Les plus mauvaises suites de films selon FeLynX

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On surfe sur le succès du sympathique premier film mais sans plus aucun génie. On ne rit plus, les scènes d'action sans intérêt s’enchaînent. Je me suis ennuyé du début à la fin.

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Si le réalisateur avait su que le predator deviendrait une créature iconique de la pop-culture, il n'aurait jamais osé cette grotesque suite commerciale. Si schwarzy pouvait faire illusion dans le premier, Danny Glover n'a pas le profil du chasseur d’extra-terrestre.

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Pour les besoins du film, la petite Regan semble toujours possédée. Mais plus rien à voir avec le premier épisode. On part dans un délire mystique inintéressant et surtout qui n'inspire aucun frisson.

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Si on se penche sur le niveau des ressorts comiques et celui du jeu d'actrice de cette suite, la comparaison avec le premier film est particulièrement cruelle.

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Quelle est la différence entre le bon réalisateur et le mauvais réalisateur ? Le bon réalise Starship Troopers, le mauvais : sa suite.

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L'esthétique réussi du premier film sert aujourd'hui à mettre en valeur les pectoraux de ces messieurs. A croire que le réalisateur de cette suite n'en garde que ce souvenir car le manque d'efficacité de la mise en scène et le scénario médiocre ne procurent plus aucun enthousiasme.

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Le film d'horreur qui a ouvert la mode de la réalisation en " found footage " devient un teen-movie médiocre à la " Souviens-toi l'été dernier ". Mais pourquoi ?

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Après le quatrième épisode, les recettes comiques des " Police Academy " ne fonctionnent plus. A vouloir à tout prix recycler n'importe comment les gags qui ont fait le succès des premiers, on s'enfonce vite dans le pathétique.

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Une suite tardive pour relancer un ancien duo de choc. Les dialogues amusants du premier sont moins inspirés, le scénario convenu et les rebondissements improbables déconcertants.

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Si les deux premiers avaient un certain charme dans le genre épouvante-horreur, ce troisième opus est en manque d'inspiration manifeste et tombe dans le mauvais.

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Beaucoup de taules froissées pour pas grand chose. C'est ce qui me vient à l'esprit en premier, une fois avoir vu le film. Un peu facile le coup du jeune / fils qui prend la relève du vieux. On nous a déjà fait le coup dans Indiana Jones 4. Le scénario, lui, est aussi peu inspiré, le charme du personnage principal ne suffisant plus à sauver une saga qui sombre dans le médiocre.

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Encore un film d'horreur terrifiant qui a essuyé les plâtres du found-footage mais devenant ici l'exploitation commerciale médiocre d'un succès du box-office. Un animal infecté, un bateau avec des passagers. Le coup de l'invasion des zombies, on connaît. Ni original, ni terrifiant, ni trépidant = passez votre chemin.

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Scream, le film d'horreur pour enfant, revient sous sa forme habituelle. Une impression de déjà vu, donc. Mais la licence fait vendre dirait-on. Le film ressortira bientôt une cinquième fois sous le nom Scream 5.

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Short Circuit a été une bonne surprise pour moi dans le genre comédie. Un film avec un début et une fin qui se suffit à lui-même. Seulement, il fallait faire une suite et trouver un prétexte pour ressortir le robot. Et forcément, ça ne fonctionne plus.

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Les gags et les dialogues sont peu inspirés. C'est pourtant les aspects qui faisaient le charme du premier.

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Une histoire abracadabrantesque pour justifier le retour des bronzés. Quand on n'a pas d'inspiration dès le départ, on part sur un scénario dingue qu'on essaie de rendre drôle en utilisant n'importe comment les ressorts comiques de l'époque. On y ajoute quelques références au deux premiers puis on compte avant tout sur la nostalgie pour faire venir les gens au cinéma.