Avec ou sans Nick Mulvey, le Portico Quartet se porte comme un charme ! En témoigne le nouvel album du groupe londonien qui poursuit tranquillement son œuvre, à mi-chemin entre Jazz et Modern Classical, avec ici et là des influences trip-hop , électro, assez marquées.
A l’écoute de ce Art in the Age of Automation, on pense bien sûr au style jazz nordique qui nous a offert tant de belles choses par le passé, mais aussi à des BO de films de par la dimension mélodramatique qui ressort cet ensemble ample, aux arrangements somptueux.
Un disque bouleversant qui constitue sans doute ce qu’ils ont fait de mieux à ce jour. https://chipsetrose.blogspot.fr/
Créée
le 30 déc. 2017
Critique lue 144 fois
3 j'aime
1 commentaire
Du même critique
Déçu par Le Mans 66, film dans lequel je n'ai vu qu-une banale histoire de rivalité, pleine de testostérone, de vroum vroum et de "c’est qui meilleur" ? Certes les voitures sont belles, la...
Par
le 16 nov. 2019
25 j'aime
1
Difficile pour moi de comprendre la quasi unanimité critique autour du film de la réalisatrice Carole Vignal dans lequel on suit une femme partie randonner dans les Cévennes sur les traces de son...
Par
le 20 sept. 2020
24 j'aime
2
“Quand je serai grande, je serai une fille”, répète Sasha depuis qu’elle a 3 ans. Sasha est une petite fille comme les autres sauf qu’elle est née garçon. Malgré la présence d’une famille...
Par
le 1 déc. 2020
21 j'aime
