Les meilleurs jeux de la 7e génération de consoles selon Willmanx

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Réalisation, écriture, mise en scène, personnage, gameplay basé sur la lumière et un souffle limité, durée de vie et exploration, et même doublage en VF est réussi dans ce jeu. Si seulement Remedy avait disposé d'une machine de guerre publicitaire comme les triple A, Alan Wake aurait pu devenir la franchise méritée par ce travail des auteurs des max payne originaux (pas le 3, bouh).

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Aspiré complètement, j'y ai joué en immersion totale, veillant soigneusement à adopter un comportement réfléchi similaire à ce que l'on ferait par exemple à un paintball. Je ne me lasse pas d'y rejouer.
L'intrigue à la Jack Bauer à côté de cela était plus compatible à mes attentes que de la pure et froide infiltration.

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Ré-égaler la claque de Mario 64 qui nous fit entrer dans la 3d n'était pas une mince affaire.

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La grande franchise n'a pas atteint les sommets escomptés en se contentant d'un fan service appuyé dès le 2e opus et d'une "casualisation" du jeu au niveau des choix d'intrigues, de dialogues, et de l'orientation action TPS un peu maladroite. Toutefois cet univers fait de nouveau briller la SF et le RPG.

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Telltale Games se hisse au-dessus du statut d'assistant gériatrique pour vieux héros de point'n'click Lucasarts. La force des choix à temps contraint, finalement pas si ouverts que ça, et l'immersion dans une intrigue classique mais parfaitement dans le thème des zombies font de Walking Dead un jeu mémorable et simple à la fois. On aimera à jamais ses personnages... à point avec un peu de poivre :D

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Alors qu'une franchise trop connue aboutit fréquemment à un produit feignant et mal bouclé, Batman : Arkham Asylum est à l'inverse un chef d'oeuvre vidéoludique. Travail d'orfèvre de maniabilité et de gameplay, niveaux conçus avec ingéniosité et retenue (ce qui ne sera pas le cas malheureusement du second opus), et ambiance totalement immersive et à la hauteur du meilleur de Batman. Arraché à 100% pour le plaisir de ces satanées énigmes :) (joué sur PC plus tard, mes yeux ont ruisselé de joie).

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Je n'ai jamais été attiré par GTA à cause des univers et valeurs morales proposées. A l'inverse Red Dead m'a plongé dans un far west sauvage, à la fois doux et impitoyable donnant l'envie pourtant peu reluisante de looter, chasser des lapins, jouer aux cartes et arracher toutes les missions annexes. Du grand grand jeu, servi par une réalisation, une musique et une qualité d'écriture hors normes.

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Il en fallu du temps pour retrouver le frisson originel de Resident Evil du côté de chez Capcom. Le jeu entretient savamment l'angoisse et le stress de la gestion du matériel jusqu'à la fin, à condition de jouer dans une vraie difficulté pour mineur de l'espace.

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Un jeu complet et parfait, à la difficulté bien pesée dans les parcours arcade et à l'exploration savamment dosée dans le hub gigantesque et touffu qui ne peut que combler de joie les amateurs de cet univers. En prime, les légos prenaient la parole dans une VF bien réussie !

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Nom de nom mais quelle claque sévèrement burnée ce foutu jeu. La console à peine sortie, Epic Game nous défonçait la rétine et la testostérone à coup de Lanzor !

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Sorte de synthèse de tout ce qui s'est fait de mieux dans le genre, Shadow complex est apparu lors d'un "summer of arcade" pour tout éclater. Basé sur la progression d'un métroid où l'on acquiert toujours plus de nouveaux équipements et capacités, on explore encore et encore la base, en allant toujours plus loin dans chaque section au prix de moults allers retours effectués sans jamais se lasser. L'histoire est par ailleurs vraiment sympathique et la réalisation est toujours fluide et explosive.