En décembre 1994, Chan Marshall aka Cat Power nous chantait avec un certain sens de la tragédie « We All Die », et cela sur quatre notes de guitare un peu sale. Internet n’existait pas, on ne connaissait d’elle que sa voix mutine qui déclamait son spleen. On était amoureux d’elle malgré (ou grâce) à cela. En 2012 ses traits mutins de nouvelle muse « indé » s’affichent sur la couverture de son nouvel album, Sun. De cette Chan Marshall là on n’est plus amoureux. Sans doute parce qu’on ne la reconnaît plus.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2012/09/25/cat-power-sun/
Créée
le 3 janv. 2019
Critique lue 79 fois
D'autres avis sur Sun
Quitte à pomper sans scrupules le slogan de campagne de notre nouveau président, pour Cat Power aussi, le changement c’est maintenant ! Changement de coupe de cheveux, changement de vie suite à une...
Par
le 3 nov. 2012
1 j'aime
1
Très lisse, son "rond", trop arrangé, tout est froid et dénaturé dans ce dernier album - certains morceaux sont archi mauvais ( "3, 6, 9" par exemple), d'autres un peu plus catchy ("ruin"). Enfin...
Par
le 28 sept. 2012
1 j'aime
Chan Marshall me surprend là où je l'attendais pas vraiment avec un album plus "pop" et au son moins dépouillé et brut que pour ces premiers albums... et finalement j'aime bien me laisser surprendre.
Par
le 2 sept. 2012
1 j'aime
Du même critique
En interview dans le numéro d’avril de Mad Movies, Alex Garland se réclame d’un cinéma adulte qui ne donnerait pas toutes les clés de compréhension aux spectateurs, à l’instar du récent Anatomie...
le 21 avr. 2024
4 j'aime
La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...
le 24 janv. 2024
4 j'aime
1
Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...
le 3 nov. 2023
4 j'aime
