Au bout de cinq albums, un bête groupe de Clown Metal rigolard aurait largement épuisé son capital sympathie. Sauf que Nanowar ne fait pas que se taper sur les cuisses : il compose aussi des putains de morceaux qui butent – comme on dit quand on soutient un Doctorat en Musicologie. Cette fois les hymnes nouveaux s’appellent « Sober », « The Power of Imodium », « Pasadena 1994 », « Chupacabra Cadabra » et « Cætera » (… ne cherchez pas ce dernier morceau sur la tracklist). Alors rejoignez-nous, Metal Brothers & Sistaz, et Long live the Trve Heavy Pastiche Metal of Fire, Latex & Steel !