Les meilleurs jeux Zelda selon CorentinWalou

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Mon tout premier Zelda, et un de mes premiers jeux vidéo. Un truc un peu magique, ramené un peu par hasard par mon père qui ne savait probablement pas davantage que moi à quoi s'attendre. Cartouche dorée, premières sauvegardes et un terrain de jeu en forme de vrai monde : le genre de truc qui marque, forcément.

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Alors même que j'avais lâché le jeu vidéo sur console, énorme claque qui m'a fait acheter à elle seule une N64 (et ma première OST, pour pouvoir continuer de me bercer de cet univers quand je ne l'avais pas sous la main).

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Il ne mérite peut-être pas sa place dans ce top 3 mais je l'associe à un printemps insouciant où le ciel était bleu, l'eau de la piscine aussi, et ce Zelda encore plus, et durant lequel je me gavais de brioche et d'Hyrule au lieu de bosser mes partiels. Bonus : tout à fait mystérieusement, j'ai tout de même eu mon année.

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Le souvenir d'un Zelda assez mineur mais tout à fait solide, sorte de répétition d'Ocarina of Time en plus gritty. Sorti un mois après mon entrée effective dans la vie active, comme un dernier lien, croyais-je alors, avec l'enfance (alors qu'au final, dix ans ont passé et j'en suis toujours là).

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Incolore et indolore, un Zelda qui se traverse sans y penser mais qui a été un compagnon distrayant pendant cet été de stage où je me suis retrouvé à me faire un peu chier tout seul à Brest.

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Fascinant dans ses mécaniques mais sans doute trop dur et tordu pour moi à une époque où je n'avais plus la même patience pad en main.

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Soyons franc : j'y ai énormément jouer. J'étais même arrivé à l'époque au boss de fin, ce qui me paraît aujourd'hui totalement surréaliste. Mais les années ont passé et je vois bien ce que ce jeu a de mineur par rapport au reste de la série, voire de carrément raté par moment. Un mélange de bons et de mauvais souvenirs, mais des souvenirs tout de même.

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Avec prudence, réserve, sans audace excessive mais avec une réalisation impeccable, ALBW a réussi à me réconcilier avec une série dont je pensais m'être lassé - et c'est pas rien.

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Je pense l'avoir fini à l'époque et pourtant, ça restera "le Zelda des autres", des copains qui me prêtaient gentiment la Game Boy que je n'ai eu que bien plus tard. C'est peut-être pour ça que je ne me le suis pas davantage approprié.

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Très probablement un grand jeu, mais faute de SNES, je n'ai pas pu y jouer avant de le choper sur Game Boy Micro. Si à l'époque de sa sortie je le convoitais ardemment, à ce moment-là il ne me faisait plus tant rêver que ça.

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J'ai jamais été très branché par les Zelda portables, mais rien que pour retrouver un peu du vent de liberté de Wind Waker...

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Je déteste :
- le motion gaming ;
- les jeux qui multiplient les tutoriaux parce qu'ils n'ont pas confiance en eux (ni en leur joueur) ;
- les jeux qui réutilisent du contenu pour allonger inutilement la sauce.

Donc j'ai détesté Skyward Sword.

J'ai mis près de cinq ans à aller au bout, par acquis de conscience, et pour les quelques moments sympathiques qui surnagent dans cet océan de labeur.

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Le Zelda de trop, le seul qui m'a donné la sentiment de ne pas mériter mon temps.

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Acheté par curiosité, à peine lancé.

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On s'en fout non ?