Les meilleurs albums d'Astérix selon Le Thug

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Qu'est-ce que j'ai ri ! Astérix et les Goths, troisième volet des aventures des Gaulois, exploite pour la première fois le plein potentiel des personnages. Obélix est hilarant, contrebalancé par un Astérix intelligent et meneur. L'introduction des Goths permet de diversifier les antagonistes. Elle est d'autant plus réussie que Goscinny et Uderzo exploitent avec brio les différences de langues avec un savoureux jeu typographique.

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Une aventure succulente, avec une savante gestion des disputes. La "guerre psychologique" à la Romaine m'a beaucoup fait rire ! Coup de cœur pour la description de la bataille Gaulois vs Romains sur une seule page, c'est brillant.

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Astérix et Cléopâtre se relit encore et toujours avec autant de plaisir. Les répliques sont marrantes ET intelligentes (que dire de "C'est un alexandrin" ?). Goscinny introduit des running gags avec brio : le nez, les lentilles, la traduction des hiéroglyphes... Le tout sur fond d'une histoire fouillée et riche en péripéties qui a notamment le mérite d'emmener nos héros loin de chez eux. De son côté, Uderzo rend grâce aux constructions égyptiennes.

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La motivation initiale de l'histoire (offrir un irréductible Gaulois à César) est loin d'être la plus pertinente et sensée... même si on est en droit de tout attendre des Romains. C'est néanmoins l'occasion de délaisser Panoramix et de s'intéresser à Assurancetourix. Nouveaux chocs des cultures réussis entre Astérix et Obélix et les Phéniciens (très cliché mais on aime), la première rencontre avec les pirates et les divagations dans Rome. L'histoire est drôle et nourrie, un plaisir.

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Avec une quête originale, le Tour de Gaule est propice à la mise en image de la Gaule dans sa diversité, à de nombreux jeux de mots... et surtout à l'intégration d'Idéfix, qui est déjà un ptit chien attachant.

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Autant la couverture est la moins bonne de tous les albums d'Astérix, autant l'histoire est un vrai plaisir à découvrir. Elle mêle arrivée de nouveaux personnages charismatiques, enjeux de pouvoirs des chefs et nouvelle tentative des Romains avec brio.

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La poilante intro des auteurs annonce la couleur : les Corses sont susceptibles. Le rapport de la population corse aux autres est un formidable tremplin vers des blagues et références qui irriguent l'album et en sont la réussite. Toujours de belles trouvailles de Goscinny, comme la traversée du maquis vu du haut.

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L'une des meilleures introductions que j'ai pu lire dans les albums d'Astérix. J'ai beaucoup ri. Les péripéties qui s'enchainent finiraient presque par lasser, se terminant sur une conclusion finalement rapide et facile.

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Malgré un retournement final très prévisible, Astérix et le Chaudron offre de drôles et sympathiques quêtes aux quatre coins de la Gaule, sur une ou plusieurs planches.

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08/12/2023
Enfin, le retour à une histoire savoureuse dans un style proche de Goscinny. J'ai beaucoup ri, des aléas de la SNCF à la relation Bonemine-Abraracourcix.

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Les Bretons, leur pause eau chaude à 5h et les "romaines patrouilles" offrent un nouveau dépaysement réussi pour Astérix et Obélix. Les parallèles avec l'actualité comme les Beatles et le tunnel sous la Manche font toujours sourire. En 3 planches très bien construites, Goscinny excelle à introduire le récit.

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Rassembler pour mieux régner, c'est l'esprit de ce 7e tome qui recentre les aventures de nos Gaulois au village. Goscinny et Uderzo explorent enfin la pactisation entre les peuples gaulois et l'envahisseur romain, toujours avec une bonne dose de références et d'humour.

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La Serpe d'or inaugure un schéma qui sera récurrent dans l’œuvre de Goscinny et Uderzo : la quête. Les auteurs dépeignent les lieux traversés par les deux Gaulois avec de nombreuses allusions et dérisions, à l'image des 24 heures de Suindinium, de la Lutèce embouteillée ou du Bois de Boulogne. L'alchimie entre Astérix et Obélix opère, pour la première fois.

