Evans avec lui-même. Parfois un peu démonstratif, profus (l'overdubbing n'y est pas étranger). En visant un plus grand dépouillement, "N.Y.C's no Lark" me fait songer à des articulations qui seront visitées par un Keith Jarrett. Pas de sûr de bien saisir encore les couleurs de la forme modale et les libertés prises face au Bop powellien.

Flip_per
6
Écrit par

Créée

le 30 mars 2024

Critique lue 2 fois

Flip_per

Écrit par

Critique lue 2 fois

Du même critique

Le Voyage
Flip_per
6

Vers le serpent à plumes

Satire politique engagée à l'échelle du continent, par le truchement comme on dit d'un voyage initiatique. Des atmosphères très originales, variées, ayant recours au réalisme magique typiquement...

le 14 avr. 2024

1 j'aime

Crépuscule à Tokyo
Flip_per
8

Critique de Crépuscule à Tokyo par Flip_per

D'une infinie délicatesse, comme ces plans trois-quarts dos accompagnant les protagonistes dans leurs détresse muette, solitaire (Kisako, la mère, en particulier). Dénonciation d'une morale sociale...

le 7 avr. 2024

1 j'aime

When the World Was One
Flip_per
7

Critique de When the World Was One par Flip_per

Très bel album jazz contemplatif, classique, avec ce bel ancrage folk britannique par ses déroulés de harpe et son invitation méditative métissée vers l'orient, invitant le koto. Certes pas tout à...

le 13 mars 2024

1 j'aime