Les meilleurs films avec Saoirse Ronan selon kamisama

Annotation :

le retour du duo salvatrice. Sublime reprise, réalisation très, très propre, et Sersh délivre une Jo absolument édifiante. Rarement le décalage historique a tapé aussi juste. il faut parler de ces femmes obligées de changer de nom, de scénario, de style et d'identité artistique parce qu'elles sont trop en avance sur le reste du monde. Sersh y est si intense, à l'image d'une Jo impulsive, éclatante et brillante.

Annotation :

chtiote génie, première nomination aux oscars, ils ne savaient pas encore ce qui les attendait 10 ans plus tard

Annotation :

Sersh / Greta, un duo venu du ciel pour le plus grand déplaisir de ces idiots emplis de morgue et de vieilles idées. La force immense de cette adolescente qu'elles nous peignent est tellement juste. Un contexte daté, mais un parcours d'initiation ultra moderne. Être une femme, une jeune femme, une jeune femme à la recherche de l'équilibre entre les attentes de sa famille et sa propre rage de vivre. I feel called out.

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toute mims et toute déterminée, le film est immense et elle s'y insère avec une facilité déconcertante. la tâche de naissance est une icône à elle seule.

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de retour avec Joe Wright, splendide, ingénue, puissante, parmi mes premières héroïnes de jeunesse. Une femme jamais couvée, profondément intelligente et oh so badass. Une Sersh en plein épanouissement.

Annotation :

à peine plus âgée que dans Atonement, mais déjà mature à l'extrême. Elle joue une jeune fille aux portes de l'autre monde, en même temps. Pétillante petite Salmon et déchirante victime d'un pervers "qui n'en a pas le profil".

Annotation :

Sersh y est fierce, intraitable et moderne. Aucune idée de l'accuracy historique, mais qu'est-ce qu'elle en jette. Très beau film du reste, l'Ecosse en parfait écrin de la beauté celtique de notre amie, le drame lui va bien au teint.

Annotation :

pas le meilleur, c'est certain, mais je blâme ici le scénario, et non Sersh qui encore une fois offre un personnage féminin puissant, complexe, central. Dommage que le triangle amoureux prenne tant de temps d'écran, mais c'est un peu rattrapé par la relation interne, la belle dualité que le personnage entretient avec son hôte. Au final, ce sont elles deux qui permettent le happy end. Un plaisir coupable. C'est trop facile à regarder, et au cas où c'était pas encore clair, j'aime cette femme d'amour et sa seule présence sauve n'importe quel film.