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Obélix sous le charme de Falbala donne des situations très drôles, à l'image de l'enrollement d'Astérix et Obélix dans les légions.

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Aventure plutôt statique car ce sont les Normands et Goudurix qui viennent directement au village gaulois. Goudurix est finalement peu développé, servant avant tout de prétexte. Cette 9e aventure reste très drôle. Mention spéciale pour la garnison romaine et ses parallèles avec le marché du travail.

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Une nouvelle aventure à l'étranger pour Astérix et Obélix, qui doivent supporter un Pépé tête à claques...

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Le prétexte de la quête est un peu facile mais propice à nous ouvrir les portes d'une Helvétie aux ressorts drôlement proches de notre Suisse actuelle. Le rapprochement, bien entendu volontaire, est propice à des dialogues fins et drôles.

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Intrigue limpide, exécution remarquable. Décidément, j'apprécie énormément les aventures d'Astérix à domicile, notamment lorsqu'elles impliquent le déplacement de visiteurs Romains au village et les nombreuses situations décalées associées. Assez curieusement, cet album ne m'a pas tordu de rire.

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Pas de grande surprise sur cet opus dont l'intrigue est reprise dans Le Coup du menhir. Les quiproquos absurdes des légionnaires sont légendaires !

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Une histoire d'Astérix qui se déroule dans un milieu étranger, c'est l'assurance de références culturelles et d'un choc des cultures joussifs, ce à quoi Astérix aux Jeux olympiques n'échappe pas. Je regrette néanmoins que la victoire des Gaulois soit peu éthique.

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Gaulois vs Belges, le conflit remonte jusqu'aux oreilles de César pour notre plus grand plaisir : la scène de rencontre avec lui est excellente. Le "voile pudique" sur une scène d'une rare violence m'a, lui aussi, fait beaucoup rire.

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Cette nouvelle aventure de nos Gaulois dans le Nouveau Monde amène à rencontrer deux peuples différents, avec son lot d'incompréhensions. C'est beaucoup pour un tome aussi court, mais l'histoire reste claire et drôle. La présentation du peuple gaulois par Astérix et Obélix est un moment d'anthologie.

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L'introduction avec les sangliers qui parlent était vraiment très drôle et originale. Introduisant un Zérozérosix réussi aux motifs pourtant classiques, cette nouvelle aventure déçoit simplement par sa fin (tout ça pour ça...).

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Dans la carrière solo d'Uderzo, cet album est injustement boudé ! Avec une intrigue qui sort des standards au village gaulois, Le Fils d'Astérix convoque de nouvelles dimensions : la capacité d'Astérix et Obélix de prendre soin d'un air fragile, le travestissement (!) des Romains et la manigance de Brutus.

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Les auteurs se moquent des lois de l'économie et des pratiques du commerce. Chouette de voir une histoire centrée sur Obélix, mais je n'ai que très peu souri à sa lecture.

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Ce premier tome pose les bases de ce qui fera le succès d'Astérix. Les character designs ne sont pas encore totalement aboutis, parfois incohérents (César). Obélix reste laissé à l'arrière-plan. Pour autant, cette histoire donne la part belle au conflit avec les Romains, avec déjà une bonne dose d'humour.

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Un conflit miroir de la situation berlinoise de l'époque, avec quelques références marrantes et personnages secondaires marquants, mais comme un essoufflement...

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Un brin prévisible, parfois drôle sans être hilarante, cette nouvelle aventure intègre des personnages qui ne marquent pas les esprits. L'histoire est sympathique, comme toujours.

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Une nouvelle aventure qui fait la part belle aux jeux de mots et au voyage lointain ! Si le dénouement reste convenu, les aventures de nos héros sur le chemin de l'Inde sont l'occasion de renondissements variés et marrants. Un plaisir de voir Assurancetourix mis en avant.