUM

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Invitation vers l'univers sombre d'un cocaïnomane angelin, mais qui est une expérimentation fascinante, et qui se permet même des moments d'intimité touchants. Bowie est d'ailleurs parfait en tant que vocaliste.

à écouter : Station to Station, Golden Years, Wild is the Wind

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Le chant du cygne qui sert de conclusion à la carrière et la vie d'un artiste inégalable. Envoutant, intriguant et surtout touchant et poignant. Un dernier grand disque.

à écouter : Blackstar, Lazarus, Girl Loves Me, I Can't Give Everything Away

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Ziggy mais en plus remuant et donc en moins abouti et en plus confus. Une franche réussite néanmoins et doublée d'une pochette mythique.

à écouter : The Jean Genie, Cracked Actor, Lady Grinning Soul

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Deuxième volet de la trilogie berlinoise, un peu en deçà de son prédécesseur, mais procure tout de même des moments inoubliables, comme le chef d'oeuvre qu'est la chanson-titre.

à écouter : Heroes, Beauty and the Beast, Sons of the Silent Age

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Influence New Wave pour ce disque ambitieux et à l'identité musicale marquée. Un ensemble très réussi, mené par une composition parfaite, Ashes to Ashes.

à écouter : Ashes to Ashes, Scary Monsters, Fashion

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Bowie s'arrache lui-même son étiquette (encore fraîche) de plouc pour offrir un album caractérisé par un superlatif : l'audace. L'album (avec Blackstar) le plus profond en terme de signification avec des purs moments d'extase musicale, parmi les meilleurs de la carrière du Thin White Duke.

à écouter : Hallo Spaceboy, I'm Deranged

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Premier album de la période américaine, penchant vers des expérimentations vers la soul en compagnie de John Lennon. Un album tout à fait sous-estimé et qui contient de véritables perles.

à écouter : Young Americans, Fame, Can You Hear Me?

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Le premier vrai album-concept de Bowie, aux tonalités plus sombres et dystopiques. Un résultat très convaincant et qui permet à Bowie de montrer ses talents de guitariste.

à écouter : Rebel Rebel, Diamond Dogs

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Album le plus accessible d'une carrière très riche, et donc une oeuvre très importante car porte d'entrée privilégiée vers la galaxie Bowie. Un album parfois inégal mais dans l'ensemble mémorable et bien au-dessus du statut de pur produit commercial qu'on lui attribue si facilement.

à écouter : Let's Dance, Modern Love, China Girl, Cat People

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Troisième et dernier opus de la période berlinoise, souvent mal-aimé en comparaison avec ses deux prédécesseurs. Au final, un disque très surprenant, beaucoup plus rythmé et remuant que Low et Heroes, étant moins orienté vers les expérimentations sonores. Il offre ainsi un moment agréable, avec certains titres vraiment réussis et mémorables.

à écouter : Look Back in Anger, Boys Keep Swinging

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Album envoutant, qui montre que Bowie n'a pas perdu de temps pour confirmer les espoirs placés en lui après le succès de son single Space Oddity. On y trouve déjà le désir d'expérimentation sonore, avec des purs moments musicaux faits pour nous faire apprécier la qualité de l'orchestre des différentes compositions de l'album. Si le succès n'est pas encore là, le talent, lui, est déjà affirmé.

à écouter : The Man Who Sold the World, The Width of a Circle

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Bowie en mode électro dans cet album sensé confirmer le bon retour en forme initié par le brillant Outside deux ans plus tôt. Autant dire que le résultat est là et que la réussite l'est aussi. Des morceaux très inspirés auxquels s'ajoute une iconographie bien particulière (le clip de Little Wonder !) font de cet album un régal.

à écouter : Little Wonder, I'm Afraid of Americans

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à écouter : Space Oddity, Wild Eyed Boy from Freecloud

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à écouter : Sunday, Slow Burn

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à écouter : Where Are We Now?

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à écouter : Thursday's Child

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à écouter : Buddha of Suburbia, Sex and the Church

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à écouter : Black Tie White Noise, Jump They Say

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à écouter : New Killer Star

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à écouter : Sorrow

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à écouter : Rubber Band, Love You Till Tuesday

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à écouter : Loving the Alien

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Un album précédé par sa réputation de raté total, ce qui est malheureusement plutôt proche de la réalité. Des instrus très désagréables, mal exploitées et redondantes, ainsi que des compositions d'ensemble qui sont parfois très mauvaises (Zeroes en tête de liste). Bowie lui-même est méconnaissable, son timbre de voix est à côté de la plaque, en clair il chante mal. Time Will Crawl, de loin la meilleure chanson du disque (ou la moins pire) n'est même pas épargnée par ses défauts inhérents et qui fondent donc ce statut de "nadir" attribué par Bowie lui-même. La réédition de 2018 a au moins le mérite de proposer une version un poil plus convaincante que l'original, mais qui reste cependant handicapée par les problèmes précédemment évoqués.

à écouter : Time Will Crawl