Les meilleurs mangas Seinen selon cosmos

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LA comédie romantique, où Rumiko Takahashi joue avec les nerfs de ses lecteurs en multipliant les rebondissements sans pour autant sombrer dans le délayage à outrance. Sa meilleure période niveau dessin aussi, surtout dans les derniers tomes, avant qu'il ne devienne de plus en plus anguleux et perde progressivement son charme dans ses œuvres ultérieures. Et pour couronner le tout, une fin magnifique.

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On retrouve plusieurs thèmes chers à Hayao Miyazaki, comme des messages de paix et d'écologie portés par une héroïne forte et touchante. Des années après, l'émotion agit encore, cachée sous les dessins en apparence un peu inextricables de l'auteur.

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Des nouvelles plus longues que celles de Hanashippanashi, des histoires plus accessibles que la tranche de vie gastronomique de Petite forêt, et des récits plus ramassés que Les enfants de la mer, un peu trop délayé à l'eau salée. Et les thèmes chers à l'auteur : mysticisme, figures féminines cultivant un lien particulier avec la nature et l'infini, qui prennent le relais quand les mots ne suffisent plus pour exprimer l'ineffable. Et enfin le dessin, organique.

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Un jeune basketteur en fauteuil roulant, un lycéen qui se la raconte grave avant de perdre l'usage de ses jambes, et enfin un passionné de basket n'ayant aucun handicap physique mais un handicap social. On y ajoute leur entourage, et on obtient une vision nuancée du handicap, le tout teinté de basket et servi par un dessin esthétique et réaliste.

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Comment définiriez-vous "connaître quelqu'un ?"

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Tous les codes du shônen nekketsu appliqué à la danse classique. Étrange sur le papier, et pourtant ça marche, avec cette histoire de danseuse à la recherche de la perfection (et non ce n'est pas glauque comme Black Swan).

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Un rônin débarque à Edo et accepte de travailler pour Yaichi, un énigmatique jeune homme qui se révèle être à la tête d'une bande de brigands. En répondant à ses questions un peu maladroites, ceux-ci finissent par se livrer et former réellement un groupe soudé, plutôt qu'un assemblage de personnes partageant un intérêt commun. Mais quelles sont les motivations de Yaiichi ?

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La vie pas toujours facile d'une peuplade d'Asie centrale : super joli et super mignon, mais aussi très prenant quand il le faut, bref toujours bien raconté.

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L'histoire d'un "freeter", un jeune homme pas spécialement pressé dans s'engager dans la vie active et qui travaille dans une petite supérette. Le jour où une jeune fille pétulante et un peu mystérieuse débarque dans son magasin, quelque chose commence à se mettre en mouvement... Et comme souvent avec la mangaka, il est question de se réaliser à travers l'art.

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Pour le moment la seule œuvre de Nihei où il a réussi à conjuguer son goût pour les architectures impressionnantes, le silence mais aussi un scénario qui se tient, bien qu'un peu cryptique au premier abord.